ÔTEZ-VOUS DE NOTRE SOLEIL — né le 05-11-2022 | dernière mise à jour le 10-04-2024

Non, ceci n'est pas, objectivement, un ciel naturel, mais un paysage de mort... (Wallonie picarde, 11 juillet 2022.)

Sommaire

« Les solutions existent. Au-delà du déni collectif quant à ce qui nous arrive, notre enfer est d'abord fondé par cette idée folle que nous ne pouvons rien y faire. »

Laissons certes derrière nous certains vieux sujets personnels. Il ne s’agit de viser que le présent, et l’avenir. Ne nous demandons pas de nous censurer sur tous les autres ; et ne me demande plus de me censurer sur telle ou telle question (je t'ai toujours laissé penser ce que tu voulais). Je veux plus le répéter et sans doute ne le répéterai plus, toute peine étant coûteuse et à relativiser à l’aune des enjeux capitaux. Plus certainement encore, je ne te répéterai plus de ne pas mêler ma compagne à nos discussions comme tu l’as fait, sans moi, et l’on peut dire dans mon dos. Toi qui es assez prompt pour parler de franchise ou d’honnêteté (cf. notre illustre voisin néo-thaï) dans mon chef ou chez les autres en général, loupes maintes occasions d’en trouver les lacunes chez toi. Ma compagne est enceinte jusqu’aux oreilles et n’avait pas à entendre que mes messages écrits t’« oppressent » (pauvre petite chatte donc, oppressée par mes mots !). C’est à moi de l’entendre ; et si tu te sens malmené, tu peux toujours délibérément rompre le contact avec moi, bloquer l’arrivée de mes messages ou plus simplement me demander de ne plus t’en envoyer, sans passer par ma compagne pour faire part de tes doléances, dont tes « inquiétudes » qui n’en sont pas réellement... Tu franchis des limites que tu ne devrais pas franchir et n’en es pas à ton coup d’essai. Positif, je ne m’y arrête cependant pas. Mais stp, entends ce que je viens de te dire.

Tu as toutes les occasions du monde pour venir vers moi. Or, tu as trébuché à la dernière. Du moins je n’ai pas senti que le message était mieux passé. Le voici une dernière fois exposé dans les termes les plus concrets possibles, après lesquels tu pourras moins me dire encore que tu ne comprends pas... Je ne supporte plus le manque de franchise, d’abord parce que je n’en ai plus le luxe.

Établissons l'essentiel, sur un constat minimal partagé et que personne ne peut honnêtement écarter : l’imparable lien entre récession, destruction voulue des stocks alimentaires, campagnes pour stérilisation et mutilations des hommes par injections et autres moyens que l’intraveineuse, dont l’aérosol — réalités toutes assez parfaitement documentées et dont toute amorce sérieuse de « débat public » est tuée dans l’œuf par la censure, réglée par la schlague.

Or, s’il y a un lien que personne ou qu’aucun homme ne peut ignorer c’est celui qui est à établir entre la gravité de ce qui nous arrive et les raisons vives de nous défendre. Je me moque en grande partie des raisons que tu ne peux ou (surtout) ne daignes pas trouver à notre situation accablante, comme celles liées à l’idée de notre soumission généralisée aux effarements de l’institution et de l’ordre du mensonge, ou celle d’une culture (apprise) de mort, de repentance, de haine de nous-mêmes, dûment insupportable, dont Nuremberg est un pivot. Je m’en moque en partie seulement parce que je n’accepte pas que tu te serves de l’anathème pour me répondre, pour répondre à ces raisons vives surtout, pour botter en touche. C’est ce que tu fais (encore) en me parlant d’ « extrême droite » chez l’historien que tu sais (un exemple de courage pour le monde entier, pourtant, dont les pages introductives de l’œuvre majeure sont vibrantes de beauté qui notamment rendent hommages à ces courageux tombés, détruits par l’étouffante, morbide censure qui sévit depuis les années quatre-vingt au moins, et dont tu ignores probablement les histoires), ce qui est une aberration, un contre-sens, et plus que ça : une très vile façon de converser, par la diabolisation. Le principe est le même, bien qu’il soit beaucoup moins stigmatisant, pour ce « complotisme » que tu m’as également asséné (je tombais des nues déjà lorsque tu me parlais de Jean-Luc Mélenchon comme chef de file d’une possible résistance ou potentiel héraut de révolution — « quel souffle ! » —, mais alors, au moment où tu m’as parlé de « complotisme » [made by CIA], au premier degré, sans rigoler... un échange un peu critique est-il encore possible, ou en vaut-il seulement la peine ?).

Très fondamentalement, je me moque que tu ne saches pas ce qu’est la médecine de Rockfeller et Pasteur, ou ne connaisses pas l’état des lieux des débats sur l’inefficacité des produits vaccinaux et leur dangerosité (prouvée, à l’inverse de leur « efficacité ») dont la censure seule a en réalité comme ailleurs livré la clé, et où pourtant encore tu as un avis consensuel et de confort, et proprement délirant, sur la poliomyélite. Tu choisis d’avoir cet avis bien que tu ne connaisses visiblement rien du sujet, et ignores que les injections engendrent — nouveau foyer encore en Afrique récemment — la polio dans des formes artificielles beaucoup plus virulentes (paralysantes) que la forme sauvage, laquelle est dans la plupart des cas absolument bénigne, souvent asymptomatique, et contre laquelle le corps, qui doit naturellement se confronter aux milieux ambiants pour former son propre système de résistance, se défend très bien, ce qu’il ne peut plus faire une fois que son système immunitaire est endommagé... Je me moque bien que tu ne saches pas que le mensonge est consubstantiel à l’état politique du monde, n’ai jamais œuvré en censure vers toi et ne tente aucunement de t’ostraciser. J’appelle au contraire au courage, qui consiste certainement, avant tout, j’en suis intimement persuadé, à ne pas se plier aux prescriptions des symboles obligatoires, à se refuser d’être locuteur (fantoche) des expressions courantes de l’opprobre, qui valent pour certaines à la mise au ban, à la mort sociale. Notre action de transformation véritable sur le monde passe nécessairement par le refus de toute censure, dont celles dont se font, malgré eux ou non, des gardiens (gatekeepers, d’opposition contrôlée) de certains tabous tels que Christian Perronne qui (par ce procédé de la vaccine, justement, qu’a décrit Roland Barthes, je crois, sans certitude) fait passer un mal principiel pour un mal accidentel. En braquant les projecteurs sur le vaccin anti-covid comme « produit expérimental non contrôlé » il valide déjà la vaccination en général, même s’il ne le faisait pas d’ailleurs directement en disant régulièrement qu’il est « très pro-vaccin » et « surtout pas antivax », mais encore il particularise, cantonne, confine le mal, puisqu’il l’attribue à l’accident de parcours au lieu de le lier à un plan (il parle d’ « effets secondaires » là où, à la lettre, un effet secondaire médicamenteux est un effet non voulu), un plan non pas forcément extrêmement net, mais tout de même existant, objectif, documenté, et donc au lieu de situer ces vaccins dans celui-ci et la multiplicité de l’empoisonnement... Perronne est (à son su ou non, peu importe) diversion utile de la question de l’empoisonnement aérien, notamment, et des raisons évidentes d’une colère dont les traductions ne peuvent se contenter de civilisées réclamations (envers un appareil qui en produit les causes)...

Belœil, 3 mai 2023, 21h11. Ces fumées noires qui clôture une journée d’épandages intensifs n’annoncent que la mort. Le lendemain matin, voici le ciel de que je retrouve juste au-dessus de notre toit en quittant la maison, et ce ciel de plomb quelques kilomètres plus loin...

À défaut de transmettre la vérité, ayons au moins l’humilité de nous taire, de ne pas être conducteurs du mensonge, et de nous hisser à cette humilité-là, ne fût-ce peut-être qu’au nom du fait que des gens vont en prison ou voient leur vie détruite pour le simple fait de faire de l’histoire, par-delà de la saine question de la véracité historique, au-delà même du goût naturel que nous avons à entretenir pour le refus radical que notre histoire soit captive d’intérêts étrangers, que notre mémoire serve d’arme de sujétion contre nous-mêmes, que nous soyons interdits de leurs lecture et écriture. Or, cette grande injustice (bis repetita...) devrait valoir chez nous une saine et virile colère dont le manque chez toi n’est que grossièrement plâtré par les faux-fuyants discursifs qui te servent de prétexte à ne pas avancer, et dont l’exposition, elle, vaut ton énervement, le statu quo, l’inertie.

Je ne te demande finalement rien, sinon de répondre, de donner le change aux obligations morales qui nous retiennent dans ce monde, auquel nous devons faire face, et dans une mesure certaine plutôt qu’une certaine mesure affronter... Et si c’est sur un plan collectif que nous n’avons pas réalisé à quel point ce qui nous arrive est grave, les vivants (lire : résistants, en ce que dans notre contexte les deux termes tendent à se confondre) qui, au lieu de s’en désintéresser (parti aussi assez abordable), s’adressent encore à ceux qui ont assez volontairement consenti à l’intromission de Pfizer, à prendre la marque de la Bête (ce qui, dernier détour, s’explique précisément par cette absence de liens entre les thèmes), pour les appeler à comme de juste se battre au premier front. Eux nous doivent spécialement la réaction.

Si donc tu ne peux ou veux voir le pont entre notre terrible acceptation, aujourd’hui, de l'empoisonnement des corps et l’acharnée intoxication des esprits qui la conditionne, peu importe. Ce qui importe est de ne pas fuir notre sujet, notre combat, celui qui nous est demandé contre Davos et toutes les règles d’un monde entier créé sur-mesure pour son profit.

La question de l’extrême droite est essentiellement historique et théorique, et ne peut être recevable comme idée de politique d’opposition, active et nuisible, que par des têtes défaites, voire rigoureusement dégénérées. La violence réelle, exercée tous les jours à chaque instant, est celle des pouvoirs en place, qui ne portent précisément pas l’étiquette de l’opprobre. Elle n’a pourtant discursivement que valeur d’étiquette, paravent à cette violence commune et réelle ; elle est à ce titre essentiellement spectrale. Les guerre du Golf, les expériences de Fallujah, les chasses à l'homme organisées pour des caciques tels que Dick Cheney, le MK-Ultra, la pédocriminalité et le massacre à échelle industrielle d'enfants démembrés chaque année dans des rites sataniques, les campagnes de stérilisation forcée en Inde et en Afrique par Gates et l'OMS, l'Open Society, le suicide de nos agriculteurs, les créatures « transgenres » dans nos écoles maternelles et la martyrisation et le charcutage des corps vendu à notre jeunesse comme signes de progrès, le passe-droit pour tuer accordé à des bêtes africaines massivement importées, la GPA et la vente de bébés, les campagnes de mort de Davos et les épandages criminels de biocides intensifiés en 2020 collant au mortifère agenda mondialiste (« de 2030 »), ou simplement la misère noire de plus en plus de gens dont les perspectives du quotidien tendent à se borner au Lidl et à la friterie du coin, ne sont pas d’« extrême droite », mais sont...

Je n’évoque pas trop précisément le plus terrible des sujets (ses coupables identifiables pour lesquels la rengaine du prêtre est une couverture), qui touche aux enfants, ici seulement nommé par le titre, pour ne pas prendre le risque que tu ne mérites plus forcément (à l’instar d’une vaste majorité de monde) que je prenne, qui est en réalité, pour le courageux qui ose y porter un mot hétérodoxe, est le seul et l’unique sujet plus accablant (et souvent létal) que celui de la religion du Camping (que pour une même raison je ne prétends pas nier ici en ses contenus, mais que je conteste au moins en tant que dictature de pensée et hiérarchisation des hommes dans leur importance a priori, que je conteste en ce qu’il coûte la prison et le sang d’y émettre un avis contraire) évidemment rendue encore bien moins critiquable que n’importe quel autre dogme parmi la foule des mythologies importées d’après-guerre (cf. « la reconstruction de la France par l’Algérie »). La voilà la tyrannie que tu ne peux pas ne pas voir sans te mentir, l’horreur absolue de la sexualisation et de la déformation des enfants et adolescents (qui n’est que le moyen le moins détourné pour le FMI de stériliser, mutiler et tuer...) accompagnée de la punition sévère de ceux qui s’en indignent trop nettement.

Il est odieux d’accorder nos faits et gestes de confiance à ces anathèmes et leurs crimes imaginaires, ou du moins idolâtrés et inactuels. Or, nous ne pouvons ménager aucun espace de répit, alors que nos enfants sont empoisonnés, pour les homoncules qui en sont encore à ces lunes, et les entretiennent sciemment, nous par la censure de ces mots insensés, afflictions ; aucune pitié pour ceux qui continuent à pathologiquement se donner comme flics de la criminalisation de la parole, à nous écraser de symboles désincarnés pour nous empêcher de percevoir et d’apprivoiser le réel et ses signes, l’appel à notre nécessaire rassemblement, à une communautarisation dont « les sujets qui fâchent » doivent avant tout assurer l’impossibilisation. Retenons l’essentiel : le dressage démocratique consiste en une vaste entreprise de déréalisation, de dévirilisation, nous apprenant à perdre tout sens de courage politique, celui de la défiance et de la contestation, celui des attributions du Père.

Tes « expertises scientifiques » qui manqueraient encore pour prouver les basses œuvres mondialistes te servent de rempart contre la mise en branle de ton action. C’est exactement pareil lorsque tu me parles des attentats de Boston et de la thèse ridicule pour toi (et que je ne défends pas, ne connaissant pas ce sujet précis) d’acteurs recrutés pour jouer les morts... Quelle importance ? Ces « attentats », comme les tueries actuelles d’enfants blancs et chrétiens dans les écoles américaines, comme Sandy Hook, ne sont rien d’autre que des montages étatiques, et il ne me reviendra (donc) plus de te le rappeler par des lectures fondamentales (cf. les commentaires sur la société du spectacle). Ces entreprises de terreur comme mythologies qui nous gouvernent sont construites sur le mensonge. Elles sont peuplées d’acteurs, de maquillages, de tromperies digitales, d’éliminations homicides silencieuses... Peu importe le détail des opérations, du point de vue qui nous intéressait, du point de vue d’un débat d’intelligence. C’est pourtant sur ces détails, hors-sujet, et par exemple encore par le 11 septembre, que tu restais, en y tournant en boucle malgré mes réponses. Ces dérobades (en tout cas la première...) sont en fait un manque de respect envers mon intelligence et mon travail, mais plus certainement la marque même du manque de courage dont je témoigne (par Alexandre Soljenitsyne)...

Il en va encore de même à la question répétée, et devant moi encore après que je t'aie pourtant répondu de vive voix : « que faire ? », dans une insistance sourde qui me témoigne qu'elle ne t'intéresse pas vraiment, puisque tu n'y as pas avancé d'un iota, quoique j'y donne et publicise variété de pistes concrètes (en plus de tous les motifs...) depuis de longs mois.

Les messages des boomeurs Valentine et Etienne (qui probablement, retranchés de ce qui se passe vraiment dehors, affirmeraient volontiers eux aussi que la France n’est pas devenue un coupe-gorge) portent la marque d’une grande dégénérescence, peut-être la pire envisageable : celle d’une autosatisfaction complète à cette passivité-là. Dans une émission très récente puisqu’elle est sortie cette semaine, Xavier Poussard dont je t’ai déjà parlé dressait un assez bon portrait du boomeur (ici exactement) en disant qu’il est fondamentalement celui qui, aujourd’hui encore, vote et regarde la télé... (Toute ressemblance avec des personnes ou faits réels est purement voulue...)

D’une autre manière, ces dérobades sont des tropes valant comme formes offensives pour dire « informe-moi mieux encore car je ne suis pas convaincu qu’il faille quelque chose »... En me demandant « que faire ? » sans avoir la franchise de la développer concrètement la question dans son cadre, c’est-à-dire dans reconnaissance que tu n’as jugé utile de tenter d’y répondre (avec ou sans moi) jusque-là et en tentant d’occulter cette absence par une série de fausses questions, tu poses bien comme a priori que les raisons de se mobiliser seraient encore troubles. L’attitude laisse en réalité déjà apparaître l’infantilisme instruit de ceux qui s’en remettent systématiquement aux autres pour toute décision, dont les plus vitales, et avant tout à la démocratie parlementaire, ses manifestations polies et pétitions silencieuses.

Mon problème ici est que ces positionnements engagent bien plus que la naïveté, mais bien la volonté de rester dans l’ombre...

Considérons ce qu’il faut, plus que de bêtise, mais de couardise volontaire pour se convaincre de ne pas vouloir savoir afin d’excuser son immobilisme. Comme je te le disais aussi, c’est là que les gens comme moi, empêcheurs de tourner en rond, deviennent souvent insupportables : ils sont le miroir de cette démission. Et la lâcheté est aujourd’hui si courante que même ce benêt docile, ce branque de David L’Epée (de la revue Éléments) vient lui-même, dans les colonnes de Libé d’être accusé des pires maux de la tête, de faire les frais de l’accusation d’« extrême droite », que tu devrais avoir également et depuis longtemps avoir compris être en réalité un titre honorifique.

Et si tu ne veux pas croire en l’eschatologie talmudique, servie par toutes les franc-maçonneries locales et internationales du monde, en l’idéologie des oligarques qui nous vouent une haine sans borne et dont tu manques l’évidente affiche, est-ce si difficile de concevoir qu’il y a nécessité d’engager un dialogue actif quant à notre résistance ou, pour le dire autrement, quant à une préparation au monde de demain, et au monde qui est déjà en partie advenu ? Et si tu ne veux pas croire en celui des empoisonnements accélérés de nos populations, considère par exemple celui de la destruction des réserves alimentaires ou de l’édification continue des conditions de guerre civile et, plus, de chaos social.

Cette haine insatiable, elle est donnée aux Goys directement, souvent trop accablés de stupidité pour en reconnaître la figure. Voyons exemple cet abominable clip vidéo qui nous montre et nous dit, en texte et en images, que ces traînées sont des traînées de mort. Ces trois derniers mois, j'ai relevé environ deux cents exemples, dans la publicité et le cinéma, de normalisation (rendre naturel, ce qui consiste principalement à effacer l’histoire et surtout sa mémoire pour que nous ne nous souvenions plus que nous avons oublié... Peut-être la plus grande tragédie humaine, celle d’Alzheimer, celle de l’oubli des êtres aimés) de la maladie : l'on normalise les chemtrails et l'empoisonnement en général (comme l’on a rendu commun de passer devant les clochards en les ignorant et) comme l'on normalise leurs effets. (Je ne veux évidemment pas te malmener, surtout pas, mais au cas où je pourrais te faire lire le court article que j’y prépare.) Entre mille, à côté des édifiantes (sataniques) affiches nous expliquant que l’AVC est naturel chez les enfants de moins de dix ans, les séries télé à la mode ne sont pas seulement de systématiques et imbuvables odes au métissage (mauvais tissage, étymologiquement — et en tout cas mauvais lorsqu’il est outillage de propagande d’arasement des différences, et donc des capacités de résistance...) ou à l’enculerie généralisée. Encore mettent-ils spécifiquement en scène des personnages qui, de façon parfaitement gratuite du point de vue scénaristique, nous offrent à voir les souffrances dues au zona, aux démangeaisons, qui toussent aussi (en dehors donc de toute raison donnée, ce qui n’a pas plus de sens au cinéma que le coup de fil qui interrompt une conversation ou qu'un curage de nez impromptu au milieu de celle-là), ou aspirent des ventolines... Et cela devient tellement habituel qu’on le voit sans y penser : c’est le principe de la normalisation dont les benêts des écoles de cinéma ne retiennent que « l’image subliminale » (le nichon caché dans Bernard et Bianca...). Cette propagande qui se passe volontiers de ces gimmicks est autrement bien souvent encore offensive, et parfaitement grossière : « Je jetterai sur toi des impuretés, je t'avilirai, et je te donnerai en spectacle. — Nahum 3:6 » : verset de la Bible cité en ouverture d’un film de 2022 (Nope), dont l’affiche ne représente rien d’autre qu’un nuage menaçant et qui est l’histoire d’une « force mystérieuse et meurtrière présente dans le ciel » (ben voyons). La télévision et radio belges (notamment) insistent étrangement sur les allergies, et une publicité vue récemment sur la Toile présente un nuage en forme de nez (pour figuration de l’idée de nez qui se bouche...). Compte tenu de l'état des foules, la criminalité d'État n'a nul besoin d'opérer dans la discrétion... Au contraire, ils nous narguent — et nous soumettent au point où nous chions dans nos pantalons à l’idée même de désigner qui se cachent derrière les pronoms, mais surtout les méfaits réels. Notre première thérapie est sémiotique.

