De la mobilisation primaire : invectivez le monde politique, reproduisez le message et faites part de votre appel au monde !

Rappel synthétique et final du 11 janvier 2023

Bonjour Madame la Ministre,

Nous remarquons tout d'abord que vous ne nous avez réservé la moindre réponse, pas la plus petite, à notre honnête interpellation, datant déjà du 11 novembre 2022, c'est-à-dire d'il y a quatorze mois jour pour jour, et que nous l'avons pourtant reproduite au moins quatre fois pour vous depuis.

Puisque ces épouvantables épandages de biocides, que nous constatons encore ce jour même, vont bon train, nous avons ces trois remarques à adjoindre à ce que nous vous avons déjà porté et que nous ne répéterons pas (mais que vous pouvez retrouver en intégralité ici) :

— À la question posée, centrale, urgente, lancinante, mais encore circonstanciée et déclinée pour vous donner plusieurs chances, dont celle-ci à laquelle Météo Belgique ne peut (veut) pas plus réagir que vous, j'ajoute encore ce qui suit. Mettons de côté la question [pourtant essentielle] de la possibilité de la condensation dans le sillage d'aéronefs — mais tout de même, rattrapage pour les Nuls : les conditions de formation de la condensation aéronautique sont si restrictives que des contrôleurs du ciel n'en aperçoivent pas une seule trace en toute une carrière, et en dehors des conditions atmosphériques réclamant que les avions volent bien plus haut que ceux que nous voyons épandre, ou du fait que ces traînées sont beaucoup plus courtes que celles observées, la majeure partie de l'air expulsé de l'arrière des moteurs n'étant pas brûlée, cet air passe à travers les ventilateurs et est simplement expulsé sans se mélanger au carburant, et ne peut donc former, dans sa rencontre avec l'air froid environnant, quelque traînée visible que ce soit. Auriez-vous l'amabilité d'uniquement nous expliquer, en aval de conditions de formation de condensation que nous jugerons fictivement valables avec Wikipédia pour les besoins de l'exercice, comment ces traînées, une fois formées [qui parfois dispairaissent mais suivant un comportement physique qui n'est en aucun cas celui de la condensation qui s'évanouit beaucoup plus rapidement que ce type d'épandages non visuellement persistants] fréquemment perdurent des dizaines de minutes dans le ciel pour s'y étendre jusqu'à former des nappes qui, en se réunissant avec celles formées par d'autres traînées, forment un couvercle blanc (« nuageux ») total au-dessus de nos têtes ?

Auriez-vous l'amabilité, le courage, de répondre à cette question, seulement à cette question à défaut des autres dont celle-ci donc qui doit trancher le débat sans même toucher aux sciences dures ?

— Soulignons aussi que notre questionnement très légitime est celui de maints lanceurs d'alerte à travers le monde entier qui questionnent leurs gouvernements depuis longtemps, et qu'il a d'ailleurs été porté au parlement belge, qui a botté en touche, notamment par ici, en 2009 déjà par le député Wouter De Vriendt. L'absence d'action, pourtant absolument attendue, qui n'est donc pas seulement la vôtre, est évidemment par là un renfort de preuve marquant de la culpabilité du gouvernement. Entre tant d'autres pièces qui n'ont pu échapper à votre culture : le rapport Case Orange, étude exhaustive (et sobre) sur les traînées de tous les avions (pas uniquement l’aviation civile), menée par des spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais et présentée par le professeur Coen Vermoreen de l’Université de Delft au Pays-Bas ?

— Enfin, ne pensez-vous pas qu'il va de votre moralité d'homme plus encore que de votre devoir de fonction d'intervenir, et de le faire sans plus attendre ?

Cordialement, malgré tout, et par nos meilleurs vœux qui ne peuvent être différents pour vous que votre accès, en 2024 et pas après, à l'honorabilité.

Rappel capital du mois d'août 2023

Bonjour Mesdames, Messieurs les élus concernés,

Vous n'avez pour le moment adressé, et depuis sa parution parlementaire en 2009, qu'une réponse de fuyards à cette question. Vous ne nous en avez donné aucune, malgré nos différents et précis rappels étalés sur de longs mois ; vous n'en avez donné à personne.