Comme le rappelait Slobodan Despot dans un entretien au Cercle Aristote paru hier, le 4 mai, nous vivons sous l'emprise de dirigeants qui n'ont absolument aucune moralité humaine, aucun frein, aucune pitié pour les gouvernés. Il poursuivait avec raison sur l'idée que la troisième guerre mondiale a commencé et qu'elle n'est pas une guerre de blocs et de fronts horizontaux, comme les deux précédentes, mais une confrontation verticale entre les différentes strates de la société, avec une élite dirigeante tout en haut qui pour sa propre survie (ce qui revient à dire : pour sa domination absolue) s'attaque à nous par « endo-colonisation ». J'y ajoute que c'est une guerre réticulaire, qui passe plus que jamais par l'information, la propagande : pour que ce combat puisse se produire, mais surtout durer, il est plus que jamais nécessaire que cette élite sans noblesse nous mobilise contre nos propres intérêts, et que cette mobilisation se déroule à notre insu plus encore que n'étaient mobilisés au leur les trouffions des guerres précédentes, prolétaires qui allaient déjà s'entretuer pour les intérêts des banques et de nababs essentiellement étrangers comme nous nous laissons mourir pour les mêmes... Cela revient encore à dire que les forces mondialistes n'ont pas les ressources nécessaires pour nous contraindre sans notre propre participation...

Est-il si difficile de (me/nous) donner le change ici, en famille, à partir d’une dizaine de pistes d’actions déjà données, et surtout à compléter ?

Est-ce si difficile de concevoir que l’absence de réaction autour de soi, comme les prétextes et élusions, sont des motifs de désespoir, peut-être plus accablants encore que les plans du nouvel ordre mondial eux-mêmes, ou de la même façon est-ce si difficile de concevoir que cette absence est moralement très peu acceptable ? J’ignore de qui, pour ta part, tu te moques, lorsque, et après tout ce que j’ai pu en dire, tu me resitues sur « il faudrait que tu communiques mieux ». Tu me parles de ma communication au lieu de prendre en charge la tienne. À partir des différents modèles que j’offre, que tu peux servir tels quels, adapter (ou évidemment ne pas du tout reprendre si tu préfères repartir de la page blanche), comment expliques-tu (comment est-il possible ?) que tu n’aies pas a minima contacté encore (et peut-être tout simplement par ceci ou par cela) quelques dizaines de connaissances au moins, avec quelques huiles ? En voilà une question plus solide. Strict minimum, cette action d’information et de mon point de vue la moins importante — mais reste indispensable, et est assez gratuite...

Dans ce cadre, je viens justement et par exemple d’adresser ce message à l'Institut royal météorologique de Belgique, ainsi qu'à BELSPO. Nous devrions être des milliers, au bas mots, à l'avoir déjà fait ou à le faire aujourd'hui. Que ce message-là, parmi donc tous les autres disponibles sur cette plateforme, soit martelé, soit envoyé cent mille fois à des dizaines de centres météorologiques, pour que les pleutres dissimulés derrières les institutions sentent le vent du boule.

Ta communication, d’après les conseils que tu me réserves, serait plus simple, concise, ciblée, alors. C’est ton pari. Je t’invite à mettre en vie ces idées.

Le mien, de pari, est que tu peux faire dans le simple autant que tu veux, la plupart des gens ne voudront de toute façon rien savoir, et ne te liront pas. Tu peux te contenter de parler de géo-ingénierie, sans du tout dire que les Américains n’ont jamais marché sur la Lune, expliquer que la baie des Cochons est un complot (déjà comme l’assassinat de Jules César et...) comme l’assassinat de JFK et de son frère par l’État profond américano-israélien (cf. Ben Gourion), comme le Bataclan, les affaires Olof Palme, Pierre Bérégovoy, Aldo Moro, Mohamed Merah ou les attentats de Londres, Madrid — affaires de CIA et d’OTAN essentiellement, et en tout cas jamais des raisons médiatiquement/politiquement données —, on te traitera malgré tout de fou (là où tu es otage d'un immense asile à ciel ouvert, celui du test à l’effort un masque sur le nez), tu essuieras le même dénigrement, celui que j’essuie en famille même quand je vous parle d’un de ces sujets pris isolément. Dans ce pari d’information auquel je ne crois donc qu’à moitié mais dans lequel je me lance parce que toute action possible est à réaliser, et celle-ci n’engage que peu, je pense au contraire est qu’il est bien plus pertinent, que nous avons plus de chances de faire mouche en témoignant du mensonge en sa totalité (organique) plutôt que de laisser ses interlocuteurs dans le cadre qui est malheureusement la cage de beaucoup d’entre eux, dans laquelle se trament les règles de l’idiotie : la spécialisation. Le médecin y est un merveilleux exemple : le généraliste moyen aujourd’hui, qui n’est guère plus qu’un VRP des firmes pharmaceutiques (à un symptôme correspond un médicalement, selon le Vidal), connaît infiniment moins bien son métier que le médecin d’il y a cent ans ; et la syntaxe du premier seule n’aurait pu être recevable jadis (je viens de lire chez un médecin : je les cherché au lieu de je l’ai cherché). Et c’est en partie du fait de leur ignorance que la plupart peuvent prescrire des vaccins. Les chemtrails sont bien plus surprenants chez ceux qui ignorent que nos États ont déjà commis des crimes au moins aussi équivalents contre leurs populations (et dans le même rayon, je parle notamment des expériences de Porton Down au Royaume-Uni, et en France dans le village de Pont-Saint-Esprit par l’affaire du pain maudit), c’est-à-dire pour ceux peu capables d’établir des liens (historiques, syntaxiques). L’intelligence est une contrainte à l’éparpillement, à la fragmentation. Finalement, que tu veuilles toucher les esprits les plus volontaires ou ratisser large, ne pas tergiverser, ne plus transiger, ne plus troquer une vérité contre deux demis, m’apparaît être le plus juste. Mais encore une fois : fais au lieu de me dire comment faire ; il y va encore de l’humilité.

Est-ce si difficile d’accepter que nous avons le devoir de donner l’exemple, de débloquer la situation, de prendre des risques par des actions sinon décisives, du moins signifiantes, courageuses, le devoir encore, à défaut de celles-là, à défaut de gestes, d’élever la voix, le ton,oser parler un langage charnel, sensé, pas seulement nous faire les locuteurs fantoches des langues de bois politiques et de tous ses syntagmes empruntés, sans plus attendre ? Entre cent, par ces paroles qui n’engagent que peu vis-à-vis d’actions véritablement courageuses, nous avons à exprimer des idées telles que celles selon lesquelles ces pilotes, à peine plus que des automates, qui déversent des poisons sur nos enfants pour le profit des cartels financier mondiaux ne méritent pas de vivre (à plus forte raison encore que ces policiers s’adonnant à des tirs de LBD sur les foules manifestantes), et que nous avons le devoir d'aller les chercher, avec tous ceux qui honteusement soutiennent ces opérations et ne font rien pour les dénoncer, de nous activer à les arrêter au-delà de primes étapes d’information et d’invective, pour lesquelles ce texte bien posé et notamment répété aux inénarrables ministres de la Défense, de l’Environnement, de la Santé et de l’Enfance ou encore du Climat, de l’Environnement, du Développement durable et du Green Deal, coupables jusqu’à l’os, devrait servir de modèle pour être répandu comme une traînée de poudre (et dans l’espoir, peut-être vain, que nous n’ayons pas à placer des têtes dans des réacteurs). J’ai là encore ouvert une franche brèche.

Est-ce si déraisonnable de tenter de te — vous — faire entendre que tu n’y fais rien ou quasiment rien (ce qui en ces enjeux graves revient au même) et que tu feins d’ignorer les principes fondamentaux mêmes qui justifient mes raisons de le prétendre, rendant nos (rares) conversations peu possibles par ce biais-là, ou que nous n'avons ni le droit de ne pas réagir, par ces solutions qui existent à mettre en place en commun, pour nos enfants, ni celui de supporter l'inaction ?

Est-ce si difficile encore de percevoir que l’action chez chacun (voilà ce que la responsabilité de W. Demeyer, un bourgmestre responsable politique, « vient faire là-dedans ») revient aussi au soutien de ceux qui font, que nous ne pouvons laisser sombrer dans la panique et le désespoir, et les mauvaises voies que ceux-ci peuvent inspirer, que ceux qui ne font rien creusent. L’absence de réaction est d’abord une absence de réponse aux appels à l’aide de ceux qui nous appellent à l’aide, avant d’être l’absence de vaillance face aux raisons mêmes de cet appel. Et parce qu’il n’exprime que la volonté d’arrachement de nos vies à l’emprise de l’économie, à nos vies de vauriens et de vers, cet appel est un cri pour la vie, qui anticipe des actions et passions joyeuses, non pas une expression de la torpeur, tandis que le déni qui n’a rien de véritablement rassurant n’anticipe que la tristesse et le périssement.

Le contraste entre le calme avec lequel nous continuons à vivre tranquillement et ce qui nous arrive est vertigineux, et tout à fait inacceptable... Pour mes fils, avant tout, pour les enfants de nos voisins. Le message ne peut pas être plus clair et il vaut pour la famille entière. Cherchons des issues de secours, hygiéniques ou géographiques... Cherchons entre autres les molécules les plus efficaces pour déloger les nano-particules de nos organismes, si une telle chose est possible. Au même endroit, objectivons auprès de médecins combattants les raisons de nos toux persistantes, pour y éclairer des réponses thérapeutiques et, de préférence, préventives. Sur ce même plan d’action qui est loin d’être le seul, formons simplement par exemple encore un groupe de veille, et intégrant là encore de préférence quelque professionnel de santé, pour rester vigilants sur nos états de forme respectifs, pour guetter nos indicateurs vitaux et les premiers symptômes de pathologies naissantes (cf. : non exclusivement, bilans sanguins complets dont traces des différents métaux lourds), afin de pouvoir y réagir au mieux (et par exemple se donner le signal pour la fuite...). Ces actions, dans les bonnes nouvelles à relever, valent aussi comme entreprises de relativisation du danger et nourrissent véritablement l’espoir, qui ne peut en aucun cas être chez eux qui ne peuvent même reconnaître la marche satanique du monde.

À ce titre de relativisation du danger, en l’occurrence du déversement quotidien sur nos têtes de dizaines de toxiques (qui ont très peu d’effets efficaces à leur but officiel qui est de « réduire l’effet de serre » sur le mensonge selon lequel nous serions intoxiqué par des émissions trop importantes de gaz carbonique, mais qui au contraire exaucent ce réchauffement dont ils souhaitent accuser les dispensables « inutiles », c'est-à-dire toi, moi et la voisine), dont du baryum, des nano-fibres de verre recouvertes d'aluminium [paillettes ou filaments métalliques utilisés pour brouiller un radar connus sous le nom de chaff], de thorium radioactif, de cadmium, de chrome, de baryum, de strontium, de nickel, de sang desséché, de spores de moisissures, de mycotoxines fongiques jaunes, de dibromure d'éthylène ou de fibres polymères, j'attends par exemple encore de l'aide à cette question posée il y a des mois et à laquelle rien n'est venu encore : le documentaire Mort subitement, sur l'épaississement du sang chez les injectés covid qui conduit aux thromboses, nous parle de l'arme vaccinale comme arme de premier choix par les mondialistes en prenant comme contre-point l'inefficacité relative des épandages de biocides, en nous parlant très brièvement, entre dessert et fromage, d’un double écueil qui n’est que supposé, et que j'aimerais mieux comprendre : « l'action des UV » et la vastitude de l'atmosphère tous deux en atténueraient considérablement les effets délétères pour les organismes vivants...

Contestons le système partout où nous le pouvons (et entre cents aidez-moi, aidez ceux qui le font déjà, à ne plus payer taxes ou amendes), refusons d'être vecteurs du mensonge, préparons l'avenir, entraidons-nous avant qu'il ne soit trop tard... Nous ne pouvons nous contenter d’opposer des formes de résistance passive, ou la passivité tout court, à la tyrannie — et si tu penses que je me trompe ici, justement encore : parlons-en ! Le pouvoir a beau recourir à la vidéosurveillance algorithmique, l’ennemi, ce n’est en tout cas déjà plus le « djihadiste », mais bien nommément le peuple paupérisé, le Gaulois réfractaire qui n’a plus rien à perdre. Nos officiels redoutent d'ailleurs depuis un moment la vengeance populaire, et s'y préparent... Nous vous invitons à penser fourches et pieux et non en polies requêtes parlementaires.

Nous devons nous montrer actifs, courageux et menaçants.

Les solutions existent. Au-delà du déni de ce qui nous arrive, notre enfer est d'abord fondé par cette idée folle que nous ne pourrions rien y faire.

Je viens de faire un tour dehors et constate des panaches abominables défigurant le ciel et, depuis le matin, un ballet ininterrompu de carlingues déféquant la mort. Ce ciel apocalyptique est celui de bien d’autres jours et, hélas, au train où vont les choses, celui de jours à venir encore... Cela aussi est parfaitement objectivé : les gens particulièrement sensibles à ces pathogènes sont victimes (en plus d’une encore relativement rare maladie des morgellons) de vertiges, d'irritations de gorge ou de violents maux de tête (comme entre autres notre maraîchère du coin) sous ces ciels, et beaucoup témoignent ne plus pouvoir se permettre de sortir de chez eux les jours de haute activité. Les dommages à moyen terme des épandages qui ont redoublé d’intensité il y a quelques années à peine, après ceux bien remarqués pour ceux qui ont commencé plus tôt et qui se traduit notamment par un bond spectaculaire (et divers thérapeutes y ont donné l’alerte) des cas d’autisme et d’Alzheimer. Cette situation, martelons-le, n’est pas supportable. Je crois encore que ceux qui « ne sont pas les bonnes personnes pour parler de tout ça » ne sont pas les bonnes personnes tout court.

Il s’agit d’un génocide planifié, en cours, et qui s’intensifie à la mesure où le mondialisme perd du terrain. Aussi n’ai-je pas eu besoin de lire ou qu’on me dise (fonctionnalités d’esprit d’assemblage, généralisantes) qu’ils mettraient les bouchées doubles pour le prédire, prédire ce qui arrive précisément aujourd’hui. Ne nous perdons toutefois pas encore sur les intentions — un pis-aller, un détail : nous savons le principal, ces produits tuent qui, déversés sur nous, ont bien cet effet, quel que soit le dessein de ces opérations qui vis-à-vis de ce dernier devient assez vite parfaitement accessoire... Je n’admets pas et personne ne devrait tolérer que nous nous autorisions à vivre comme si de rien n’était ; et le sain-t mouvement que la colère que suscite chez nous ce qui nous est fait n’est plus à attendre.

Que vous faut-il pour que vous vous réveilliez ?

S'il y a bien une chose qui est impardonnable, impardonnable devant Dieu, est que nous ne nous battions pas, en prenant tous les risques possibles ; et, comme je te le rappelais et te le dis une dernière fois, un retraité encore potent n'a pas le droit d'en faire moins que moi, qui, malgré un trente-huit heures (derrière lequel je ne peux cependant me réfugier) et surtout deux très jeunes enfants à charge (quant à eux une solide raison pour me faire hésiter à courir tous les risques pourtant à prendre), tous les jours cherche, informe, avance... Et c'est bien pour eux, ainsi que pour donner espoir à leurs parents, que nous vous demandons de trouver des solutions avec nous. Nous n’acquérons vraiment une bonne idée de l’intolérable qu’une fois seulement devenus parents...

Aucune volonté d’accablement, ou de susciter gratuitement le conflit chez moi. Moins encore d’envie de faire le malin... Je me rends seulement au devoir et à la peine, et fais tout ce que je peux pour susciter une réaction, en tant, avant tout, que papa, et papa qui a peur pour ses enfants, qui sont sacrés et dont la vie a tellement plus de valeur que celle de leurs empoisonneurs... Que nous le cherchions ou non, ce conflit nous prend déjà, en entier. Et je dis peut-être un peu vite qu’il nous prend en entier, puisqu’une façon possible de faire face à l’adversité reviendrait, peut-être, en tout plutôt qu’en partie dans cette optique, à diriger notre énergie à vouloir et à constituer autre chose. La solution consisterait, en quelque sorte (et bien que : « Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font »), à remonter en amont du problème par des actions exemplaires qui n’accorderaient aucune importance aux politiques thanatiques, leurs destructions haineuses, mais qui au contraire, en ne s’accordant qu’à recréer la vie, renouer avec elle, retrouver son fil et ses matières, la cultiver, la perpétuer (comme faire des enfants), les désamorceraient. Je sais, certes, que le système que nous produisons collectivement par la somme de nos consentements individuels a pour propriété de concentrer un pouvoir de nuisances phénoménal entre les mains d'un petit nombre de gens très dangereux. Mais je sais aussi, ou plutôt devine, que la peur constitue de quelque manière une expression performative de ce pouvoir-là...

Toujours est-il qu’il s’agit d’y travailler ensemble, de faire apparaître à nos consciences toutes les lignes d’espoir, dans le contexte d’un écroulement qui appelle à notre instinct d’adaptation, de conservation, et dont les expressions sont nécessairement, en endiguement des phénomènes d’isolation partout apparents, de solidaires réponses de groupes, de meutes.

Dans ce sujet total qui est celui de notre lutte pour la vie, il me semble que les chemtrails constituent un point d’accès privilégié, qui indique directement, lisiblement, notre état de docilité, de soumission et de perte — dont le test de la psy-op « covid » a assuré le mesurage... Avant même la question de la grave atteinte à nos corps, comment, du seul point de vue symbolique, peut-on aussi nonchalamment laisser nos ciels être tous les jours recouverts par l’industrie de la chimie ? Quel aveu d’une volonté de ne pas réellement vouloir vivre. Et quel abattement pour les esprits un peu éveillés que de prendre conscience qu’ils sont cernés de lemmings... Notre mission revient bien à dépasser, par là, toute l'insupportabilité de cet infra-monde dont nous avons à précipiter la chute, et d'en rassembler le sujet. Et tu peux par exemple aider et suivre le groupe d'action NON à Envirolead, tous empoisonnés, tous concernés, qui s'emploie à contrecarrer le projet d'implémentation de la plus grande usine de recyclage de batteries au plomb d'Europe, dans la région montoise, auquel je tente encore d'insuffler l'idée que nous ne pouvons nous contenter d'y être ni uniquement diplomates, parlementaristes, ni exclusifs...

Or, il m’apparaît tout à fait inacceptable, et d’abord pour nos innocents petits qui ne peuvent se défendre, de seulement attendre et espérer que le pouvoir politique et ses plans de mort pour nous capotent, que nous ne réagissions pas, de toutes nos forces, que nous ne fassions pas front face à la Bête et aux opérations de notre effacement en cours.

Les solutions existent et je te demande — nous demandons à tout le monde — de les chercher, de préférence avec moi, avec nous, au lieu de discuter du sexe des anges, de les ignorer, de se carapater, et au bout du compte d’abandonner nos devoirs les plus fondamentaux que nous devons avant tout à nos enfants.

De notre véritable devoir de mémoire : Yougoslavie, comme si nous étions...

Opération Indigo Skyfold :
https://geopolitics.co/2015/04/03/chemtrail-pilot-blows-the-lid-off-operation-indigo-skyfold/

Crime contre l’humanité :
https://geopolitics.co/2015/08/18/peer-reviewed-scientific-evidence-exposes-chemtrail-as-crime-against-humanity/

The Dimming, à voir si ce n’est pas encore fait.

« Il faut mettre fin aux traînées chimiques par tous les moyens nécessaires et à la géo-ingénierie par tous les moyens possibles ! »

« La voie d'exposition intranasale rend la pulvérisation de quantités massives de nanoaluminium dans le ciel particulièrement dangereuse, puisqu'elle sera inhalée par des personnes de tous âges, y compris les bébés et les jeunes enfants, pendant de nombreuses heures. Nous savons que ce sont les personnes âgées qui réagissent le plus à l'aluminium en suspension dans l'air. En raison de la taille nanométrique des particules d'aluminium utilisées, les systèmes de filtrage domestiques ne parviendront pas à éliminer l'aluminium, prolongeant ainsi l'exposition, même à l'intérieur des habitations. Outre l'inhalation de nano-aluminium, ces pulvérisations saturent le sol, l'eau et la végétation de niveaux élevés d'aluminium. Normalement, l'aluminium est peu absorbé par le tractus gastro-intestinal, mais le nanoaluminium est absorbé en quantités beaucoup plus importantes. Il a été démontré que l'aluminium absorbé est distribué dans un certain nombre d'organes et de tissus, y compris le cerveau et la moelle épinière. L'inhalation de ce nano-aluminium en suspension dans l'environnement produira également une réaction inflammatoire considérable dans les poumons, ce qui constituera un risque important pour les enfants et les adultes souffrant d'asthme et de maladies pulmonaires. Je prie pour que les pilotes qui pulvérisent cette substance dangereuse comprennent bien qu'ils détruisent également la vie et la santé de leurs familles. C'est également le cas de nos responsables politiques. Une fois que le sol, les plantes et les sources d'eau seront fortement contaminés, il sera impossible de réparer les dégâts causés. »

« Placés entre le feu de ceux qui aiment et le feu de ceux qui haïssent, il faut prêter main forte aux uns ou aux autres. Sachez-le donc ! ce n’est pas à l’homme en général, c’est à vous en particulier que l’appel est fait ; car toutes les forces morales, intellectuelles, matérielles, qui se trouvent à votre disposition, sont autant d’armes que Dieu vous a mises dans les mains, avec la liberté de vous en servir pour lui ou contre lui. Il faut vous battre ; vous vous battez nécessairement. Il ne vous est laissé que le choix du camp. » Ernest Hello « Il y a ceux qui ne se révoltent jamais et laissent couler la vie, indifférents au sort des humains et parfois même aux injustices dont ils sont eux-mêmes victimes. D'autres vivent des moments de révolte, mais, incapables de lui donner un sens, ils ne peuvent traduire leur révolte en actions ou en lignes de conduite. Et puis il existe de rares personnes qu'on dirait nées avec un besoin si aigu de justice, d'équité et de bonheur qu'il leur est impossible de ne pas vivre en état de révolte permanente. On pense souvent que ces hommes révoltés vivent tristement, occupés qu'ils sont à sans cesse dénoncer les injustices, et qu'ils ne peuvent jouir des beautés de la vie. On se trompe. L'homme révolté, pour parvenir à l'équilibre sur la corde raide de la critique permanente, doit croire profondément au bonheur et à la beauté des choses. C'est parce qu'il est profondément inspiré par la beauté et le bonheur qu'il en fait sa revendication incessante. » Gil Courtemanche

« Placés entre le feu de ceux qui aiment et le feu de ceux qui haïssent, il faut prêter main forte aux uns ou aux autres. Sachez-le donc ! ce n’est pas à l’homme en général, c’est à vous en particulier que l’appel est fait ; car toutes les forces morales, intellectuelles, matérielles, qui se trouvent à votre disposition, sont autant d’armes que Dieu vous a mises dans les mains, avec la liberté de vous en servir pour lui ou contre lui. Il faut vous battre ; vous vous battez nécessairement. Il ne vous est laissé que le choix du camp. » Ernest Hello

NOUS NE SOMMES PAS « ANTI-VAX », vous disions-nous il y a tout juste deux ans... D'abord peut-être d'après les raisons d'un goût linguistique minimal, mais en tout cas parce que la goutte de sérum au bout de la seringue n'est pas une substance chimique qu'on pourrait évaluer au moyen de critères purement fonctionnels, comme s'il s'agissait d'un élément nouveau qui aurait surgi par hasard du tableau de Mendeleïev. Cette goutte de sérum contient le monde qui l'a nécessitée, produite et vendue. Elle contient une histoire. Elle contient notre rapport à la mort et au soin, c'est-à-dire ce qu'il y a de plus humain en l'homme. À mille lieues de tout « complot » qu'il s'agirait de dévoiler, elle signifie à ciel ouvert l'économie qui l'a rendue possible : l'économie de l'accumulation, l'économie du déracinement, l'économie de la destruction des services publics, l'économie des pouvoirs totaux et de l'isolement entre les êtres, l'économie de la dépossession et de notre soumission instruite à son ordonnancement destructeur.

Par conséquent, nous ne rejetons pas ce vaccin parce que nous sommes « anti-vax » [ou, monstruosité expressive par calque de l'anglais : « des anti-vax »]. Nous rejetons ce vaccin parce qu'il est une partie d'un tout. Or, nous voulons que le vrai — l'impérieuse nécessité de s'élever contre l'injection obligatoire — soit reflet et accomplissement de ce Tout, et non simplement un moment à peine interruptif du faux omniprésent — comme contradiction superficielle du débat par les termes dans lesquels il est médiatiquement (im)posé.

Nous rejetons ce vaccin parce que nous voulons rester des Hommes. Nous le rejetons parce que l'humanité se définit premièrement par son rapport à la mort et aux soins, et parce que l'humanité ne saurait franchir, au nom du lucre et de la peur, les limites au-delà desquelles elle ne serait plus l'Humanité.

De même, nous ne rejetons pas l'obligation vaccinale parce que nous avons peur des effets (dits) secondaires (mais en réalité bien primaires, puisque : voulus, attendus, désirés) ou parce que Pfizer y trouve l'occasion de se remplir les poches. Nous rejetons cette obligation parce qu'elle nous contraint à poser un consentement à ce monde-là et parce que la valeur de ce consentement est performativement démultipliée par le caractère d'obligation qu'on lui donne.

Nous rejetons ce rite parce qu'il est plus qu'une liturgie : il est le sacrement d'un nouveau contrat social.

C'est ce que nous vous disions hier. Voici ce que nous voulons vous dire aujourd'hui.

Par ce changement de paradigme, ce cauchemar qui s'impose à nous, et en grande, majeure partie, que nous laissons nous imposer par l'impressionnante somme de nos adhésions passives, nous nous laissons contraindre, jusqu'à l'acceptation de notre liquidation, au choix lente ou brutale.

La campagne de mort des injections covid surmédiatisées n’est que l’arbre de la piqûre qui masque la forêt de notre empoisonnement industriel de masse... Polyvalent et tout d'abord incapacitant pour les âmes et les esprits qui s'y perdent et s'y soumettent, le plan d'empoisonnement qui nous vise interroge concrètement nos habitudes, par lesquelles (eschatologie et lois ou morales séculières s'y rejoignent parfaitement) nous n'avons pas d'avenir. Si les épandages aériens massifs de biocides qui compromettent gravement toute vie sur terre renvoie à l'anecdotique à peu près n'importe quel autre problème, sauf précisément celui, entier et grave, de notre démission...

Prenons encore bien la mesure que ce plan ne menace pas : il n'est pas à venir, mais il est déjà advenu, en voie de réalisation. Son danger mortel concerne moins les injections pourtant létales — conçues pour blesser et tuer — de Davos, que ce que les volontairement trop encombrantes questions « sanitaires » (et toute une batterie de sous-thèmes qui en découlent : « passeports », « biométries »...), « énergétiques », « climatiques » ou faussement guerrières (« guerre en Ukraine ») prennent grand soin d'occulter.

Comme première étape communicative d'un mouvement qui doit nous prendre en entier, nous atteindre en qualité, le message est à répandre, comme une traînée de poudre...

À notre devoir, nous ne pouvons plus nous contenter de pétitionner, ou d'interminablement diligenter des enquêtes sur la réalité vive d'un enfer dont nous aurions dû depuis longtemps déjà retenir l'essentiel pour en tirer les conclusions qui s'imposent. Nous n'en sommes plus au temps des transactions stériles, dociles tractages et marchandages politiques : nous devons taper du poing sur la table, imposer notre voix, tracer notre chemin propre, partout où nous sommes et en dehors des logiques claniques, des manifestations contrôlées et des chants partisans.

Il y va de la survie et de la vie de ce que nous avons de plus sacré : nos enfants.
Or, le temps presse. Le temps est au combat – par définition : notre combat.

Outre quelques virgules ou traits manquants : un manque de cohésion d'ensemble dû à l'insuffisance de la relecture à laquelle le temps nous manque. Ce texte auquel nous vous renvoyons, éminemment perfectible (et à reproduire sans mention de notre nom qui n'a ici aucune importance), doit cependant rencontrer sa force dans son incomplétude. L'essentiel est attendu en actions auxquelles seuls nous ne pouvons pas grand-chose. L'essentiel ne réside désormais plus que là.

Prochainement, nous entrerons en contact avec les quelques-uns qui ont déjà répondu à l'appel pour directions, répartitions, applications concrètes... Que ceux qui ne nous répondent pas (cela n'est pas nous répondre qui importe) agissent ! Et que ceux, ardemment attendus, qui cherchent encore des excuses à la passivité coupable derrière laquelle ils se terrent, et à la porte desquels il faudra peut-être venir un jour frapper, entendent qu'ils seront un jour jugés. L'individualisme est notre mouroir.

Nous n'en sommes plus au temps de la pétition et du marchandage ; agir signifie faire tout ce que nous pouvons — partout, dans les moindres recoins de la quotidienneté, dont les plus inattendus — pour arrêter, et au besoin éliminer, ces haïssables empoisonneurs eux-mêmes très assidument occupés à nous réduire en esclavage et à rien, nous écraser, nous nuire, nous tuer.

Nous sommes les premiers responsables de ce qui nous arrive. Au seuil de la lutte que nous avons à porter faut-il alors encore impérieusement reconnaître qu'ils ne sont forts que parce que nous sommes faibles, et nous employer à bien voir que si seulement 15 % d’entre nous tous accomplissaient ce que moins d’1 % d’entre nous seulement consent à faire (de pourtant modeste), ce mal ne pourrait advenir qui s'évanouirait de lui-même.

Cette reconnaissance-là engage celle de notre paresse aujourd'hui quasi congénitale, et à contraindre... La lecture d'un texte, même court, est aujourd'hui — signe de nos véritables hontes tout à fait admises — un pensum pour la plupart d'entre nous. L'astreinte de ce qui doit nous faire un peu bouger, et qui ne demande de nous pas même le quart de ce que certains de nos héros (anonymes pour beaucoup : l'empoisonnement des âmes passe par l'interdiction de notre histoire) font et ont fait pour leurs enfants et pour nous, ne représente pourtant qu'une très courte peine vis-à-vis de ce que nous encourons.

Nos enfants ne nous réclament qu'un tout petit peu de courage...

Par-dessus le marché, voyons que cette époque, celle de l'épopée, est également magnifique. Elle nous offre précisément l'occasion réelle — et en réalité immanquable — de transformer profondément nos vies, congelées, de les réinstaller dans des rapports véritablement et chaudement humains, de leur réassigner une destinée, et d'abattre définitivement les ressorts thanatiques, froids, monstrueux de cet infra-monde que nous avons bien trop longtemps déjà entretenu. Ce combat est à envisager d'abord comme motif supérieur de réjouissance.

Soyons les promoteurs de la vie, les diffuseurs actifs de son grand message.

Et comme l’a déjà dit un éminent professeur, martyr pour nous et les générations à venir, auquel nous devons d'honorer la mémoire : nous croyons que notre devoir, c’est le vôtre aussi.

Sincèrement et par tous nos vœux de bonheur pour l'année et les temps tumultueux qui viennent.

Plus terrifiant que le bruit des bottes, le silence des pantoufles.
Max Frisch

Ils sont en train de nous mettre à mort. Et nous devons nous battre, pour nos petits, innocents, les hommes qui sont encore des hommes doivent se battre. Un point, c'est tout.

Nous sommes témoins de la guerre psychologique la plus intense de tous les temps. Gardez votre esprit infrangible. Vous n'êtes pas seul.
Messagers anonymes

Il y a quelque temps, tel un lanceur d’alerte nous vous contactions pour tenter d’avertir, dès sa mise en place, de la nature du plan de psy-op « covid », qui ne devait être que la première figure d’une démolition contrôlée de l’économie (comprendre : des nations acceptant cette folie), avec l’idée que par ailleurs celle-ci était annoncée et intégralement décrite par le Forum économique mondial, dont le trop peu fameux (quoique épiphénomène vis-à-vis du profond travail de déconstruction qui ne l’a évidemment pas attendu début 2020) bouquin de Klaus Schwab...

Le délitement des (structures de) soins de santé a pris un tournant sans doute décisif avec l’interdiction de soins tout court, dont les victimes (y inclus les tout premiers zombis de Wuhan ou les laissés pour morts à domicile, aux seuils et entubages d’hôpitaux), bien avant les injectés (nous ne pourrons connaître avant quelques années l’ampleur du lourd bilan négatif de ces injections, aujourd’hui déjà totalement catastrophique et dont nous nous refusons à croire les projections les plus pessimistes), sont les premières des prophéties autorévélatrices de « cas » d’un « covid » performatif : le covid en effet tue, comme le « réchauffement climatique », mais précisément dans les réponses données à ces problèmes imaginaires. C’est la pièce manque à 95 % de la « dissidence » : la marque covid, comme le réchauffisme (l'écologisme généralement) l'antiracisme, le féminisme ou le elgébétisme recouvrent leur propre maladie. Sans même évoquer les euthanasiés, ou la destruction délibérée des réserves agricoles sur un sujet parallèle, ce tournant-là au moins a dû nous laisser l’indice sûr que quelque chose était en effet pourri au Royaume du Danemark, certes, mais encore que cette démolition concernait un peu plus que la déstructuration des biens et des services, pour directement toucher ceux auxquels ils sont normalement destinés. Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement : cette liquidation totale, qui est donc aussi celle de nos corps, est bien la nôtre.

Or, si les soubresauts de « crises » économiques telles que celle des « subprimes » en 2007-2008 ne nous ont pas intimement affectés, nous sentons bien que cette nouvelle grande braderie a comme une petite odeur de sapin...

Je vous demande à tous de voir, et de bien regarder, cette pièce documentaire, relativement courte, qui constituera un point de départ, pour réponses dynamiques, interventions signifiantes. ll y en a d’autres, de plus alarmantes, ou de plus célèbres (What in the World Are They Spraying ?), mais Bye bye blue sky (Patrick Pasin, 2011), figurant la courageuse Claire Henrion à laquelle nous avons adressé ce message, est particulièrement parlant. En cas de difficultés de lecture de la vidéo sur cette page, vous pouvez la visionner ou la télécharger à partir du lien hébergé ici [dernier lien temporairement indisponible], ou bien la voir (et la télécharger) sur Youtube tant qu'elle y est disponible, sur la page de l'ACSEIPICA par ici, ou par exemple ici, ou bien encore ici en deux parties : 1, 2.

Nous ne pouvons pas ne pas mentionner The Dimming, cette pièce vidéo documentaire, que nous vous invitons urgemment à découvrir également ou avant toute chose. Il s'agit de l'œuvre documentaire vidéo la plus complète et précise que nous connaissons. Quiconque après avoir vu ce film doute encore de la réalité de la géo-ingénierie commettant d'irréparables dégâts envers toutes les formes de vie sur terre est soit absolument stupide, soit lâche, soit s'exprime sous contrainte, la menace de violentes représailles. Tout y est donné à voir, y compris le fait — qui à lui seul doit faire taire tous nos contradicteurs, qui ressortent donc d'une de ces trois catégories — que la géo-ingénierie est reconnue par toutes les autorités du monde. Il a comme qualité de nous faire bien comprendre que nous avons franchi ce seuil de criticité au-delà duquel nous ne devons, certes, ne plus en avoir rien à faire de l'opinion des endormis qui nous prennent pour des illuminés, ne plus nous soucier d'être traités de fous par d'irresponsables abrutis, mais encore au-delà duquel nous ne pouvons plus censurer notre parole (notre devoir) sur des motifs, dérisoires en comparaison de cette menace existentielle, tels que la préservation de notre fiche de paie ou de notre pension... Tout le monde devrait voir ce documentaire, ici dans sa version originale, et rendu ici dans une version avec voix française par-dessus la voix anglophone, et encore ici dans une version sous-titrée en français (mais dans une qualité vidéo moindre, en attendant de trouver ou de faire nous-mêmes mieux). Au même titre que l'ensemble d'OVDNS, ce film représente une arme de propagande, une preuve irréfutable en deux heures sur l'activité criminelle catastrophique en cours d'exécution, une arme contre les idiots et les pleutres qui continuent d'y mentir, de la dénier.

The Dimming appelle irrévocablement à notre action.