Cette interrogation a été d'ailleurs portée d'innombrables fois par divers activistes, lanceurs d'alerte, devant des juridictions du monde entier ; songeons seulement à Josefina Fraile en Espagne qui porta le gravissime problème devant le Parlement européen en 2013.

Toutes les preuves techniques nécessaires ont été formées et présentées depuis longtemps, et elles l'étaient déjà en 2009 lorsque le Ministre belge de la Défense d'alors s'asseya sur la question, par une indigne réponse de Normand.

En deçà de considérations sur le phénomène de condensation, qui rend radicalement impossibles les traînées dûment observées et analysées, en deçà même de toute considération physique, c'est la présence de ces avions, objectivement clandestins, leur présence et elle seule qui est déjà fautive, puisque vous n'avez aucune réponse à donner sur cette présence elle-même, indépendamment de la question de ce que ces avions déversent ou ne déversent pas...

Nous ne pouvez ou ne voulez pas davantage répondre à ces interrogations, elles aussi nettes et précises : ici à une base militaire, ou bien là à l'Institut royal météorologique de Belgique

Nous reprenons non exhaustivement ici le motif de notre interrogation, qui circonscrit son propos à la qualité des avions observés sans même encore y mêler le plus grave, c'est-à-dire la nature de leurs déversements :

— pourquoi ces avions dont la silouhette est parfaitement reconnaissable à l'inverse des avions réguliers en altitude ce croisière envolent-ils si bas ?
— pourquoi ces avions ne suivent-ils pas les couloirs aériens de l'aviation civile, ce que nous indique ce premier point, le fait qu'ils dessinent des trajectoires non linéaires ou par exemple encore celui qu'ils volent fréquemment groupés, parallèles comme en témoigne cette image, en se suivant parfois de très près (comme en témoigne la dernière image tout en bas) ?
— pourquoi ces avions échappent-ils à la détection des radars du ciel publics tels que flightradar24.com ?

Or, votre déni, sans même préjuger qu'il est la conséquence directe de votre pleine participation à ces opérations criminelles, est déjà faute pleine et entière.

De notre dizaine d'interpellations, toutes honnêtes questions, vous n'avez daigné répondre à aucune. Nous tenions dès lors et encore à très spécialement vous rappeler, sans pouvoir éviter de nous répéter, que :

— en tant que ministre de la Défense, tenu à l'impératif devoir de garantir notre sécurité et d'assurer notre souveraineté sur notre propre espace aérien, ou en tant que ministre de l'Environnement ou de la Santé, ici également obligés (de fait plus que de droit), vous en êtes responsables : plus que simplement complices, responsables de leurs retombées, de leurs effets catastrophiques sur la santé humaine et le vivant, là où votre devoir est de (faire) descendre ces avions criminels ;
— votre inaction, voulue ou non, cautionne ces actions criminelles et pendables ;
— par voie de conséquence, vous ne méritez qu'une lourde sanction, une juste inquisition populaire ;
— les parents que nous sommes plus essentiellement encore que personnes de conscience ferons répondre de leurs actes les agents actifs de cette monstruosité, dont vous êtes.

Conclusion logique : répondez-nous, mais surtout agissez humainmement et sans plus attendre, en ne fuyant plus davantage vos responsabilités.

Recevez, mesdames et messieurs les élus, l'assurance de notre parfaite honnêteté en plein exercice de notre devoir citoyen et démocratique.

Le messsage essentiel qui a précédé au capital rappel

Monsieur et Madame la Ministre, le bourgmestre ou le responsable politique de quelque ordre qu'il soit,

Voyez ci-bas ces photographies récentes d'épandages aériens : clichés du 5 et 14 février 2023 respectivement, aux endroits indiqués dans la dénomination des fichiers que nous vous avons déjà transmis, auxquels nous ajoutons encore deux autres, respectivement captés les 21 avril et 4 mai de la même année, en Belgique toujours. En aucun cas, et pour des raisons que vous ne pouvez ignorer, mais que nous pouvons au besoin vous rappeler avec précision, et vous rappellons d'ailleurs déjà par cette occasion, le phénomène de condensation normal et attendu par l'aviation (quelle qu'elle soit) ne peut produire ces traînées — lesquelles n'ont pas non plus, et toujours en aucune façon, dans le cas de traînées ensemençantes (et des tableaux bien plus spectaculaires encore qu'elles dessinent) la capacité de s'étendre et de se répandre — pour former un couvercle nuageux (de biocides hautement toxiques).

Toutes les objectivations, toutes les mesures, tous les bilans ont été dressés, dont le rapport Case Orange — réalisé par des experts de l'aéronautique et présenté pour la première fois à un symposium sur le phénomène des épandages aériens organisé à Gand le 29 mai 2010, également disponible sur OVDNS —, qui démontrent non seulement que ces opérations sont aberrantes, mais également et surtout leur très grande dangerosité (et l'expression est faible) pour tous les écosystèmes, et par voie de conséquence pour la vie humaine. Le constat est sans équivoque, et d'ailleurs aussi peu ambigu que celui d’une campagne d'injections covid qui n’est (également) rien d’autre qu’une opération d’empoisonnement, de mutilation (sans même se cacher : de « reset ») : la (très mal nommée) géo-ingénierie en général, ces épandages aériens en particulier que nous n'avons pas davantage votés (mais dont nous ressentons sensiblement les effets, par la dyspnée notamment, en deçà des effets sur plus long terme eux aussi objectivés, tels que le cancer et les troubles neurologiques), constituent un crime contre l'humanité sans précédent, et un crime au-devant duquel nous n'avons pas le luxe de tergiverser, de la même façon que nous n'avons pas le droit de nous cacher au-devant de ces situations (de la gravité desquelles nous n'avons encore qu'à peine pris la mesure) qui ont consisté à faire peser, aux quatre coins du « monde libre », un chantage de vaccination contre salaire, celle des enfants contre allocations familiales, ou l'introduction de droits et tarés sexuels à l'école primaire, parmi la foule d'abominations auxquelles nous avons déjà si honteusement consenti qu'elles ne font même plus débat au sein de nos consciences...

Ces complètes horreurs, qui sont bien arrivées près de chez vous et nous, portent toute l'irrévocable motif d'une rébellion sans concession... Ce motif est celui du renversement total du système infra-humain qui les engendre dans lequel nous ne pouvons pas envisager autrement nos plus menus immoraux abandons que comme préludes aux plus grands. Notre prise de conscience se veut radicale, comme la lutte pour la vie qu'elle fait apparaître. Il n'y a dans ce cadre guère de demi-mesure quant à notre humain positionnement : l'on collabore au mal ou bien l'on s'affaire à le détruire, avec seulement de faux contrastes — des excuses — entre les deux positions.

Pour revenir aux épandages aériens de pathogènes dont la réalité ne souffre d'aucune contestation possible, tout en vous indiquant donc que ce n'est pas le seul thème auquel votre politique absence est solide et remarquée, nous vous rappelons que — à l'exception d'une insipide réponse ou l'autre, de Normand, de dénigrement ou de bottage en touche, de la part de quelque benêt et pleutre collaborateur de vos cercles — vous n'avez toujours pas réservé la moindre ou recevable réponse aux cinq appels (au moins) que nous vous avons lancés avant celui-ci (apparaissant début mai 2023), lequel n'est d'ailleurs qu'une répétition de lui-même qui vous a déjà été transmis le 11 avril 2023 après vous avoir été confié à des dates antérieures encore, que vous n'avez pas daigné nous adresser la moindre réponse à la plus mince de nos interrogations, toutes restées lettre morte.

Or, cet état de fait est parfaitement anormal... Votre absence de réponse et cette seule absence quant à la présence objective d'avions clandestins qui sillonnent quotidiennement nos ciels alors qu'ils n'ont strictement rien à y faire (et indépendamment même du fait qu'ils les défigurent et polluent !) constitue une faute grave et à part entière...