« Vous ne pouvez pas ne pas vous en soucier. Ne pas vous en soucier n'est pas humain. » (Ron Kauk, escaladeur de renommée internationale)

« Ces chemtrails ne sont pas socialement acceptables et nous ne pouvons pas faire comme s'ils n'existaient pas. » (Catherine Austin Fitts, ex-membre du cabinet présidentiel sous G. H. Bush)

« En aucun cas les traînées d'aviation [ndlr : contrails] ne s'attardent et ne se dissipent pour former un couvercle nuageux, point à la ligne, fin du débat [ndlr : avec ceux qui nous parlent de phénomène attendu et habituel de condensation]. » (Charles Jones, ex-brigadier général de l'US Air force, pilote de reconnaissance météorologique tactique)

« Il y a longtemps notre ciel était typiquement bleu et aujourd’hui ce que nous observons n’est que lignes et brumes, et pratiquement rien de ce que nous voyons désormais à l’horizon au-dessus de nos têtes dans le ciel n'est de formation naturelle. Concernant l’aluminium, l’analyse de notre échantillon de neige dans cette région du Mont Shasta a révélé 61 000 microgrammes par litre... Nous avons constaté dans cette zone, qu’en cinq ans le PH du sol s'est vertigineusement multiplié par 10 ou 12. Et ceci, nous pouvons le démontrer de manière convaincante. Aucune spéculation ! Après plusieurs jours d’épandages intenses, une pellicule s’est formée sur la surface de l’eau. Nous avons alors analysé cette couche qui a révélé de l’aluminium et du baryum. Durant un an et demi d’accumulation, celle-ci contenait 375 000 parties d’aluminium par milliard, ce qui est littéralement toxique. »

« Les programmes de géo-ingénierie sont par définition une attaque directe aux aspects les plus élémentaires de la nature. Si cette contamination existe, ne devrions-nous pas enquêter ? Les agences locales qui ont clairement refusé de le faire, ne devraient-elles pas ouvrir une enquête ? Une couche d’ozone fractionnée, une sécheresse à niveau global, des terres contaminées, des populations empoisonnées, tout cela ne relève-t-il pas de la plus haute importance ? J’aborde ce sujet avec foi, avec la certitude que collectivement, en tant qu’êtres humains, en tant qu’humanité, nous avons le pouvoir et la capacité de freiner ces programmes si préjudiciables. »

« C’est un changement profond et très peu de gens le savent. Il y a des phénomènes très visibles dans le ciel produits par des avions, une obstruction du soleil manifeste et en expansion, des sillages polluants qui correspondent exactement à ce que décrivent les brevets de géo-ingénierie. D’où provient toute cette quantité de métaux ? Pourquoi de nombreux rapports associent des maladies comme l’asthme, le syndrome du déficit d’attention, Alzheimer et l’autisme avec l’aluminium ou l’inhalation de particules ? Pourquoi ces maladies ont-elles fortement augmenté ? » (Dane Wigington, chercheur principal de www.geoengineeringwatch.org)

« Si vous aimez vos enfants, rejoignez-nous, en combattant ce que nous devons combattre. C'est un combat juste, c'est le bon combat, c'est la bonne cause. » (docteur Dietrich Klinghardt, éminent spécialiste du traitement des maladies connues, fondateur du Sophia Health Institute)

(The Dimming, 2021)

L'ACSEIPICA, dont nous soulignons le patient labeur, se présente comme suit : « Nous œuvrons à pallier le déficit total d’information et de transparence sur les épandages aériens clandestins que nous constatons, de manière généralisée depuis 2002 et, plus largement sur la géo-ingénierie (techniques de modification du climat et de l’environnement). Les organismes officiels évitent le sujet et s’abstiennent d’adopter une réelle démarche scientifique, du fait qu’ils dédaignent en tout premier lieu le B.A.BA de la science : l’observation. »

En 2019, soit huit ans après la sortie de ce film documentaire, Véronique Gosset, une internaute, écrivait : « Rien n’a bougé. C’est incroyable et terrible pour tous les règnes sur terre. » Trois ou quatre ans plus tard, soit plus d'une décennie après celui-ci, et bien plus encore depuis le début de ces opérations criminelles, nous sommes obligés, tristes, de nous rendre au même constat.

Sur ces « chemtrails », différents brevets nous apprennent que plusieurs produits ont été et sont largués régulièrement par avions, dont : des sulfates, de l’acide sulfurique, du dioxyde de titane, des particules composées d'oxydes métalliques, comme l’alumine (ou oxyde d'aluminium), le baryum ou l’oxyde de thorium. Sont à y trouver de très fines particules de sable qui resteront dans la haute atmosphère pendant environ deux ans, la pulvérisation de poisons comme des herbicides ou des insecticides, ainsi que, entre autres, d’iodure d'argent, d’iodate de sodium (utilisé comme conservateur dans l'industrie alimentaire et comme additif dans le sel de table iodé), de chromate de baryum (qui pulvérisé et inhalé est à la fois cancérigène, génotoxique et cytotoxique) ou de poly(p-phénylène)... On trouve aussi dans ces brevets la présence de periodate de potassium (nocif en cas d'ingestion, irritant pour la peau et les yeux), d'iodate de baryum, d'iodure de cuivre, d'iodure de plomb (très toxique pour la santé humaine, cancérigène), de perchlorate d'ammonium (provoquant divers problèmes thyroïdiens) et de résine phénolique... Les brevets US 3517505 et 3517512 parlent d'injection d'acide chlorosulfurique (ou chlorosulfonique) dans l'échappement moteur. Cette substance extrêmement corrosive fut déjà utilisée comme gaz de combat contre les êtres humains durant la « Grande Guerre ». Elle provoque de graves brûlures, est hautement toxique pour les voies respiratoires et muqueuses pulmonaires qu'elle détruit. L’intoxication aiguë au baryum chez l’homme se manifeste quant à elle par des symptômes tels que douleurs abdominales intenses, diarrhées sanglantes ou troubles cardio-vasculaires. L’intoxication peut se solder par la mort, en raison d’une insuffisance respiratoire ou d’un problème cardiaque devenant létaux... Parlons aussi d’oxyde de graphène, si vous voulez... [1]

Voilà en tout cas qui rappelle opportunément des symptômes (qui comme nous vous le montrions déjà ne peuvent sérieusement être indexés en bloc à quelque « virose » que ce soit) attribués au très fantomatique et pourtant si envahissant « covid », lui-même prétexte à une vaccination de masse en tant que moyen plus direct encore d’empoisonnement, par lequel d’autres produits hautement toxiques sont encore injectés dans les organismes. Mais les ravis de la crèche d’hier qui se sont soudainement donnés en spécialistes d’« immunologie », de « virologie » ou d’« infectiologie » pour découvrir que — en effet — la grippe tue et a toujours tué, tout en omettant cet important détail que le bilan 2020 n’avait démographiquement rien de remarquable, seront demain ceux qui expliqueront que « la grippe » est cause de thromboses à un public déjà bien préparé... Pensons notamment à ces subits avertissements du risque d’infarctus lié à la consommation de pizza (je cite donc), au (« changement » de) « climat » ou à la pollution de l'air (ah ben tiens), au stress des vacances, à l'huile de poisson, au décalage horaire, aux boissons énergisantes et aux rapports sexuels aussi, au fait de travailler de longues heures, de « manger du poulet deux fois par semaine » ou de s'endormir devant la télé, de se ronger les ongles, de jeûner (!), ou encore de sauter le petit déjeuner (alors que le jeûne est précisément la forme la plus radicale de prévention, réelle et ancestrale, de détoxication), ou bien à ces épouvantables placards de métros pour « prévention des AVC chez les enfants ». Ce public ( «cible ») les aura vus sans les voir, comme il aura vu passer sans les lire (parce qu’il voit tout, mais qu’il ne lit plus rien) mille infos contradictoires et insensées produites pour entretenir la confusion de son immobile déchéance.

Si l’important n'est pas à ces horribles décomptes « sanitaires » à bien comprendre en qualité, non en quantité, voilà en tout cas encore ce que nous pouvons dûment appeler « crime parfait ». Nous devons aussi bien parler de crime sans guillemets ni ambages puisque l’intention criminelle, la préméditation, est tout objective, que nous connaissions d'ailleurs déjà par toute culture critique avant même le lancement de la campagne vaccinale sans avoir à la prouver par le recours à des tas de documents officiels (comme ceux autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription de thérapies prometteuses ainsi que la circulation des molécules efficaces depuis des décennies et siècles) et autres faits matériels tels que ces brigades mobiles qui ont fait le tour des établissements d'hébergement pour personnes âgées afin de soumettre celles-ci par la force à des injections fatales de Rivotril...

L’idée n’est pas de verser gratuitement dans le sordide, bien que nous y sommes déjà pleinement entrés, mais seulement d’en goûter ce qu’il faut afin d’en être tout juste suffisamment conscients pour naissance d’une étincelle, d’un choc nécessaire à la transformation (à une prise de conscience comme condition sine qua non de production d’un déclic attendu), tout en ne se laissant pas happer par les appels au désespoir. Surtout pas. Pour le dire en une formule ramassée, l’avènement du désespoir, dernière frontière du renoncement, est l’horizon d’agenda du processus actif du « progressisme » pour tous (femmes et enfants admis), et par toutes ses enculeries, culs-de-sac à la pensée et l’évolution des cheminements humains, comme la « guerre des sexes » entretenue par le féminisme aussi parfaitement stérile qu’horizontal. Nous conviendrons aussi que pour l’instant ce processus n’a pas trop mal fonctionné, lorsqu’on sait que des enfants, et pas que des entrepreneurs en faillite ou des infirmiers laissés sur le carreau, se sont suicidés à force d’avoir côtoyé des loques adultes masquées qui les ont humainement éteints... Et nous conviendrons enfin que si nous ne pouvons véritablement contourner l'effet d'effroi qui éloignera certains lecteurs de ce texte devant donner aussi l'idée de combat pour la préservation de nos âmes, nous savons que celui-ci ne fait qu'intégrer une batterie de mécanismes (dont d'auto-défense) psychologiques chez des faibles déjà résignés (et souvent vaccinés) que nous ne pouvons nous acharner à vouloir prendre avec nous.

Au bas mot, des dizaines de milliers de documents existent sur ces épandages — dont nous vous rendons ici, en section de ressources, quelques dizaines de clichés du ciel pris par nos soins ces derniers temps et qui intègrent une base de données planétaire relevée aux quatre coins du globe (ici Paris en septembre 2022) — qui ne datent pas d’hier (et qui doivent d’ailleurs inclure, dans une séquence historique qui est bien la nôtre, les opérations Ranch Hand et Popeye sur le Viêt Nam), mais qui ont décuplé depuis le début de l’opération Great Reset...


Faisons simple : nous n'avons aucune prétention à convaincre qui que ce soit. Nous n'avons pas ou plus ni l’envie ni la volonté de persuader celui (ou de plus en plus tristement souvent : « iel ») qui n’aura par exemple pas déjà compris (pire : admis) que tout conseil « sanitaire » au « bien-être » bien nommé s’inscrit à rebrousse-poil des poncifs et des farces officiels agencés au FMI, ou la nécessité de se couper totalement de la télé... Chez ceux mêmes qui ont encore l’électricité à tous les étages (la vaste majorité d’entre vous, aurions-nous l’audace de croire), et qui comme les premiers ne sont pas du tout obligés de nous lire, nous n'avons pas même vraiment la prétention de pousser qui que ce soit à la conviction... Allons au plus court, gagnons du temps aussi : cette vidéo avec ce texte nous épargnent de longs palabres sur la physique et la chimie atmosphériques, et une démonstration potentiellement étirable sur des pages entières qui nous conduiraient de toute façon à ce même constat incontournable que ces épandages criminels (et pernicieusement qualifiés de « semi-clandestins ») sur les populations civiles existent, hélas, et que leur réalité, objective, objectivée, objectivable, ne fait — dissipons tout malentendu — aucun doute. Comprendre : le mois d'octobre n'a pas été exceptionnellement « lourd » du fait des pets de vaches et que vous triez mal vos déchets, mais parce qu'on nous asphyxie...

À l’heure où bien communiquer est devenu un crime (ce à quoi nous a patiemment préparés ce stupide slogan d'après lequel « l’opinion est un délit », auquel nous a fait plier par usure « les idées tuent » pour manchots de « safe spaces » en devenir...) et au moins pour tuer dans l’œuf toute velléité d’inversion accusatoire particulièrement à la mode chez les dépossédés, nous tenons à répéter bien haut : ces mots ne sont que des mots et ne sont en aucun cas des armes, qui dénoncent au contraire des violences réelles (qui sont toujours autre chose et plus que des signes et symboles), elles-mêmes supportées par des mots, mais qui ne sont pas les miens. Que vous vous pensiez assez vifs pour déterminer que nous sommes à côté de la plaque ou pour toute raison qui vous sied, si vous n’y avez pas le goût, par pitié : ne nous lisez pas. Nous ne pouvons et ne voulons donc même pas convaincre qui que ce soit, et ne pourrions rien faire de plus pour celui qui n’a pas sans nous déjà parfaitement saisi que dans l’imprécation de « réduction de notre empreinte carbone », « carbone » est tout à fait superfétatoire. En réalité, un gouffre (anthropologique) est peut-être devenu infranchissable qui sépare l’infra-monde du mondialisme et les morts-vivants qui peuplent ses déserts et le monde qui se maintient encore par des vivants qui contestent les difformités de son illégitime pouvoir (écologiste, antiraciste, progressiste, inclusive, covidiste, elgébétiste, etc., dont toutes les écuries politiques sont les chambres d’enregistrement). Entre les deux : seulement d’indécis écartelés sur de fébriles ponts de singe, en voie de devenir ou prêts à périr... Rien d’autre. « LFI », « FN », « NUPES », « PS », « LR »... Nous ne pouvons plus en lire le sens, ni même ce qui préside encore à la volonté de les distinguer, sinon la perpétuation de celle d’en finir avec nous-mêmes. Bref, nous ne voulons donc en tout cas pas ressusciter les morts ni rendre la vue aux aveugles, en plus de ne pas le pouvoir.

Soulignons au passage l’écueil des modes idiotes pour la « spécialisation », pourtant à fuir comme donnée d’horizon de pensée. Le spectateur tombe dans son piège médiatique, conduit, au moment « covid », dans les voies sans issue de considérations « médicales », éminemment captieuses dans les perspectives de toute juste critique, puisqu’elles soustraient au regard les objets premiers de cette opération « covid-19 », moraux, politiques, anthropologiques ou philosophiques, d’indignation et de rébellion : l'imposture en cours est bien politique avant d'être médicale (ou plus médiocrement encore « sanitaire »), et en voie politique doivent se poser haut et fort à l'avant-plan du débat des questions profondément morales, à faire émerger, telles que la fin ne peut justifier tous les moyens, et non pas celles, d'un alter-covidisme à récuser, qui consistent d'abord à se demander si Raoult est le meilleur tout en reprenant la base idéologique et phraséologique du « danger viral » qui n'a jamais constitué de menace (en plus d'être hautement contestable) et, en dépit des bonnes intentions, canalisent les énergies dans des voies de garage. N’hésitons pas à tirer un parallèle entre cette façon de manipulation (insidieuse dans son élémentarité) et une autre, qui ne lui est pas étrangère. De lénifiants « débats » parlementaires qui récemment débouchaient sur la « révélation » de l’« inefficacité » (novlangue pour : « extrême dangerosité ») des vaccins manquaient le principal, sur le principe de la vaccine (du bon vieux Barthes si notre mémoire est bonne) qui nous fait comprendre que ces confessions ponctuelles de maux présentés comme accidentels (cf. « effets secondaires ») recouvrent la tentative d’occultation de la nature principielle du mal auxquelles elles se rapportent... Du reste, si Al Gore, alors vice-président des États-Unis, annonce lui-même le programme de pollution de notre atmosphère ou si, entre tant d'autres personnalités publiques, un ex-directeur de la CIA parle ouvertement de ces épandages, le gouvernement espagnol a quant à lui récemment admis à son journal officiel (et avant Yuval Noah Harari venant de « révéler » que la « plandémie covid » a pour but de promouvoir et rendre légitime dans les populations la surveillance biométrique totale) avoir aspergé des pesticides mortels sur sa population sous couvert de « lutte contre le changement climatique et le covid-19 ».

« La technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives, dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance. Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l'espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs. » (Zbigniew Brzeziński, Between Two Ages : America's Role in the Technetronic Era, 1970)

Dans la nuit des 25 et 27 décembre 1999, deux ouragans d'une violence exceptionnelle s'abattaient sur la France, alors que le pays s'apprêtait à célébrer le passage à l'an 2 000. Au lendemain de ces tempêtes, le réseau électrique anéanti et une partie importante des forêts complètement dévastée aux arbres décapités ou arrachés offrent un paysage apocalyptique. Ces tempêtes pourraient avoir été provoquées par une arme climatique, utilisée afin de sanctionner l'attitude récalcitrante de la France sur la mondialisation, les OGM, et le traité de l'AMI... Ces tempêtes représentaient un phénomène météo très inhabituel, avec un jet stream exceptionnellement rapide, et qui, de plus, est descendu en basse couche, ce qui n'est pas censé se produire. Une photo satellite de 18 heures du 27 décembre montre très bien ce jet stream, formant une aiguille d'environ 1200 km de long qui arrive perpendiculairement à la côte atlantique. Les modélisations 3D réalisées par Météo-France sont également très intéressantes et montrent, notamment par les cartes de la force des vents des 25 et 27 décembre, à quel point la configuration météorologique avait l'efficacité d'une machine de guerre.

L'existence des armes climatiques était déjà implicitement admise il y a près d'un demi-siècle par un traité international de désarmement : celui-ci, sous le nom de convention ENMOD, interdit expressément le développement d'armes « de nature à influencer le climat ». Le fait que ce type d'armes était mentionné indiquait déjà que leur existence n'est pas de la science-fiction, avant que ces armes soient aujourd'hui parfaitement reconnues.

Plus proche de nous que les épandages américains mortels au Viêt Nam : des centaines de documents ont été publiés au sujet des expériences chimiques et biologiques de Porton Down (parc scientifique militaire) au Royaume-Uni dans les années 50 et 60 où les êtres humains ont là encore été utilisés comme cobayes. Le gouvernement britannique a reconnu avoir pulvérisé des neurotoxiques (mortels même à doses faibles), dont le sarin et l'agent innervant VX, au-dessus de la campagne du Wiltshire à la fin des années 60, transformant de grandes parties du pays en un laboratoire géant pour conduction de tests secrets d’armes chimiques et bactériologiques. En 2002, à la question demandant si de tels tests étaient toujours effectués, Sue Ellison, porte-parole de Porton Down a répondu : « ce n’est pas notre politique de discuter des recherches en cours ». Les États-Unis, comme l’Europe ont été le terrain de jeu des gouvernements, notamment la Californie, où des millions d’oiseaux tombent du ciel, comme dans les Etats voisins.

Entre tant d'autres événements finalement peut-être pas si « naturels » que cela, songeons au tsunami de 2004 dans l'océan Indien, aux inondations meurtrières au Pakistan en 2010, ou encore aux tempêtes de 1999 en France pour la punir d'avoir à l'époque voté contre l'application d'un traité OGM...

« Le climat va devenir l'arme absolue pour mener des guerres secrètes économiques ou militaires avec un minimum de gens au courant pour faire plier l'ennemi potentiel et l'obliger à accepter les exigences de l'Amérique. » (Zbigniew Brzeziński)

Ou relevons encore à la trop peu connue « affaire du pain maudit » ayant frappé (principalement) le village de Pont-Saint-Esprit en France (Gard), dans l'été 1951, et la « folie collective » qui aurait touché entre 250 et 500 personnes, atteintes de symptômes plus ou moins graves ou durables, pour en tuer cinq à sept, dont deux par suicide, et laisser 50 personnes internées en hôpital psychiatrique. Depuis, cette « folie » est le plus officiellement attribuée à une intoxication à l'ergot, ce qui signifie que les habitants auraient soit consommé du pain infecté par une moisissure psychédélique, soit au mercure organique, cependant que nombre d'experts prétendaient que la moisissure ne pouvait expliquer ni l'événement ni les maux qui frappèrent des centaines de personnes de la petite ville. Un livre juste sorti aux États-Unis décrit minutieusement des entretiens d'une série de retraités des services de renseignement étasuniens qui avaient une connaissance directe des événements français de 1951, et allègue que la « folie collective » inexpliquée jusqu’ici dans la petite ville isolée résultait d'une expérience secrète de la CIA, menée sous le nom de code Opération Span, qui faisait elle-même partie du projet MK Naomi, un complément « top secret » du projet de triste notoriété MK-ULTRA. L'ouvrage A Terrible Mistake : The Murder of Frank Olson and the CIA's Secret Cold War Experiments suit l'enquête d'un journaliste d'investigation (Hank P. Jr. Albarelli) qui cherche à identifier les meurtriers de Frank Olson, bactériologiste qui travaillait pour la CIA dans les années d'après-guerre, étudiait les armes biologiques et le contrôle mental via l'usage de drogues, et responsable de l'intoxication de la population de Pont-Saint-Esprit en 1951. Il expose que l’épidémie fut le résultat d'une expérimentation d'aérosol de LSD, dirigée par la Division des opérations spéciales de l'US Army à Fort Detrick dans le Maryland. L'auteur note aussi que les scientifiques qui ont émis les fausses explications de couverture du pain contaminé ou de l'empoisonnement au mercure pour tromper sur la véritable origine des événements travaillaient pour la compagnie pharmaceutique Sandoz, qui à l’époque fournissait du LSD secrètement à la fois à l'US army et à la CIA pour la recherche. De ces événements pour le moins étranges, un journal français écrivait à l'époque : « Ce n'est ni du Shakespeare, ni de l’Edgar Poe. C’est hélas la triste réalité tout autour de Pont-Saint-Esprit et de ses environs, où se déroulent des scènes d'hallucinations terrifiantes. Ce sont des scènes tout droit sorties du Moyen âge, des scènes d'horreur et de pathos, pleines d'ombres sinistres. » Le magazine étasunien Time, dont l'éditeur Henry Luce était étroitement lié aux activités de propagande de la CIA dans les années 50, écrivait : « Parmi les affligés, grandissait le délire : les patients se débattaient sauvagement sur leur lit, en hurlant que des fleurs rouges s’épanouissaient sur leur corps, que leurs têtes se transformaient en plomb fondu. L’hôpital de Pont-Saint-Esprit a signalé quatre tentatives de suicide. » En 2002, Régis Delaigue indique dans son ouvrage Le Feu Saint-Antoine et l'étonnante intoxication ergotée que l'affaire du pain maudit de Pont-Saint-Esprit n'est toujours pas élucidée ; et en 2015, le réalisateur de documentaire Olivier Pighetti réalise le film Pont-Saint-Esprit, 1951 : 5 morts, 30 internés, 300 malades Le complot de la CIA, diffusé à la télévision française sur France 3.

Ces quelques précautions factuelles prises, ne nous attardons pas sur ses motifs de nos abdications collectives, pour nous contenter d'en acter le constat. Évitons d'y macérer, et de nourrir à la perte d’espoir que nous devons combattre en tout premier lieu en nous activant aussi à chercher les signes de cet espoir, à nous maintenir à son contact. Pour toute ouverture d'approfondissement, par exemple quant aux « faits » qui comme la logique n’ont jamais aussi peu compté que chez ceux qui aujourd’hui, dépourvus de tout système pour les interpréter, infoutus de coudre deux idées, s’en réclament à tour-de-bras, et parce que nos circonlocutions doivent bien prendre quelques vacances, reportez-vous à la première note tout en bas de ce texte pour un très bref développement ouvert sur ce dernier thème, qui doit nous porter à une certaine économie de l'effort et à ne plus nous user à vouloir aider ceux qui se vouent à la mort [2]. Trouvez encore, à cette même section, un extrait déjà proposé à certains d’entre vous [3] — et qui doit valoir comme clin d’œil utile à tout collègue « préventeur » curieux pour une approche un peu critique du safetyism (lorsque le gouvernement nous parle de sécurité, c'est généralement pour nous tuer) aux fins, par exemple, d’« analyses de risque » promues par une « identification du danger » un rien sérieuse, et qui ne soit pas seulement le resucé des plus basses billevesées du travail comme fin (d’exploitation...) en soi.

Les injections de mort n’ont constitué, dans ce douloureux (et plus si lent...) processus qui nous occupe, qu’une première étape, mais un danger face auquel nous av(i)ons encore une marge décisive de refus volontaire, fût-elle à saisir dans la douleur. Il en va autrement pour ces épandages auxquels personne, sauf à vivre sous terre avec les termites et sa vitamine D (à Denver ?), ne peut espérer durablement échapper. Le plan, qui nous touche tous, femmes et enfants compris, et plutôt à « myocarditis-term » qu’à moyen ou long terme, est plus concrètement et morbidement déployé, dessiné tout juste au-dessus de nos têtes quasi quotidiennement.

Des milliers de témoins dans le monde entier dénoncent des traînées d’avions dans le ciel qui se développent d’un horizon à l’autre, s’élargissent et fusionnent jusqu’à le recouvrir d’une brume artificielle d'un blanc laiteux. Officiellement ces traînées sont considérées comme des traces de condensation laissées par les avions. Il est cependant absolument scientifiquement établi que les traces de condensation sont identifiables à des altitudes élevées de l’ordre de 8-10 km et que celles-ci se résorbent rapidement alors que les chemtrails apparaissent à des altitudes nettement plus basses, entre 2 000 et 5 000 mètres, et s’estompent très lentement. Il n'en faut pas plus qu'un sens de l'observation rudimentaire pour le découvrir, et voir un ciel bleu se changer sous nos yeux, en quelques (dizaines de) minutes à peine, par ces traînées qui s’étendent pour former de simili-masses nuageuses et couvrir notre ciel. Ces traînées, laissées à plus basse altitude, sont bien plus persistantes que les très innocentes traînées de condensation de l'aviation civile, qui elles ne peuvent possiblement, avant de se dissiper quasi instantanément, se former qu'à très haute altitude donc, et quand l'air est extrêmement froid, inférieur à -40°c avec une grande quantité de vapeur d'eau. Il est impossible que les traits laissés par la condensation de kérosène des avions soient responsables des motifs durables dans le ciel et de son voilement, qui ne sont ni normaux ni naturels.

S'il fallait que vous en passiez par là pour vous convaincre de l'existence de ces activités criminelles, vous n'auriez par exemple encore qu'à comparer les cartes en ligne du trafic aérien en temps en réel avec les heures de passage de ces avions militaires de l'OTAN au-dessus de chez vous... Mais passons, notre dessein n'étant pas donc de tenter de convaincre les inconvertissables et ineffables crétins, pour des raisons à la fois pratiques (c'est chose vaine, presque ontologiquement) et stratégiques (nous n'en avons plus ni l'énergie ni le temps).

Le cœur de mission de plus d’un demi-siècle d’asservissement politique appris aura été de nous couper de ce sens de l’observation (ou de sa possibilité même), siégeant pourtant aux premiers principes de l’intelligence (ou de sa formation), et face à laquelle aucune idéologie d’État (par les monstres qu’elle engendre) ne peut survivre — État à l’avant-plan duquel règne encore le si spectaculairement fallacieux « antiracisme », assis sur la rente du prodigieux et émétique mythe fondateur du siècle dernier (sur le silence duquel se repèrent très décisivement toutes les niches de l’opposition contrôlée) et le capitaliste besoin, Gallia delenda est, de « se débarrasser des mâles blancs » (Areva). Nous n’interrogeons pas plus les mots creux dont on nous paie que ceux que bien souvent nous usons volontiers (« climato-sceptique », ding ding), usagers fantômes de phraséologies qui n’entretiennent quasiment plus aucun lien avec la réalité sensible. Et il devient évident qu'il soit si peu étonnant que l'on ne puisse pas voir des avions qui nous arrosent à longueur de temps à partir du moment où l’on ne peut plus reconnaître matière à profonde indignation quant aux, par exemple (choisi), « phalloplasties » et « vaginoplasties » vendues à nos gosses par les méphitiques injonctions du sexe à la carte ou, fondamentalement, à partir du moment où ne sentons même plus la radicale nécessité de mise à l'index intégrale de ces ces langages-là, empruntés au vice, que toute indocilité invite à moquer, puis de désigner avec profond dégoût.

L’histoire de la dent d’or de Fontenelle, que nous vous remettons également en bas de ce texte, en vibrant hommage à une qualité syntaxique d'avant que la tâche nous exhorte à retrouver, rend magistralement compte de ce que nous pourrions qualifier ici de grand renversement : spéculer avant de bien considérer l'objet que l'on a en face des yeux [4].

L’un des « onze nouveaux nuages » apparus subitement il y a quelques années : « l’homogenitus ». Oui, donc, nous disions : ils se moquent de nous, et en toute impunité.

Que ces terrifiants chemtrails soient le plus grand danger qui guette, nous ne pourrions certainement pas l’avancer. Il serait d’ailleurs assez bête de l’affirmer au regard de cette seule mais capitale résolution : les raisons ou les causes de la victoire ou de la défaite de l’humanité contre les forces de démolition qui la réduisent (en esclavage mais encore à rien) sont en partie — mais en part vitale — à trouver dans la menace de nos propres démissions collectives...

Sans beaucoup nous risquer, nous pouvons néanmoins vous dire que, cataclysmique, il s’agit en tout cas d’un des plus grands... Le constat d’un internaute que nous lisions il y a quelques jours, et dont la remarque sur la végétation répond de données partout mille fois mesurées et depuis un moment, est partagée pour une grande part : « Ces épandages sont le problème le plus urgent de nos jours. Je vois déjà que 40 % des arbres de ma ville sont en train de dépérir. La question est : combien de temps va-t-il leur falloir pour nous tuer ? Tous les autres problèmes sont une blague en comparaison. J’ai envie de crier aux gens qui promènent leurs enfants : mais, vous êtes couverts de poison, condamnés à mort tels des insectes. Comment faites-vous pour continuer à l’ignorer ? ».

Avançons encore que ces pseudo-débats quant à ces pseudo-révélations sur les vaccins de mort (comme ceux, entre mille, sur les « panneaux photovoltaïques », les « super éoliennes », et la « guerre en Ukraine » : mais courez-y mes chéris...) procèdent assurément de l’exercice de diversion vis-à-vis (notamment, du moins) de ces épandages, à laquelle participe aussi ce qui en minimise la portée, comme ce documentaire, que nous relevons pourtant, qui par l'encombrante question des vaccins tend d'abord à rendre implicitement dérisoire tout autre danger imminent, et ensuite mentionne les chemtrails l'air de ne pas y toucher en balayant d'un revers de la main la question par l'explication très rapide (invérifiable pour nous à la date du 2 février 2023, mais toutefois encore à investiguer...) du double écueil de l'action des UV et de la vastitude de l'atmosphère qui tous deux en atténueraient considérablement les effets, au point (conclusion rendue une nouvelle fois à l'implicite par le fait vague de cette explication incomplète) où nous aurions à les considérer comme inoffensifs, en démenti alors des précis rapports y voyant au contraire un danger aux effets irréversibles si nous ne l'endiguons pas sans délai... Les plus grands dangers font le moins publicité. Le poids de cette inlassable et pesante communication sur les vaccins, les masques ou les turpitudes des passeports sanitaires, biologiques ou numériques à venir, par effet d'accablement et de sidération, auquel participe cet alter-covidisme qui laisse braqués les mêmes projecteurs, projetant un même éclairage sur ces mêmes sujets, ont ce résultat, conscient ou non, d'occulter les périphéries, les phénomènes et dangers non médiatiquement relevés (et, le diable étant souvent tapi dans les détails : que ne relèvent précisément pas les divers mouvements d'opposition contrôlée...). Voyons encore en particulier le cas de l'association E&R, qui a pignon sur rue. Plus de sept ans après y avoir proposé un papier qui était lui-même déjà très court, le site qui disait à cette époque-là rester silencieux et bosser le sujet avant d'y revenir, parce que celui-ci est important, afin de ne pas y dire de bêtise, n'y est en réalité jamais revenu. Il nous a gratifié à la place, le 18 janvier 2023, d'un nouvel article, en réalité une vidéo, sur le sujet des épandages aériens : « Chemtrails : le témoignage à charge d’un employé d’aéroport ». L'intervention de ce semi-hurluberlu de pilote est assez maladroite, techniquement floue en de multiples endroits. Elle tend, finalement, à minorer ce qui constitue pourtant une réalité indiscutable et indiscutée par tout esprit encore un peu formé. Il s'agit, là aussi, de discréditer le sujet, en effet pour le moins important, mais tout en le donnant également à voir, pour montrer ce qui ne peut infiniment rester sous le tapis (phénomène trop ample, qui devient malgré l'apathie généralisée troo visible) et qui en restant complètement tu aurait tendance à susciter davantage de méfiance et de réactions. Il faut en faire une marche blanche, il convient de faire paraître le sujet, mais sans trop de frontalité, pour y perdre les foules spectatrices alors faites un plus moins irrépressibles, en en donnant à voir juste assez, par des détails qui en évitent la centralité, rabattre les ardeurs et maintenir les idées dans l'étroitesse du petit cirque politique.

Opposition contrôlée ou non, il n'en reste pas moins que l'organisation mobilise et catalyse l’intelligence, par de grands mérites.

Dangers les plus silencieux, ils procèdent aussi de méthodes les plus lâches (méthodes d’Israéliens, mais pas seulement). Le « soldat russe » ou le sans-tête de Saint-Denis, au moins, nous pouvons encore le regarder dans les yeux avant de mourir, dans une possibilité, fût-elle toute mince, de nous défendre. Pas les gaz aéroportés ni les drones.

Et il en faut, du détournement, pour que nous en ignorions ce fait — stupéfiant avant d’être terrible — que nos ciels, chimiquement arrosés de façon sporadique depuis des décennies pour différents tests et, dans le monde occidental, régulièrement pour les raisons d'aujourd'hui depuis 1996-2022, sont depuis l’entame des opérations Great Reset au tournant 2020 (où s’est intensifiée l’intoxication volontaire et générale, dont celle par composés fluoriques injectés dans les systèmes de distribution d’eau courante) quasiment chaque jour recouverts d’épais voiles de soupes chimiques et d’inquiétants nuages aux formes souvent improbables. Nous pouvons d’ailleurs observer très distinctement ces brumes de biocides parfois flotter à des hauteurs de quelques dizaines de mètres du sol à peine, et même l’atteindre pour directement nous envelopper. Le soleil que nous n’apercevons plus que troublé semble quant à lui perdu derrière cette calotte diffuse et persistante du ciel.

Vous connaissez l’idée (centrale) de réécriture (permanente) de l’histoire, que nous ne pouvons apprendre à personne et qu’Orwell a judicieusement vulgarisée dans ses ouvrages qui n’apparaissent que très faussement comme des romans. Pour inséminer dans nos esprits aussi poreux que malléables (remercions là aussi les effets des métaux lourds) l’idée de nuages naturels qui auraient toujours eu ces formes (dues à l’aviation ou non), voire celle, pour le léthargique encore capable de courtes questions, de traînées de condensation de l’aviation civile qui auraient toujours griffonné le ciel comme le font les avions épandeurs de toxiques, là aussi, le cinéma s’en mêle : en plus de vieilles œuvres qui sont remastérisées pour retouche des beaux ciels bleus afin de normaliser, rendre naturelles les traces chimiques qui les défigurent, pas une « série » actuelle ne manque de représenter des ciels chimiques.

Intéressons-nous un instant à Yellowstone (avec Kevin Costner), et plus particulièrement à une scène du deuxième épisode de la cinquième saison. En acte de vengeance contre un contremaître peu scrupuleux, des cow-boys d'un riche propriétaire terrien du Montana aspergent la propriété de ce dernier de pesticides, que lui-même utilise sur son chantier sauvage et qui ont causé la mort de divers animaux, empoisonnant faune et flore locales. Après le forfait, l'image donne à voir le ciel et la dissipation progressive de nuages chimiques. Ceux-ci n'ont a priori rien à voir avec la pulvérisation, au sol, à laquelle nous venons d'assister. L'on nous montre pourtant explicitement, plein cadre, au sein de la scène, des chemtrails — médiatiquement, mimétiquement associés à la mort, aux images de cadavres animaux et de graves brûlures chimiques humaines dont nous venons de passivement faire le constat. Nous n'avons pour ainsi dire quasi plus le temps (ni d'ailleurs le goût) de voir des œuvres de fiction, et pourtant, nous retrouvons ces annonces morbides presque à chacune d'entre elles. Les signes de la kabbale, de la maçonnerie, de la gnose satanique se donnent à voir partout (« nous ne nous cachons même pas » : cf. cette statue illustrée dans le texte qui trône devant le siège de l'ONU new-yorkais), perversement, par le détour — et il est à la fois juste et trivial de dire que le cinéma n'échappe pas à la règle, puisque c'est une règle qu'il a en une certaine part fondée et dont il est l'accessoire.

Le détour n'est même parfois plus de rigueur. Voyons ici le spectaculaire Toxic Skies, film australien sorti en 2008, mettant en scène un médecin qui enquête sur une série de maladies mystérieuses et dont il trouve la cause dans les chemtrails. (Et trouvons l'occasion de remarquer que le décès brutal de l'actrice qui incarnait ce médecin, Anne Heche, et qui s'intéressait plus récemment à la terrible question de la traite des êtres humains, fut déclaré « accidentel », de la même manière que les surprenants ou opportuns décès en cascade chez les personnalités qui sèment le trouble...)

Bêtise par boucles rétroactives et naturalisation du mal : nous devons oublier ce que nous avons su, mais encore, oublier que nous avons un jour su (ou oublier que nous avons oublié)... La disparition de l’enseignement de l’histoire est un drame, comme celui de nos églises saccagées et brûlées ; et nous (ou le public...) n’interrogeons pas davantage le fabuleux et précaire rapport officiel quant à l’incendie « accidentel » de Notre-Dame de Paris que les raisons pour lesquelles les gens toussent de plus en plus autour de nous... La maladie d’Alzheimer en est un aussi, de drame. Nous avons à chérir l’importance de la mémoire, qui nous distingue du robot. Quelle absolue tristesse (ce que le cinéma nous a récemment assez bien montré par Memento de Christopher Nolan), pour le premier comme pour les seconds, que celui qui ne se souvient plus des êtres aimés.

Le cinéma, qui tient une part importante dans la culture qui nous a formés (et d’une certaine façon, presque engendrés), n’est pas uniquement la projection plus ou moins inconsciente des représentations collectives. Le cinéma, qui s'emploie aujourd'hui tout spécialement par rivières de films et séries télé de nous montrer des personnages résiliés qui acceptent passivement leur mort (très récemment After Life du même Ricky Gervais, ou 1883, dérivée de Yellowstone) est porteur d'un message politique subventionné beaucoup plus assumé. Une infinité de pièces cinématographiques dont nous pourrions relever des dizaines d’articles seulement dans celles que nous avons vues (au choix, pour le récent : Elysium, Word War Z, Interstellar) nous préviennent de ce qui nous attend. Déjà en 1979, Ridley Scott nous en donnait à voir par Alien, dont le message central est, texto : « l’équipage est dispensable » (« the crew is expendable » — voir Nicolas Bonnal en particulier sur ce film ou son réalisateur).

Ni la publicité ni les jeux vidéo n'est en reste ; rien n'échappe au totalitarisme et sa propagande, par définition.

Sans pénétrer le plus sordide donc, et par exemple la liste exhaustive, que nous vous épargnons (et par ailleurs accessible à tout curieux en quelques clics), des nombreux pathogènes déversés sur nous avec acharnement (à la fois parce que ces gens et leur religion nous vouent une haine sans limite, et que l’espèce humaine est tenace), nous savons que le but (vis-à-vis duquel l’indécise mais avouée « ingénierie climatique » est d’évidence une dérivation) de ces épandages, beaucoup plus réguliers sur les agglomérations qu'au-dessus des campagnes, ne laisse, lui non plus, comme leur réalité, que peu de place au doute.