Nous ne devrions pas avoir à vous rappeler l'évidence et que votre rôle est d'assurer la défense des Belges, de les protéger de ces attaques (objectives, objectivables et objectivées, donc), aéroportées, particulièrement lâches, et que la non-intervention de votre part quant au problème qu'elles posent — menace de toute source de vie qui relativise à peu près tous les autres — revient directement à la complicité au crime, et est donc encore synonyme de haute trahison, et de ce qui doit en coûter, à hauteur de l'incommensurable préjudice...

Vous ne pouvez possiblement ignorer tant l'illégale présence d'avions clandestins dans nos ciels que la dangerosité des particules qui y sont vaporisées — et si vous ignoriez ces deux faits, et non pas l'un ou l'autre, puisque chacun considéré isolément exige votre engagement total en réponse, vous ne pouvez plus les ignorer grâce à nous depuis plusieurs mois. Aussi, dans ces conditions, par ce fait fondamental que nous ne devrions pas apprendre quoi que ce soit de décisif quant à la réalité des épandages toxiques à — par exemple — un ministre de la Défense, de la Santé ou du Climat, et par celui que celle-ci devrait vous mobiliser en entier sans truchement de l'interpellation du public, nous pensons qu'il est sûr d'affirmer que nous ne devons plus aucune forme prescrite et imposée à toute demande qui vous est faite, du moins à toute demande de cette importance-ci (importance que, commme le reste, vous vous montrez bien incapable de contredire). Les requêtes parlementaires ont déjà été diverses fois (bien) introduites, leurs mots policés trop raisonnablement versés (voir entre mille l’ACSEIPICA en France, que nous suivons et soutenons). Faisant à répétition état, depuis de nombreuses années, du même problème (euphémisme), et ne trouvant pas le juste écho qu'elles devraient recevoir, ces polies réclamations tendent, dans leur répétition même et leur formalisme plat dans le contexte de cette menace qui en est à sa phase exécutoire, à en évacuer la gravité et le tragique. Répondre à l'envi à la balourdise, la malhonnêteté et la laideur (qui consiste à nier que nos enfants sont empoisonnés) et par là aux provocations d'État par la réclamation, la pétition et le mot courtois ne revient finalement qu'à l'abaissement. C'est bien d'avec les grammaires de la génuflexion que nous devons humainement rompre. Vos 100 000 signataires pour obtenir seulement un droit de réponse de votre part ne riment à rien, sinon à l'imbécilité morbide.

Nous nous adressons souverainement et directement à vous, sans corps intermédiaire, et nous le faisons pour tous ceux qui ne peuvent pas ou plus le faire...

Aussi, est-ce ainsi pour les raisons les plus nettes, substantielles, par vos manques qui ne concernent pas seulement le problème des épandages aériens assassins, que vous n'êtes pas ou plus légitimes à donner des ordres. Vous êtes bien hors-la-loi, moralement et naturellement, selon tout droit naturel à échelle des sens, déchu de vos prérogatives pour diverses fautes, déchu par là de commander les hommes qui en sont encore... Des groupes avancent des choses telles que, par exemple à l'endroit de la « crise énergétique liée aux décisions européennes soutenues par la Belgique, représentée par les Ministres », vous « avec porté atteinte à la dignité humaine de chacun d'entre nous, mettant à mal notamment l'article 23 de la Constitution belge », et que vous avez là commis une « infraction pénale telle que visée par l'article 151 du Code pénal ». Ils ont bien entendu raison, mais réduisent l'expression du grief à une langue juridique idiote... Face à l'objectivité du mal, il en va bien plus qu'à notre devoir de « citoyens », mais de notre devoir d'hommes, à celui de la préservation des nôtres, comme de notre dignité humaine, d'entrer en rupture radicale avec vos considérations et ordres, illégitimes, infra-humains. Nos raisons de nous battre dépassent la formalisation juridique qui doit les servir et non en limiter ou contraindre les possibilités...