Nos laitues qui ont poussé abondamment hors saison sont mises au rebut  nos ressources alimentaires sont bradées largement en dessous du prix de revient. Carnage complet. Aux famines provoquées s’ajoutent ces produits aérosols hautement cancérigènes et stérilisateurs. Les effets produits sur le climat (la voilà, l’anthropocène, Bibi, à rebours du grossier et meurtrier mensonge réchauffiste, qui nous y conduit par achat de notre consentement à — pour un néologisme à la con, en voici un — l'« éco-anxiété ») révèlent d'inouïs changements de température subits dans certaines zones, et dans un éventail de dix degrés de plus que les normes saisonnières. Le cycle des plantes en est sensiblement perturbé. En été, les plantes cuisent sur pied. Lorsque le couvercle de nuages artificiels se retire au plus fort de l’hiver, les bourgeons et les plantules gèlent et meurent. Les conséquences, pertes, s’avèrent désastreuses et les agriculteurs sont mis en faillite, de façon la plus sauvage possible, sans intermédiation directement politique, mais par le ciel qui nous tombe sur la tête... Les prix vont flamber dans l’économie des plantes et dans un paysage économique déjà très sinistré : alimentation, médicaments, fibres, tissus, matériaux de construction, parfums, produits d’entretien bio, etc.

Il y a plus grave. D’abord, le sol et les eaux sont désormais gorgés par l'aluminium et le baryum, massivement déversés, qui dénutrissent et stérilisent la végétation. L’aluminium et le baryum, qui ne sont pas uniquement toxiques pour l’homme, anéantissent toute vie cellulaire végétale également, en empêchant les micro-nutriments de contribuer à la pousse. Entre autres joyeusetés, chez l'homme l'aluminium seul est coupable de : maladies dégénératives comme Parkinson et Alzheimer, scléroses, maladies auto-immunes, autisme, pneumonies, bronchites, insuffisances respiratoires prolongées, cancers en tous genres dont celui du poumon, embolies pulmonaires en veux-tu en voilà... Notre expérience personnelle la plus directe nous fait constater de nombreux dyspnées, parfois assez sévères (et chez des individus non vaccinés), vertiges, acouphènes et maux de tête, eux aussi parfois violents, qu’expérimente un nombre croissant de personnes et non mystérieusement apparus au tournant 2020. Sans imprudence, nous pouvons témoigner de la flambée des embolies pulmonaires et de la fragilisation déjà constatée de la santé des enfants à très directement relier à cet empoisonnement-là. Nous ne pouvons plus ignorer ces vomissures laissées dans notre ciel, et moins encore le fait qu'il est fortement pollué par l’aluminium, le baryum, le plomb, l’arsenic, le chrome, le cadmium, le sélénium ou l’argent, et que cette infâme pollution est associée à une foule de problèmes de santé, y compris : autres troubles neurologiques, lésions cardiaques, problèmes de vue, échecs de reproduction, altérations du système immunitaire, troubles gastro-intestinaux, reins et foie endommagés, dysfonctionnements problèmes hormonaux et plus encore...

Le « covid » et le « covid long » ont bon dos (à l'instar du « stress »)... Ils n’insultent pas notre intelligence, non... C’est bien connu : la grippe, le rhume flanquent des AVC, inflammations et arrêts du cœur, lesquels ne sont pas attribuables à — circulez, il n'y a rien à voir — quelque empoisonnement par composés chimiques, par métaux lourds et par nanoparticules dont le graphène trouvé dans les injections, les masques, les gels désinfectants pour les mains, les tests PCR, l'alimentation, les produits cosmétiques ou encore les échappements d'avions...

Au chaos social inévitable que suscite cette misère vive s’ajoutent les déferlantes vagues d’immigration (qu’on fait passer comme naturelles aux mêmes débiles de service par la formule de « migrants », supposant l’homme — « homo migratus » — changé en oie sauvage) de hères en déshérence en provenance du tiers-monde, qui ne peuvent qu’attiser les braises entretenues d’un conflit de plus en plus horizontal, de pauvres contre pauvres. Pour parachever le tableau, nous devons bien admettre que cette immigration tant désirée par les droits de l’homme... d’affaires est, en exagérant à peine, devenue presque superflue... La lame de fond de notre balkanisation s’en passe bien, par les effets de notre ilotisme acquis, d’un isolement qui opère déjà entre nous et nos fors intérieurs par une américanisation (et sa religion de gestion...), beaucoup plus concrète que son faux-drapeau d’« islamisation », sous-produit pour ahuris (« de gauche » comme « de droite ») en phase terminale de déculturation, nous abrutissant et réduisant déjà à ce parc infra-humain grisâtre, avant d'être marron, à septante-cinq points de QI de moyenne.

À l’instar de toute idéologie d’État moderne (dont l’antiracisme, sur la tyrannie duquel nous avons déjà produit le travail nous croyons le plus abouti à ce jour, est l'exemple le plus notable, tandis que les « théorie du genre » qui poussent aux irréversibles charcutages notre jeunesse, est le plus sinistre), le réchauffisme exauce ce qu’il prétend combattre — et ici, bien plus que « la haine », ou que la dépression... Le « réchauffement climatique », comme les « fake news », le « covid » et le « racisme », c'est eux !

Et un peu plus grave encore... Pour ceux qui lisent l'anglais et qui voudraient être mieux convaincus que notre voûte céleste n’a plus rien de naturel, voyez ici. Ces scientifiques en physique et chimie nucléaire parlent bien de « trahison planétaire » et d'un point de non-retour pour la biosphère en son entier si ces épandages ne cessent sur-le-champ. Répétons-nous, l’alarmisme ne peut être le mot de la fin, mais cependant intègre l’équation de notre action : le processus s'amplifie et s'aggrave jour après jour sans que les peuples ne s'en émeuvent. Avec lucidité et détermination alors : attention, il est presque trop tard...

« La raison pour laquelle il faut vacciner les 5-11 ans, ce n’est pas pour protéger les vieux. [...] Quand vous regardez les IRM cérébrales de gosses qui font la covid, ça ressemble à de l’Alzheimer. Moi, je n’ai pas envie que des gosses de 5 à 11 ans aient des images qui ressemblent à de l’Alzheimer, ça c’est très clair. » (Gilbert Deray)

« Les détenus ne sont pas des cobayes ! Ils ont le droit de refuser la vaccination. C’est une question de dignité. » (Éric Dupond-Moretti)

« Vous n’aurez rien, mangerez des insectes, respirerez des nanoparticules et serez heureux ! » (Klaus Schwab, aussi, probablement...)


Voici les sobres (prudentes) conclusions du rapport Case Orange : « Science des contrails, leur impact sur le climat et les programmes de manipulation du climat menés par les États-Unis et leurs alliés »), étude exhaustive sur les traînées de condensation de tous les avions (pas uniquement l’aviation civile), menée par des spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais et présentée par le professeur Coen Vermoreen de l’Université de Delft (Pays-Bas) :

« CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS :

En combinant les connaissances sur la formation des contrails, les effets des cirrus sur le climat, l’historique des programmes de manipulation du climat, les études scientifiques de géo-ingénierie pour la modification des cirrus, la technologie et les brevets disponibles et les réactions des pilotes sur terrain, on ne peut arriver qu’aux conclusions suivantes :

1. La manipulation du climat à l’aide de cirrus artificiels n’est ni un canular ni une théorie conspirationniste, mais actuellement la meilleure option en géo-ingénierie prise en compte pour contrer le réchauffement global. L’impact de la production de cirrus artificiels sur la température et les configurations des précipitations est appuyé par des preuves hautement scientifiques et adéquates.
2. L’ambition des États-Unis est de contrôler le climat d’ici 2025, à des fins civiles et militaires (stratégies offensives et défensives). Cette recherche contient une compilation de preuves documentées pouvant étayer cette déclaration.
3. La technologie pour organiser des épandages à grande échelle est largement disponible. L’aviation civile et l’aviation militaire sont employées à ces fins. Le mélange contenant des oxydes métalliques et des composés chimiques peut être soit pulvérisé au moyen d’un dispositif spécialement conçu, soit incorporé au carburant du réacteur. Cette recherche est bien documentée dans ce domaine.
4. Étant donné que les brevets sont détenus par l’entrepreneur-fournisseur principal des forces armées américaines (Raytheon) ou le Département de la défense et vu l’historique rapportée, il est évident que les programmes actuels de manipulation du climat sont organisés et dirigés par le gouvernement américain.
5. Les actions d’épandage en Europe ne sont possibles qu’avec un accord préalable et une intense coordination au sommet des gouvernements et pour son exécution, un accord au niveau industriel. Le public est intentionnellement tenu à l’écart et est ignorant de l’existence de tels projets.
6. Bien que des actions d’épandages pourraient être considérées comme étant légales, elles peuvent potentiellement avoir un effet nuisible sur la santé. Il y a suffisamment de preuves scientifiques dans cette étude pour accréditer cette thèse.

Le but de ce document de recherche n’est pas de donner une appréciation morale sur ces actions. Néanmoins, les membres de cette équipe d’investigation sont unanimement d’accord de faire les recommandations suivantes pour le futur :

a) Les cirrus artificiels doivent être classifiés comme une nouvelle classe de nuages par la WMO. Des recherches sur l’effet de ces nuages sur la nature et la santé publique devraient être faites et les résultats pris en considération. Les résultats — quels que soient ces résultats — devraient être rendus publics.
b) Il est inacceptable que la flotte des avions AWACS volant pour l’OTAN opèrent sous enregistrement civil luxembourgeois sans être soumis aux réglementations de l’aviation civile. Ceci est une violation flagrante de la loi et ceci devrait être corrigé dans un futur proche. Étant donné les ratios très défavorables des émissions de ces avions, la modification de ces moteurs devraient être envisagés et réalisés rapidement.
c) Considérant l’aspect légal, il serait préférable de poursuivre en justice un groupe industriel tel que Raytheon plutôt qu’une agence gouvernementale. Il est clair pour nous que la responsabilité de Raytheon dans ce domaine est considérable avec la création d’un monopole dans le domaine du modelage climatique comme instrument militaire. Dans la mesure du possible, un véto international devrait être imposé pour ce type d’armes.
d) Bien que l’existence de projets pour la modification du climat a été adéquatement démontrée dans cette recherche, il est du devoir d’un politicien sérieux, à tous niveaux, de demander maintenant des renseignements (enquêtes) au gouvernement et de rendre public l’existence de ces programmes d’épandages. Un tel communiqué devrait obligatoirement inclure les raisons de ces épandages. Ceci n’est pas une matière à occulter pour des raisons d’État.

Les membres de cette équipe d’investigation ont effectué cette recherche de façon méticuleuse et avec un maximum d’intégrité et nous espérons que notre intervention révélera la vérité sur la manipulation du climat en exposant les vraies raisons au public qui a le droit de savoir. Nous espérons que cette recherche contribuera à un monde plus pacifique. Enfin et surtout, nous remercions le Belfort-Group pour leur courage et nous leur souhaitons un maximum de succès dans la divulgation de ce document. »

Notre espace aérien est empoisonné, sous l’aval des militaires qui laissent faire ou y participent, par des milliers d’avions qui déversent des produits mortels sur les populations civiles sans discontinuer et un peu partout dans le monde. Nos États orchestrent tout ça, par le concours des réseaux politiques, cercles de francs-maçonneries, nous distrayant de cette question (comme de toute question essentielle) par des épouvantails idéologiques dont ils pensent pouvoir régler la voilure. Des fonctionnaires criminels y sont au contrôle, tandis que d’autres censés nous protéger sont leurs complices.

Le voilement de notre ciel et de son soleil est déjà, avant toute expérience directement physique, une tragédie symbolique entière — invivable autant pour l’homme que pour l’arbre, qui attaché à la terre, doit également son existence à la respiration du ciel, dont il entretient encore les vertus et le sens par sa contemplation.

« Ne vous contentez pas de les asperger... Enterrez-les »... La traduction ne peut être tout à fait littérale parce que la chute est intraduisible, qu’il faut reprendre dans la langue impériale : (to) bury signifie enterrer en anglais et le terrible jeu de mots de cet écusson de criminels épandeurs joue sur la proximité morphologique entre ce verbe et baryum (le pathogène, baryum en français aussi) qui, décomposé en bari-um (le y changé en i y est facilitateur), laisse clairement entendre bury-them, où le um en langue parlée argotique est mis pour them. Le dessin brodé central qui ne souffre lui d’aucune ambiguïté ne laisse évidemment place à quelque autre interprétation. L'image de cette broderie circule sur Internet comme un mème, et on retrouve la première sur divers fonds de décor. Cela revient à dire que l'image de cockpit que nous voyons sur la photo est photomonté, que la main qui tient la pièce n'y a pas été originellement photographiée. Ne nous laissons pas perdre cependant par ces techniques grossières (cf. entre cent exemples donnés : Lana Rey) de mises en scène du pouvoir de ses propres actions, qui doivent tantôt nous les faire accepter, tantôt nous les donner à voir comme fantaisistes, fictionnelles, ridicules, par (ultime conquête de l'anéantissement de la raison) le simple fait de leur exposition (à un public ébahi). Le pouvoir invente ses propres histoires, souvent en partant des histoires réelles, pour tenter de nous faire perdre le fil. Ce que nous savons assurément ici : cette broderie existe, et existe d'ailleurs en différentes versions qui disent peu ou prou toutes la même chose ; et nous savons aussi que ces épandages existent. Il ne nous reste plus qu'à l'admettre.

Nous ne réalisons qu’à peine encore à quel point ce qui nous arrive est grave. Ces deux dernières années auront pourtant dû conduire sans beaucoup d'ambiguïté les plus naïfs d'entre nous mêmes à la réalisation nette que nous sommes considérés comme du bétail, qu'il existe un mal pur dans ce monde, un mal absolu. Elles doivent conduire tout le monde à celle que « nous devons briser leur plan en devenant acteurs de nos vies, que chacun d'entre vous doit trouver son but existentiel, retrouver le rôle critique que Dieu lui a attribué, auquel vous devrez répondre si vous restez silencieux, apathiques ou complaisants ». (Died suddenly) Contrecarrer leur plan macabre revient à se saisir du nôtre.

Et nous commençons à entrevoir notre démission comme signe de profonde indignité. Ne rien faire, regarder comme des vaches les trains passer n’est, proprement, pas supportable. Et nous n’acquérons vraiment une bonne idée de l’intolérable qu’une fois seulement devenus parents... Le temps est à l'apocalypse et nous nous apprêtons à vivre des heures plus sombres encore. Nous devons combattre, amis, amies, voisins, frères et en tout cas, camarades de voile.

Mais qu’est-ce que combattre ?

Ouvrons une voie, donnons-y quelques intelligibles lignes de force, qui ne seront en l’état que très imparfaites, par définition d’un combat essentiellement commun. À nous de compléter, d’éclairer les liens, les emboîtements possibles, ou de s’écarter de ces idées un peu disparates, presque volontairement décousues et en tout cas inachevées, à acter dans le réel... C'est dans son imperfection que ce texte trouve ses résolutions.

Notre point de vue est inévitablement aussi celui de pères qui n’ont pu complètement éviter de se laisser gagner par la peur. Ce n’est cependant pas la peur qui détermine notre parole, ni la peur que nous pouvons laisser nous animer. Ne la sous-estimons pas. C’est elle qui a récemment changé des troupeaux entiers d’hommes (certes, de pré-convertis aux ambiances étatiques) en pauvres petites choses terrifiées et masquées, conduits aux amoncellements de papier toilette. Nous ne pouvons laisser le désespoir nous gagner, nous happer. L’empoisonnement — bien loin de ne concerner que ces muselières, les (dangereux) « tests PCR », les injections de mort ou (sur les plans moral et cognitif autant que physique) les « théories de genre » — dont nous sommes les cibles contribue à nous maintenir dans des énergies basses.

En deçà de toute recette particulière, combattre passe résolument, d’abord ou avant tout, par une perception nette à la fois du danger (l’ignorer ne revient pas à s’en préserver) et de la grande valeur de notre vie, partant par une perception ajustée d’une joie que nous nous efforçons de maintenir et d’alimenter au plus haut niveau possible.

Combattre revient alors assez sûrement à nous imposer de ne pas avoir peur devant notre bourreau, et faire notre possible pour nous maintenir énergétiquement aux bons équilibres dans une vie alors seulement interprétable et réalisable comme lutte existentielle, matérielle et spirituelle, du bien contre le mal, parce que le second, reconnu, implique la reconnaissance de la valeur du premier. Quoi qu’elle vaille, cette croyance se donne en substitut à l’anomie, terreau de peur et de déréliction, autre croyance vectrice d’autres sens, d’un autre horizon existentiel : celui du pathétique et hideux boomeur qui pleurait pour lui, sur BFM TV, « nous ne voulons pas mourir ! », face au refus des « non vaccinés » de passer par la case Bourla, celui de l’impossibilité de vivre une vie humaine par le déni de l’envisagement de notre mortalité (cf. safetyism).

Si cela peut sembler bien peu de choses, se contraindre à se maintenir à un certain seuil de joie, aux énergies pleines, n’est aucunement un acte passif, mais relève déjà d’une activité pleine de réalisation, renversante, d’un accomplissement qui réclame une très grande détermination, une sérieuse discipline, qui porte en elle le germe de la révolution, et qui nous sort de nos arrangements existentiels acquis, du paradigme Netflix.

Or, encore, la réalisation de notre valeur, corollaire de la conscience nette que nous allons tous mourir (quoi que puissent en dire les délires transhumanistes), parfois tient à peu de choses et à quelque belle rencontre un peu fortuite — dont celle d’un texte. Elle anticipe la résolution nette à ne pas se laisser contraindre et engloutir par ces énergies basses, immobilisantes torpeurs, de génuflexions, de merci patron, de réductions et de mort.


Par La Passion du Christ et Apocalypto, deux chefs-d’œuvre du (déjà bon parce que) « controversé » Mel Gibson, le réalisateur australien nous dit au moins deux choses essentielles : c’est que la peur ne peut être notre guide (le satanisme fait ses moissons sur elle), et qu’elle ne peut l’être à plus forte raison face à la mort ; c’est que nous devons mépriser le méprisable. (Comme l’époque est à la fragilité, permettez-moi cette précision : que l’ami de toute autre confession, autorisée ou officieuse, rencontre ses propres modèles... Nous n'excluons par nos préférences et modèles personne a priori et en particulier ; mais la langue, pour se produire et répondre de la vitalité des préférences charnelles et reproductrices, est fonctionnellement réductrice : elle choisit, donc distingue, donc exclut [discrimine].)

Cet enfer que nous traversons — et que tout le monde peut parfaitement comprendre aussi dans un sens profane — trouve sa possibilité autant qu’il ne rencontre ses effets par notre démission collective, et la constitution d’une société servile qui fait aujourd’hui figure d’immense centre HP à ciel ouvert.

« Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l'Ouest aujourd'hui pour un observateur extérieur. Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque pays, et bien sûr, aux Nations Unies. Ce déclin du courage est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante, d'où l'impression que le courage a déserté la société toute entière. Bien sûr, il y a encore beaucoup de courage individuel mais ce ne sont pas ces gens là qui donnent sa direction à la vie de la société. Les fonctionnaires politiques et intellectuels manifestent ce déclin, cette faiblesse, cette irrésolution dans leurs actes, leurs discours et plus encore, dans les considérations théoriques qu'ils fournissent complaisamment pour prouver que cette manière d'agir, qui fonde la politique d'un État sur la lâcheté et la servilité, est pragmatique, rationnelle et justifiée, à quelque hauteur intellectuelle et même morale qu'on se place. Ce déclin du courage, qui semble aller ici ou là jusqu'à la perte de toute trace de virilité, se trouve souligné avec une ironie toute particulière dans les cas où les mêmes fonctionnaires sont pris d'un accès subit de vaillance et d'intransigeance, à l'égard de gouvernements sans force, de pays faibles que personne ne soutient ou de courants condamnés par tous et manifestement incapables de rendre un seul coup. Alors que leurs langues sèchent et que leurs mains se paralysent face aux gouvernements puissants et aux forces menaçantes, face aux agresseurs et à l'Internationale de la terreur. Faut-il rappeler que le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant-coureur de la fin ? » (Extrait du discours Le déclin du courage, prononcé par Alexandre Soljenitsyne à Harvard le 8 juin 1978)

Peut-être conviendrait-il de diriger notre énergie à vouloir et à constituer autre chose, comme premier levier de contrainte à la perte par la peur, certes, mais encore comme solution centrale à un problème qui, de ce fait, peut-être s’évanouirait déjà... La solution consisterait, en quelque sorte, à remonter en amont du problème, afin d’abolir ces nuisances par l’impossibilisation de leurs conditions d’action. En ce sens au moins, méfions-nous donc des sources d’angoisse, ou répugnons-les, qui ne peuvent tenir lieu de manière de nous rassurer sur un caractère totalement exogène de ce qui nous menace (merci Benoît)... La complaisance se fait un régal des atrocités, et rester spectateur du pire est l’ultime façon de rester prisonnier de l'obscénité — par définition inactif, et dans un contexte génocidaire : irrémissible condamné.

Ces ciels sont aussi effroyables que ceux qui ont décidé de ne rien voir... Le fait stupéfiant que nombreux d’entre nous ne reconnaissent même pas cet incroyable voilement de notre ciel, corollaire immédiat du tout aussi stupéfiant vélum idéologique dressé contre le sens, dénote sans doute mieux que tout autre l’indiscernement généralisé des populations dressées et soumises à la bêtise. Celui qui ne peut voir, qui ne veut se résoudre à admettre l'anormalité de ces ciels (Hainaut, respectivement : 1er février et 31 janvier 2023) n'est cependant pas seulement aveugle, mais coupable. Comment serait-il en effet possible de ne pas le voir, sauf à se voiler les yeux et la face derrière ce qui ne porte que ce nom : la lâcheté — principalement celle du déni — que la peur seule ne peut racheter ?

L’idée ne revient pas à dire que les réalisations effectives du mal, pas plus que « les clés du bonheur », seraient ou resteraient essentiellement « intérieures ». Sans envisager (ou du moins en ayant toutes les difficultés d'admettre l'idée) que les affaires du mal se règlent seulement par prières et vœux tout à fait en dehors d'une action concrètement menée contre leur matérialité, nous voulons dire que c’est sur le terrain de notre permissivité, de notre abandon, ou de notre trop commun désengagement que ces dernières, dans une part sûrement plus importante que ce qu’on croit, peuvent se produire. Il ne s'agit pas de négation passive de la réalité du mal, mais de viser à prendre délibérément et très activement son contre-pied.

« Ces opérations doivent être considérées comme l'entreprise la plus insensée jamais déployée par l'espèce humaine. Celles-ci font dérailler tous les systèmes de support de la vie sur terre. La totalité de l'architecture de vie est systématiquement contaminée et décimée par l'ingénierie climatique en cours. Et ajouté à toutes les autres formes d'activités humaines ou anthropiques qui déjà causent des ravages dans celle-ci, le génie climatique est mathématiquement et statistiquement parlant la menace la plus grande et la plus immédiate à laquelle nous sommes collectivement confrontés à l'exception d'un cataclysme nucléaire. » (Dane Wigington, chercheur principal de www.geoengineeringwatch.org)

« Les retombées des nanoparticules d'aluminium issues des opérations de génie climatique s'accumulent dans la neige, les sols et les eaux de ruissellement, à des niveaux qui sont au-delà de l'alarmant. » (Dane Wigington, encore, sur ces nouveaux tests effectués début 2023)

Notre combat, matériel, mais également et peut-être surtout relationnel et spirituel, passe par la célébration de la vie et de sa puissance, envers les gnoses thanatiques et leurs ordres à ses rapetissements. Il nous fait tenir la lumière comme guide, et l’entretenir, en dissipation des voiles obscures que nous nous appliquons aussi nous-mêmes par habitude à maintenir contre notre propre lumière. Fuyons radicalement l’immobilisme, la paresse, le désespoir, la résignation, comme tous les semeurs et cathodes des flux de mauvaises nouvelles incessantes.

Si notre action va substantiellement à ce non-consentement déterminé et fondamental, il reste encore à trouver d’autres formes et applications auxquelles attribuer notre énergie retrouvée...

Aussi, nous sommes-nous certainement maintenus trop éloignés de la physicalité du conflit (et de l’existence tout court), de laquelle, sur fond d’une perte de repères centralisée, un trop grand confort avant le long endormissement des écrans nous a séparés, commandant son ordonnancement à la lettre de change, aux interactions impersonnelles de la société de l’avorton civilisé : celle du magistrat.

À ces pilotes-là sont, aux officiers d'armées et policiers qui ne se tiennent pas à l'écart du déroulement des plans d'injections mortelles, « à toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de neuf mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de cinq ans pour entrer [...], à tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie (« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive », Matthieu 10:34) » (Édouard Broussalian), au même titre qu'à les tous les inactifs : vous êtes gravement coupables.

Nous avons été acculés aux « pétitions » (puis aux « pétitions en ligne »), et aux « manifestations » (puis aux « manifestations de clavier »), dont nous devons faire fi, pour marquer nos surréalistes « indignations ». Pour des raisons critiques évidentes qui peuvent toujours être rappelées en rattrapage, rien, évidemment, n’est à attendre de « la justice ». Le collectif Skyguard interpellait le Parlement européen en 2013. Nous pouvons nous intéresser aux résultats du rapport qui en est ressorti, pour au moins ces deux raisons : parfaire la culture générale des indécrottables crédules qui voudraient encore quelque preuve de ces épandages criminels, mais surtout, pour retenir le nom de cette organisation et de ses représentants afin d'agréger nos forces.

Nous n'avons cependant plus le luxe de l'oisiveté, et de s’adosser à l’État, qui organise tout ça, pour des questions précises auxquelles ils ne peuvent, génétiquement, de toute façon pas répondre... Ces habitudes à quémander des restes au pouvoir illégitime au lieu de le renverser (habitude du persécuté de demander à son bourreau de lui octroyer une pause au lieu de tenter au moins de lui échapper), ou du moins déjà d’avoir l’intention de le faire, révèlent la nature de la maladie infantile de celui qui n’a jamais encore secoué la plus petite administration, répondu vivement à un huissier, un procureur, juge ou magistrat, refusé de payer la moindre amende, ou ne fût-ce que songé de ne plus verser d’indus impôts. Nous devons néanmoins nous confronter aux hommes derrière les masques et les fonctions avilissants. Et certes, avant toute action plus concrète, résolue ou musclée et (c'est nous qui soulignons) « en dehors de l’application de [...] solutions individuelles pour notre jardin, il est très important de demander fermement aux forums responsables d’arrêter de pulvériser sur nous toutes ces substances mortelles [et] il est impératif que les personnes conscientes de ces dangers se mobilisent pour demander à l’unisson de mettre fin à ces actions maléfiques. » (Yogaesoteric.net), allez trouver vos élus locaux, en personne. Et sur base de ce message par exemple, à distribuer comme nous le faisons à des centaines ou milliers de personnes, pour déjà faire une courte différence. Pas plus que du tapotement d'épaule, ne nous contentons cependant surtout pas ni d’« élus », ni d’information donnée par écrans interposés...

Seul sel de la terre : la rébellion marginale, c'est-à-dire celle qui n'est pas encadrée par ceux mêmes qu'elle est censée contester, ceux contre lesquels elle est censée lutter et par cette lutte fonder son objet.

Trouvons ici aussi force et courage dans le Christ, par son Épée. Jésus dont nous retrouvons la déférente filiation n’a pas seulement tendu la joue (acte souvent opposé aux vertus de la plus virile réponse physique en tant qu’acte faible qu’il n’était pas...). Il a chassé physiquement les marchands du Temple — sans aucune surprise les mêmes que ceux (décalottés à l'internationale circoncise, mais pas toujours !) que nous devons démettre, aujourd’hui, coûte que coûte, parce qu’ils signent ces condamnations à mort de masse ou les exécutent, parce que, voués à la mort et à son culte (The Watcher, récemment sur Netflix, pour la pire de ses applications, et entre bien d’autres Eyes Wide Shut de Kubrick pour le MK-Ultra qui frelate la mémoire des sous-êtres esclaves qu’il fabrique), ils ne s’arrêtent pas et ne s’arrêteront pas d’eux-mêmes sans intervention extérieure.

Combattre revient nécessairement d’abord à un relèvement des propres termes du combat, et aux échanges que ce relèvement engage. Combattre est une activité. Or, nous entendons fréquemment certains qui nous disent disperser « l'amour » autour d'eux, donné en figure un peu facile de résistance, de combat. Cette posture-là est souvent un peu courte. Combattre ne revient pas à rester égal et globalement cordial — plat — dans ses relations. La plupart des Gentils ne combattent pas, mais subissent et attendent. L'amour est un soulèvement, une activité pleine, consciente, requérant l'effort et le don, requérant le mouvement. Combattre par amour est combattre pour lui, pour celui que l’on a envers ses enfants, sa famille. Nous cherchons la sérénité, l'exemplarité, la confiance, la relative tranquillité d'une force qui permet d'avancer, mais réapprenons aussi à donner le Glaive, et pas uniquement tendre la joue. Nous donner en amour à nos enfants est un conquête, qui engage des actes, une force, un bouillonnement, une agitation troublant la quiétude... Face à ce qui s'oppose à lui, aux mécaniques sataniques du monde que nous retrouvons aujourd'hui dans les moindres plis du quotidien, dans la lourde tendance de notre passivité anormalement admise, l'amour est un foyer, une incandescence, un feu engageant, un appel, une colère, un cri du cœur, et non pas seulement un retrait...

Soyons vifs sur les termes mêmes de la lutte à mener. S'il y a bien une chose que nous ne pouvons pardonner à nos proches, même dans ce pari (qui est en partie le nôtre) que le militantisme est une perte, c'est de s'absenter de ce débat, de ne pas vouloir s'ouvrir à la discussion même de ce que nous pouvons faire quant aux temps apocalyptiques que nous traversons.

Plutôt qu’attendre assoupis la mort comme des cafards, faisons tout pour nous donner à cette activité, laborieuse, qui consiste à ne plus consentir, par toutes voies, à ce que nous percevons comme abaissements. Être soi-même le changement que l’on désire voir dans le monde : tout le monde connaît l’adage, mais principalement dans les contours de l’inanité de contextes plats de « développements personnels » avant tout incapacitants et dans lesquels il ne réside qu’en formule d’exposition pour têtes de gondoles et de semi-lettrés. Son idée pleine renvoie autrement et de façon extrêmement sensée à une démarche active, et bien plus collective que personnelle...

« Il n’y a pas d’insurrection pacifique. Les armes sont nécessaires : il s’agit de tout faire pour en rendre l’usage superflu. Une insurrection est davantage une prise d’armes, une "permanence armée", qu’un passage à la lutte armée. [...] Quand le pouvoir est dans le caniveau, il suffit de le piétiner. Dans la distance qui nous en sépare, les armes ont acquis ce double caractère de fascination et de dégoût, que seul leur maniement permet de surmonter. Un authentique pacifisme ne peut pas être refus des armes, seulement de leur usage. Être pacifiste sans pouvoir faire feu n’est que la théorisation d’une impuissance. Ce pacifisme a priori correspond à une sorte de désarmement préventif, c’est une pure opération policière. En vérité, la question pacifiste ne se pose sérieusement que pour qui a le pouvoir de faire feu. Et dans ce cas, le pacifisme sera au contraire un signe de puissance, car c’est seulement depuis une extrême position de force que l’on est délivré de la nécessité de faire feu. » (Le Comité invisible : L'insurrection qui vient — merci Gauthier)

Comme disait feue la courageuse Claire Séverac, auteur de La guerre secrète contre les peuples, dont nous vous offrons ici la version pour liseuse : « ne leur pardonnez pas, ils savent parfaitement ce qu’ils font ». Ne pardonnons pas aux décideurs et troupiers de cette guerre d'extermination (« transition énergétique ») déclarée envers les peuples, contre lesquels le sabotage, par exemple, des chaînes d'approvisionnement alimentaire comme celui des gazoducs Nord Stream est bien un acte de guerre (qu'il risque, le gel et la famine aidant, de réaliser trop tard, trop tard pour nous...). Si les deux grandes guerres du siècle dernier, également déclenchées sur ordre de la marchandise américaine, liquidaient leurs quotas excédentaires de « chair à canon », la relance capitaliste passait avant tout par celle des marchés matériels (ou « d’objets ») dont il fallait éliminer la surproduction (reset qui devait faire alors accoucher de la « génération heureuse » du boomeur consommateur nous ayant légué, en subtilité d’ontologie, un rapport aux êtres et au monde en forme de lave-vaisselle), au lieu de concerner d’abord, comme aujourd’hui, la mise au rebut des « inutiles » (c’est-à-dire vous et moi) du parc humain (là où le reset devient « great » — vous voyez bien qu’ils se moquent !). La dernière métamorphose du capitalisme occidental vise à réduire purement et simplement la population appauvrie et dont nous encourageons de tout notre être la révolte.

« En gros, depuis plus d’une décennie, avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance non-naturelle : la dispersion de particules d’aluminium toxique dans l'environnement... Mais il n'y a eu aucune déclaration publique, aucune explication, aucune investigation académique, aucun consentement en connaissance de cause, et aucune révélation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l'air. [...] De telles activités de géo-ingénierie clandestine ont exposé l'humanité et le biotope terrestre à de fortes doses d’aluminium, substance toxique que l’on ne trouve généralement pas dans l'environnement naturel et pour laquelle aucune immunité naturelle n'a été développée. Durant la période d'utilisation des cendres volantes de charbon pour la géo-ingénierie clandestine, les courbes de croissance des maladies neurologiques impliquant l’aluminium ont explosé — dont l'autisme, Alzheimer, Parkinson, l'ADHD, et d'autres, aussi bien que diverses destructions de la vie végétale et animale. L’aluminium dispersé à hautes doses par les cendres volantes de la géo-ingénierie, je l’affirme, en est la cause. » (J. Marvin Herndon, spécialiste des sciences de la terre, le 23 juin 2015 dans un article pour « Current Science »)

Combien d'entre nous connaissent ces projets et leurs réalisations (déjà bien) effectives ? Combien d'entre nous savent-ils (ce que Mitterrand s'était lui-même publiquement demandé) que les États-Unis d'Amérique sont en guerre (commerciale, militaire, civile) contre nous (ou qu’ils ont, entre autres, exterminé un million et demi de civils philippins au tout début du siècle dernier) ? Une guerre ouverte est menée par le pouvoir politique contre les peuples, comme nous en ont encore rendu l'apocalyptique témoignage la réponse policère adressée aux Gilets jaunes et cette saloperie de « passeport sanitaire » que le simple boycott des masses eût suffi à faire tomber. Mais une menue fraction seulement des peuples est en guerre contre l’État, parce qu'une grande partie d'entre nous ignore ou feint d'ignorer (notamment sur les mécaniques psychologiques de l'abdication, voir le remarquable travail d'Ariane Bilheran) que le but objectif et explicite du pouvoir en place est rigoureusement de nous mettre hors-jeu, d’éteindre les personnes, de faire en sorte que nos vies, déjà mises sous coupe réglée, soient totalement contrôlées par l’État et ses exercices de dressage (dont la terreur covidiste n'est qu'une répétition) qui vont jusqu'à notre mort physique passent par toutes les étapes de l'humiliation et le pire : la rupture de nos forces et capacités de résistance morale et spirituelle, celle de l'essence de ce qui définit le plus intimement notre humanité.

« La question est devenue récurrente. À tel point que le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale. » (Le Monde, le 18 janvier 2010)

Au moins deux notions échappent à de nombreux twittos qui répondent par l'idée que « deux ans est un délai trop court » pour une telle proportion à ce gazouillis de Valérie Bugault sur l'organisme Deagel prévoyant une dépopulation mondiale de 50 à 80 % d'ici 2025 : celles de progressivité et, pour rester poli, de rétrospectivité. Il semble que le néocortex de ces gens-là — majoritaires sur Twitter comme dans la vie réelle, hélas — ne puisse imprimer l'idée que cette entreprise de liquidation a déjà bien débuté, et qu'elle a débuté, le plus optimistement, au tournant 2020. En considération alors du point de commencement de l'opération qui n'est pas celui de cette publication ni du tweet de Burgault (pour être un peu moins poli : en considération du fait que l'histoire ne débute pas aux seuils d'entendement des particuliers), cette estimation ne semble pas forcément délirante, d'autant plus que, principalement pour l'évidente raison de la période de latence, la courbe la mortalité associable aux effets directs de l'empoisonnement dont nous sommes la cible (cf. vaccins et épandages, respectivement plus dangereux et intensifiés à partir de 2020 donc) suit une progression non linéaire...

Le message de la vidéo proposée sur les épandages de biocides est à écouter jusqu’à la fin, qui est elle aussi porteuse d’espoir. Les solutions existent. Elles concernent tous les rayons de l’existence, et autant l’alimentation que la prière ou la communion. Comme le premier, elles sont à vouloir et à chercher. Nous croyons avoir trouvé une menue partie, au moins, de ces solutions, et vous invitons chaleureusement et honnêtement à nous en parler, ainsi qu’à nous indiquer les vôtres.

Mais, encore une fois, aucune solution n’est même envisageable sans reconnaissance du problème auquel elle répond... Nous pensons ici, mais sans exclusive, à ceux qui se sont fait (gravement) tromper par les injections imposées de cette vaste opération de terreur psychologique. Quels que soient les rouages psychologiques à l'œuvre (déni, refoulement, transfert, syndromes de Stockholm ou de Milgram...) qui ne peuvent non plus leur servir d'excuse et qui n'expliquent l'humanité que chez les faibles d'esprit, qu’ils soient gagnés par la déconvenue, une juste, naturelle et motrice colère, transformatrice, celle d’avoir été encouragés, par d’entêtés mensonges qui n’ont rien de triviaux, à se donner en cobayes comme chair à piquer, au lieu de se maintenir dans les stagnations d’une politique de l’autruche, laquelle n’est que l’acceptation de notre résignation continuée par les moyens de l’égo (notre première maladie infantile), que nous avons pour mission d’abattre. (L'injection de mort chez le vacciné covid constitue un acte passif qui met également et directement ses pairs en danger et, bien plus fondamentalement que par la valeur uniquement médicale du (par exemple) fatal échappement immunitaire qu'il génère, contribue directement à notre naufrage commun, synonyme de mort.) Qu’ils trouvent la force de l’humilité, celle de reconnaître s’être trompés, quel que soit le motif de leur démission, pour que celle-ci soit identifiée comme faillite transitoire (qui nous concerne tous) et alors authentiquement dépassée. Sont à viser en particulier ceux qui, en plus de s’être soumis à cette intromission, se sont comportés, donnant leur cul avant leur bras, en médiocres, véritables petits kapos sans envergure, et qui doivent encore des excuses au monde des vivants : quelques-uns parmi vous, honteuse poignée, se reconnaîtront ici. Au titre du refus de l'abaissement moral évoqué comme l'un des tout premiers bastions de la lutte à mener, il apparaît évident qu'il revient avant d'autres au vacciné en repentance de se battre, à n'importe quel prix, contre le retour de tout affligeant « passeport », « sanitaire », « citoyen », biométrique, énergétique, délire carbonique...

« L'extermination des Chrétiens est un sacrifice nécessaire. » (Zohar, II, 43-a)

Ne pardonnons pas ce qui est impardonnable ; ne laissons pas se produire le méprisable. Le médecin qui pique une femme enceinte comme un poulet avec le poison vaccinal, et qui même privé de toute culture critique, au seuil de tout élémentaire principe de précaution, était obligé de s’abstenir, est méprisable au même titre que le pilote épandeur de poisons. Et les deux seraient éventuellement amendables, aux yeux des hommes ou de Dieu, à condition seulement de chercher le chemin du pardon. En l’état et par toute voie de raison humaine, morale ou critique, la plupart sont et restent impardonnables.