Nous ne pouvons que vous appeler — vous sommer vous aussi — à vous battre, à tirer sur ces avions pirates s'il le faut, à faire tout votre possible, dans une action décisive qui doit vous inviter à tous les risques, pour arrêter ces opérations criminelles, pour protéger notre ciel, l'intégrité de nos corps, nos petits... De ces risques à prendre, ici le plus minable : le troc de votre prévarication, de vos lamentables avantages matériels que vous confère (mais pour peu de temps encore) votre fonction, contre l’honneur et la dignité. Nous sommes foncièrement menacés, vous comme nous, vos enfants comme les nôtres, par un danger qui ne nous laisse plus de répit, et sommes tous responsables de notre sort commun, et plus commun que jamais. Votre voix doit créer une différence de poids, là où votre silence tue — votre silence est un consentement et nous devons nous défendre contre l'ignominie d'une menace qui est part non négligeable la vôtre.

Nous n'avons ni le droit de ne pas réagir, d'autant que les solutions qui ne peuvent efficacement être déployées que par notre rassemblement existent, ni le droit de supporter l'inaction. En juste considération de la gravité de ces épandages criminels, nous savons tous aussi que ces pilotes comme ceux qui les commanditent et les autorisent ne méritent pas d’être sur cette terre. Portons-en haut le message, et chassons physiquement les marchands du Temple.

Nous devons répéter que ceux qui commettent ces actions seront jugés. Les parents seront les premiers à leur demander des comptes. Et bien que beaucoup d'entre nous n'en sont pas encore à la formulation nette de ce qui nous arrive et demeurent encore bien trop timides, le bouillonnement monte, et le moment n'est plus si loin où l'essentiel de la population lésée sera gagnée par une vive et sainte colère, celle de quelques millions de personnes aujourd'hui, celle de nombreux autres millions demain...

Le message est porté à tout le corps militaire, dont chaque membre silencieux, dont nulle naïveté ne peut à elle seule et sans le concours de la lâcheté expliquer ou gommer l'ignorance, est évidemment aussi coupable, au même titre que tout politicien ou industriel impliqué, au même titre que les pilotes qui ne peuvent pas ne pas remarquer ces épandages évidents et complaisamment se taire après les avoir constatés, au même titre que tout maillon de cette chaîne infernale, dont nous avons le devoir de briser les rouages, les systèmes et les hommes qui en reconduisent la trame et ne méritent, sauf immédiat et profond changement, que de disparaître.

Cet appel est encore lancé aux corps représentatifs de nos communes, qui tout aussi coupablement n'ont pas non plus jugé utile de nous adresser (et adresser aux dizaines ou centaines de milliers de combattants et d'associations qui portent ce combat et qui le portent depuis bien plus longtemps que nous) la moindre audible réponse, la moindre réponse tout court.

Indépendamment de tout autre problème, toutes autres choses restant égales par ailleurs, ces silences-là, quant à une réalité qui ne peut être ignorée tant par sa gravité que par son évidence, justifient l'invective et toutes les insurrections. Aussi, la faute est-elle si grande, vos absences si immanquables, que, en deçà des plus nobles causes de celles-ci, mais tout de même à leur seuil, nous devons faire voir et valoir ce préjudice contre taxes ou amendes qui sont, à ce titre, parfaitement indues, infondées en leurs raisons les plus substantielles (en plus de l'être dans les plus superficielles et selon leurs propres règles, ainsi que nous en faisons la démonstration), là où ce préjudice, grave au plus haut degré, n'est pas reconnu.

Vous ne pourrez plus longtemps vous abriter derrière les excuses, vous cacher derrière les grossiers mensonges politiques (dont cette absurde et folle idée que ces épandages relèveraient de la théorie, ou, au choix, que le dioxyde de carbone serait polluant et non source de toute vie sur terre, ou bien, celle plus grossière encore de rejets humains responsables de quelque réchauffement...), Monsieur ou Madame le politicien. Combattez, quitte à prendre tous les risques ! L'humanité le réclame, et nos enfants avant tout.

Des dizaines de milliers de personnes au bas mot, des millions demain, qu’ils embrassent explicitement ou non le message d’OVDNS qui n’a évidemment et strictement rien de personnel, ne pourront tolérer plus loin le mal qui — aujourd’hui — leur est fait, qui est fait à nos enfants... La racaille, le rebut d’humanité qui par confort et complaisance soutient, activement ou essentiellement par la démission et les replis au silence, les crimes commis contre nous — et d’ailleurs contre elle aussi, « inutile » également aux yeux de Yuval Noah Harari et consorts — n’auront pas de barricades derrière lesquelles se réfugier pour se prémunir du juste courroux d’hommes et parents meurtris. Tous les responsables à cet infra-monde devenu totalement irrespirable, agents actifs de ce qui nous arrive, toutes petites choses, devront être jugés et punis.

La situation — dont celle de notre intolérable passivité collective —, insupportable, que nous ne pouvons plus ignorer, ne peut plus durer, et doit changer. Sans plus attendre. Notre regard est rivé sur vous...

À qui voudra bien l’entendre, et agir humainement en conséquence.

Pour mes fils que j'aime tant...,
— Un citoyen belge, pour que cela veuille dire quelque chose, et en tout cas un homme...

« La voie d'exposition intranasale rend la pulvérisation de quantités massives de nanoaluminium dans le ciel particulièrement dangereuse, puisqu'elle sera inhalée par des personnes de tous âges, y compris les bébés et les jeunes enfants, pendant de nombreuses heures. Nous savons que ce sont les personnes âgées qui réagissent le plus à l'aluminium en suspension dans l'air. En raison de la taille nanométrique des particules d'aluminium utilisées, les systèmes de filtrage domestiques ne parviendront pas à éliminer l'aluminium, prolongeant ainsi l'exposition, même à l'intérieur des habitations. Outre l'inhalation de nano-aluminium, ces pulvérisations saturent le sol, l'eau et la végétation de niveaux élevés d'aluminium. Normalement, l'aluminium est peu absorbé par le tractus gastro-intestinal, mais le nanoaluminium est absorbé en quantités beaucoup plus importantes. Il a été démontré que l'aluminium absorbé est distribué dans un certain nombre d'organes et de tissus, y compris le cerveau et la moelle épinière. L'inhalation de ce nano-aluminium en suspension dans l'environnement produira également une réaction inflammatoire considérable dans les poumons, ce qui constituera un risque important pour les enfants et les adultes souffrant d'asthme et de maladies pulmonaires. Je prie pour que les pilotes qui pulvérisent cette substance dangereuse comprennent bien qu'ils détruisent également la vie et la santé de leurs familles. C'est également le cas de nos responsables politiques. Une fois que le sol, les plantes et les sources d'eau seront fortement contaminés, il sera impossible de réparer les dégâts causés. »

Un des nombreux messages transmis à la Ministre de la Défense — celui-ci le 13 février 2023 (aucune réponse encore au 11 aoû 2023)...

Bonjour Madame la Ministre de la Défense,

J'ai simplifié le message pour vous et les autorités en général. Cordialement.

Tout est là : http://inmediares.be/ovdns/start
Nous avons tous à agir décisivement sans plus attendre, en unissant nos forces. Les forces armées du monde y ont un rôle crucial à jouer : vous ne pouvez plus rester dans l'ombre et n'avez aucune excuse pour ne pas agir. Il n'est pas humain de ne pas agir.

« Ces opérations doivent être considérées comme l'entreprise la plus insensée jamais déployée par la race humaine. Celles-ci font dérailler tous les systèmes de support de la vie sur terre. La totalité de l'architecture de vie est systématiquement contaminée et décimée par l'ingénierie climatique en cours. Et ajouté à toutes les autres formes d'activités humaines ou anthropiques qui déjà causent des ravages dans celle-ci, le génie climatique est mathématiquement et statistiquement parlant la menace la plus grande et la plus immédiate à laquelle nous sommes collectivement confrontés à l'exception d'un cataclysme nucléaire. » (Dane Wigington, chercheur principal de www.geoengineeringwatch.org)

« Si vous aimez vos enfants, rejoignez-nous, en combattant ce que nous devons combattre. C'est un combat juste, c'est le bon combat, c'est la bonne cause. » (Docteur Dietrich Klinghardt, éminent spécialiste du traitement des maladies connues, fondateur du Sophia Health Institute)