Tout en restant sensibles aux bonnes nouvelles dont nous pouvons également capter les signes dans les sphères politiques pourtant à fuir (cf. : l’Iran place la Licra sur sa liste noire des organisations terroristes), nous apprenons par-devers nous, charnellement, que nous devons en finir définitivement avec partis politiques et franc-maçonneries, les médiateurs de riens et les pourvoyeurs de mort.

Quand est-ce que les dizaines et demain centaines de milliers de parents endeuillés par la mort brutale de leur enfant injecté sortiront de l'apathie et basculeront dans la saine colère et juste violence ? Qu'est-ce qu'il vous faut, face à tant de haine, pour que vous bougiez ?

Non, tout ne se vaut pas, à l’inverse de ce que nous apprend Satan qui nous fait méconnaître et prendre l'une et l'autre au même prix aménité et l'intransigeance. Ni les principes ni les hommes. « La tolérance devient un crime lorsqu'elle est appliquée au mal. Il faut aider le genre humain à sortir des stades primitifs de la peur et de la veule apathie pour l'amener à une phase d'activité acharnée. » (Thomas Mann, écrivain allemand)

Nous n’avons pas plus de temps à accorder aux petites phrases, à l’avis, au commentaire perdu sur Internet, qu'à faire de la pédagogie pour débiles, morts-vivants non remobilisables qui creusent leur tombe comme à ceux qui les regardent faire. Parler humainement en face-à-face à une personne a infiniment plus de valeur, de contact, qu’en « toucher » dix mille par un message sur écran. (Il aura d’ailleurs fallu dans notre cas précis du temps pour que l’idée percole...) Nous n'avons pas plus de temps à perdre aux fictions télévisuelles qu’aux mauvaises lectures (et nous nous demandons justement ce que vaut l'ouvrage d’Alexandre Douguine : Contre le Great reset, le manifeste du grand réveil, que nous n'avons pas encore lu, mais qui, a priori, devrait nous faire signe en ce qu’il nous gratifierait de conseils pratiques de résistance — quelqu’un ?).

La résistance, qui réelle n’est pas sans prise de conscience véritable de l’imposture politique de ce monde crépusculaire, ne se déploie efficacement et durablement que dans des expressions relationnelles et communautaires. Elle ne peut s’isoler en bunkers. L'entraide commence par la simplicité, aux rassemblements durables (versus les manifestations éphémères et encadrées) dont, le plus prosaïquement du monde : comment garder la santé dans la tyrannie génocidaire post-covid ?

Cultivons nos jardins, parlons à nos voisins et ouvrons-leur nos portes. Invitons le monde autour de soi à sortir de son trou.

Cultivons évidemment tout autant la bravade, la désobéissance civile qui, cap hier, constitue désormais une obligation. Faisons des vagues. Nous avons à secouer le cocotier, acter dans le réel, partout où nous le pouvons dont aux endroits les plus inattendus, des idées que nous ne pouvons pas entièrement formaliser ici (cela ne peut échapper à votre sagacité) pour des raisons qui donnent précisément l’état déplorable du monde dans lequel nous nous situons, et qui doit revenir le nôtre. Alors qu'il ne pût se fendre du moindre mot de compassion pour ses semblables en souffrance, le gogo commun ne redressa ses épaules pour admettre qu'il n'est plus qu'une moitié d'homme. Nous n'avons plus à nous commettre pour celui qui pète de trouille à l'idée seule de prononcer des mots interdits.

Par son « urgence », notamment « climatique » et à qualitativement entendre à rebours de ce qu’elle vaut médiatiquement, la situation réclame chez nous un profond examen, à commencer par celui de cette passivité tant apprise, à l’aune de laquelle nous en sommes parfois réduits (à rien et par exemple) à ne pas volontairement vouloir « mégenrer » le « trans »... Elle exige que nous nous mettions en risque, pour combattre un danger mortel, authentique crime contre l'humanité que nous laissons commettre sous nos yeux ébahis, quitte à y laisser les tripes et la vie.

Ne passons plus l’essentiel de notre temps à baisser la tête, vers nos écrans et nos pieds, à baisser le froc, craindre le gorille de supermarché qui nous demande de nous recouvrir le nez... Nous n'osons parler de peur de ce que les autres peuvent penser de nous : nous en sommes collectivement là. Les Américains dans leur naïveté, tantôt touchante, tantôt désespérante, ont parfois cet avantage de former des considérations limpides, et Geoengineeringwatch.org exprime clairement : « Nous avons depuis longtemps passé le seuil de criticité sous lequel nous pouvions en avoir quelque chose à faire de ce que les gens pensent de ce que nous affirmons. » Relevons la tête, de grâce, et levons les yeux au ciel...

L’effort à produire est considérable, et si le « passeport sanitaire » est congédiable par notre simple refus, des dangers tels que les épandages aériens ne s'y laissent éconduire. Notre action, notre refus d'obéir partout où nous avons un pouvoir, le pouvoir d'agir, doit toutefois générer la puissance nécessaire au désamorçage automatique de bien de grandes nuisances, alors impossibilisées par un environnement qui n'en conditionne plus la possibilité.

Nous sommes si culturellement enclins à l’immobilisme, à ne résister à rien avant d’acquiescer à tout — et avant tout à d’incessantes invitations aux divertissements, miroirs de notre passivité vicieuse, et achevée lorsqu’ils nous font spectateurs ébahis de la programmatique de notre mort annoncée que nous laissons dérouler sous nos regards devenus insensibles à tout ce qui les sort des Images. (Tout le monde connaît aussi : « la sélection des idiots se fera toute seule, ils iront d'eux-mêmes à l’abattoir », et pourtant...)

Nous allons au-devant de bien plus grandes difficultés encore, d'un monde entièrement noir et étouffant. Face aux cruciaux enjeux de la terrible époque qui nous tirent de la position d’expectative, toute envie de dormir qui doit nous passer confine à la plus haute culpabilité. Après la Belgique qui devenait le premier pays au monde à légaliser l’euthanasie pour les mineurs en 2014, la Colombie notamment est désormais également active au suicide assisté des enfants. (Voyons aussi ici en particulier ces effrayants caissons pour suicide assistés...)

Bien sûr, dans notre démarche active d’éveil qui concerne au premier plan la distinction des mots dont nous nous payons, anticipant la grandeur de nos actes sur une existence responsable, n’oublions pas non plus de nous demander qui — si nous sommes les « Gentils » — sont donc les Méchants... À cet endroit, les admirables sorties de Kanye West (« Ye » de son nom d’affranchi) doivent bien entendu nous inspirer. Elles rejoignent, comme signe de providence, le phénomène hautement salubre du #QUI. Ayons le verbe haut, ne tremblons plus pour des mots dont on veut nous priver dans l’insane entreprise de notre parfaite domestication, tenons un langage châtié, celui que l’on choisit, celui des nos ancêtres, contre toute infâme criminalisation de la parole (qui en défait en réalité toute l’importance) d’iniques changeurs et viles usuriers. L’indistinction, l’impossibilité de nommer, est le dernier palier de ce que dénote réellement l’enfer du satanisme. En deçà de ce terrible cap, point de non-retour, nous avons à reconnaître la malédiction de la terrible frousse qui nous réduit au silence : nous n'agissons pas parce que nous avons déjà peur de parler, seulement de nommer le mal. Si le terrorisme oligarchique, dans sa version djihadiste (attentats sous faux pavillon : 2018-2019), sa version policière (Gilets jaunes) ou sa version sanitaire contre le peuple entier (2020...), nous a bien appris une chose, c'est la suivante : le satanisme avance toujours masqué, derrière le « progressisme », la « démocratie », le « principe de précaution » ou « l'écologie » (organisée pour une famine « durable » et une misère « responsable »).

Un public auquel l'on peut faire gober qu'un « mégot de cigarette laissé par un ouvrier » a pu provoquer l'incendie de Notre-Dame est un public qui peut ne pas croire au Bien et au Mal (ni au bien et au mal en toutes minuscules), comme au combat que se livrent ces deux entités. Or, la plus grande victoire de Satan n'est-elle pas d'avoir fait croire en son inexistence ?


Le spectateur, abreuvé et abruti d'images, ne reconnaît pas mieux cette statue méphistophélique qu'il photographie que ces gribouillages du ciel ou ces affreux nuages sombres flottant quelques mètres à peine au-dessus de nos têtes qu'il croise chaque jour tout le temps. Nature et artifice, comme toute chose dans ce monde de fous, se confond...

À gauche : couvercle nuageux, ici relativement peu dense et qui s'étend parfois à perte de vue sans laisser filtrer le bleu du ciel.
À droite : une de ces inquiétantes fumées, que l'on retrouve partout les jours d'épandages massifs, et qui sont blanches ou sombres comme celle-ci, flottant parfois à quelques mètres à peine au-dessus du sol... (Hainaut : 31 janvier 2023)

Satanisme : l’abolition de toute capacité de distinguer, celle du pouvoir nommer, revient en dernière analyse à tenir les hommes séparés (d'eux-mêmes et donc déjà de Dieu). Or, le sans-Dieu revient, métaboliquement, à l’homme qui ne pense plus à rien d’autre qu’à lui-même, à l'homme intransitif de la masturbatoire métaphysique du nombril, qui n'en est d'ailleurs par là même plus (tout à fait) un, d’homme. La pourriture humaine n’est pas à chercher beaucoup plus loin. Toute la sape de notre déculturation aura d’ailleurs été de nous acclimater à cette déchéance fondamentale séparatrice (avant d’être proprement castratrice, et bien évidemment « au nom des valeurs », un de ces postes vides de toute signification de l’orthodoxie politique), de la rendre commune et assimilable — et nous trouvons la pornographie presque aussi acceptable que l’idée de ne plus faire d’enfants au motif de la « réduction carbone », ou que celle de les laisser dans le giron cannibale de l'Éducation nationale pédocriminelle.

« Aucun besoin de procès pour de tels crimes (pédocriminels). Trois mètres de corde à Bricomarché ? 5 euros. » (Roger Holeindre)

La virilité tant conspuée — et dont durant l’épisode « covid » (qui pour les retardataires est exactement conforme à l’agenda du NOM) ont fait preuve des femmes qui, sortant les crocs comme réflexe salutaire de survie témoin de notre humanité restante dès que l'on s'en prend à nos enfants, devraient inspirer beaucoup d’hommes — constitue le dernier rempart à ses monstruosités. Si sont spécifiquement empoisonnés les peuples qui ont historiquement démontré les meilleures dispositions à la révolte (cf. Barcelone 37, Budapest 56 ou, entre autres, la France du 68 ouvrier, pour l’histoire récente...), l’idée du blanc à tuer parce qu’il est seul capable de critique est évidemment à tempérer... Vous l’aurez déjà bien compris, l’avocat décapuchonné également peut être bien plus résistant que vous ou moi. Nous ne sommes pas prisonniers d’états, de catégories ou d'étiquettes par lesquels précisément l’antiracisme (ou toute épicerie de la doxa sur ce même moteur) frappe, en les essentialisant et en devenant par là le mal qu’il prétend attaquer (et en évacuant, au passage, avec celle du mépris, principalement social bien avant d’être « raciste », l'inscription de la violence réelle et effective, qui restera indiscutée, indicible en cet aliénant processus d'inversion), celui qui fait preuve de l’intelligence et du courage pour les reconnaître, les nommer.

Dans cette histoire comme dans tous les autres drames, le prolétaire européen qui est envoyé au casse-pipe pour les intérêts de banquiers étrangers n’a pas le droit de nommer ces derniers ainsi que la communauté qui les réunit. Or, ce droit, nous devons le prendre, le saisir...

« Il y a une guerre des classes, c’est un fait. Mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la gagner. » (Warren Buffett, milliardaire mondialiste, sur CNN en 2005)

Déboutons les « Ministères de la Vérité, « Observatoires du conspirationnisme », « Assises des dérives sectaires et du complotisme », profondes insultes tant à notre intelligence qu'à ce qui nous reste de dignité. Détruisons le mensonge réchauffiste, avec tous les mensonges politiques régnants qui justifient — Ordo ab chaos — notre effacement ; défaisons leurs agents qui le causent... Ne tolérons que quiconque se commette en lamentable et débile petit flicaillon de notre auto-contrôle, finissons-en avec le petit mot, l'hypocrisie, la chutzpah de leurs animateurs, toutes les approbations à notre servitude... Retissons sans plus attendre les liens avec notre profonde culture qui nous est interdite, et allons frapper aux portes des coupables démissionnaires.

N’attendons pas de suffoquer pour réaliser qu’on nous assassine. Formons le maillage de communautés soudées, pour la vie, guettons les plus discrets des signes des maux qui montent pour y contrevenir, organisons la réaction et les possibilités de fuite éventuelle (il reste à découvrir si des ciels sont plus cléments). Produisons humainement des réponses dynamiques, interventions signifiantes, marquant notre valeur nette.

Wikipédia au centre de cette entreprise de normalisation du mal, qui ici sans avoir l'air d'y toucher nous présente des ciels parfaitement artificiels comme des ciels naturels...

La masse d'Européens conscients de leur destruction annoncée, et en cours (unilatéralement poursuivie par la destruction d'une grande part de nos systèmes énergétiques après la réalisation de ce cauchemar d'orchestration mondiale d'injections mortifères sans précédent historique), n’est pas encore critique — et c'est très peu de le dire... Si la souffrance arrive, et par la faim et le froid, voyons-y aussi un phénomène heureux. La faim et le froid sont par ailleurs deux excellents remonteurs d’immunité. Retrouvons les vertus incroyables de l’inconfort (syntagmes de ce paragraphe explicitement repris de cet article).

Combattre : précipiter l’effondrement de ce système lamentable et invivable — et qui international s’organise tant bien que mal, dans les soubresauts de sa mort lente dans laquelle il tente de nous entraîner, une dernière guerre généralisée pour tenter le tout pour le tout. D’ici quelques années, des millions de personnes auront été englouties dans cet assaut final de l’Occident judéo-trotskiste contre l’humanité. Y devenir actif : déjà, prendre pleinement conscience de ce qu’est ce système et de ce qui se trame, en nécessaire préalable à ses aveux de faiblesse comme à son désarmement. Et continuer à pouvoir sourire devient certainement aussi un très grand mérite.

En France, en Belgique et dans tous les pays occidentaux, toutes les décisions politiques majeures (confinement, passeport sanitaire et toute l'infamie) ont été décidées et justifiées par des études de nombres qui, sans exception aucune, reposent sur des escroqueries mathématiques aisément démontrables. Des plaintes sont en cours, qui se cognent à une résistance évidente des parquets à mener l'enquête (pourtant déjà toutes donnée). Entre tous les démons de cet enfer, Cédric Villani — évidemment conscient de l'escroquerie sur son plan mathématique, au moins — a collaboré à leur diffusion et a refusé les nécessaires investigations. Or, nous savons par nos grands noms, dont nous devons reprendre le digne héritage à nos illégitimes censeurs, que nous ne pouvons prendre l'ordre légal pour l'ordre légitime, ou naturel. Et qu'il est alors de notre devoir le plus impérieux de poursuivre l'enquête et les luttes qu'elle engage au-delà des circuits fermés des codifications d'un ordre légal établi pour nous happer.

Nous avons à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour arrêter les bourreaux de l’humanité, décideurs et actionnaires milliardaires, petites mains, exécutants politiques, fonctionnaires, militaires, et tout notre public d’agents plus ou moins passifs, saborder la soldatesque honteuse de la promulgation de notre exécution, avant qu’ils ne nous éliminent. Renvoyons-leur leur gibet et leur corde à piano, dans cette stricte mesure de défense parfaitement légitime là où nous sommes le plus gravement menacés, et pas menaceurs. Nous sommes malgré nous inscrits dans une lutte à mort contre des hommes dévertébrés qui n'ont aucune moralité. Et c'est précisément parce qu'ils n'en ont aucune que nous sommes contraints à l’action.

La violence existe et elle agit contre nous, par tous les moyens, dont les pires. Les pères de famille sont aujourd'hui pénalement punis lorsqu'ils s'en prennent aux violeurs de leurs enfants. Le pouvoir politique nous désarme pour nous rendre parfaitement vulnérables, nous tenir à sa merci. Il s'agit avant tout de ne pas nier cet état de fait, qui réunit les conditions suffisantes tant de notre révolte que de notre mal-être lorsque nous en sommes soumis et captifs, avant de pouvoir contraindre, réprimer cette violence en la désactivant, la retournant contre elle-même ou au besoin en l'affrontant.

Après l'avoir bien anticipé en théorie, autour de nous et chez les êtres les plus proches, nous apprenons en pratique et douleur que le fait d'être en train d'être zigouillé n'est que très difficilement admissible et assimilable, et seulement encore lorsqu'elle est seulement envisageable. Précisément, le colossal immobilisme de granit, de pierre dure, du consentement muet des gens atones à leur mise à mort (qui n'en est plus au plan, mais à l'exécution), signe prodromique de leur entier malaise, est plus terrifiant encore que ces épandages. La conscience coupable de l'Occidental ou du blanc indique qu'il préfère mille fois mourir gazé anesthésié plutôt que de prendre le risque de combattre bien vivant ; et cette culpabilité nous est par ailleurs bien renseignée par la virulence hystérique de leurs réactions, définissant l'impuissance volontaire.

Et parce que ce consentement signe également la nôtre, et que ce malaise nous concerne donc tout autant, nous avons à saisir ce monde par le collier pour lui remuer un peu les tripes, en lui faisant au moins ou d'abord admettre, les yeux en face des trous, que ces patents gazages sont éminemment plus réels et infréquentables que The Voice et Cyril Hanouna. À ce mouvement tripal, le ciel doit être un tremplin...

Nous sommes les témoins vivants de l'humanité qui reste et résiste. Le non injecté devient une cible privilégiée du pouvoir marchand, parce qu'il subsiste en tant que « variable de contrôle » de cette expérience à laquelle il a, à son corps défendant, refusé de participer. Certains, parfois avec force de conviction d'ailleurs, n'admettent plus à cette catégorie d'humanité résistante les injectés covid. Ce n'est pas tout à fait notre cas, mais ceux-ci à leur redressement ont à avant tout reconnaître le coup porté, et pas seulement à leur intime biologie...

« Les nanoparticules d'aluminium sont non seulement infiniment plus inflammatoires, mais elles pénètrent aussi facilement dans le cerveau par plusieurs voies, notamment le sang et les nerfs olfactifs (les nerfs de l'odorat dans le nez). Des études ont montré que ces particules passent le long des voies nerveuses olfactives, qui sont directement reliées à la zone du cerveau qui est non seulement la plus affectée par Alzheimer, mais aussi la plus précocement touchée dans l'évolution de la maladie. La voie d'exposition intranasale rend la pulvérisation de quantités massives de nano-aluminium dans le ciel particulièrement dangereuse, car il sera inhalé pendant de nombreuses heures par des personnes de tous âges, y compris les bébés et les jeunes enfants. Nous savons que les personnes âgées sont les plus réactives à cet aluminium en suspension dans l'air. En raison de la nanotechnologie des particules d'aluminium utilisées, les systèmes de filtrage domestiques ne peuvent éliminer ces particules qui, en intérieur, ont une durée de vie prolongée. En plus de l'inhalation de nano-aluminium, ces pulvérisations satureront le sol, l'eau et la végétation de niveaux élevés d'aluminium. Normalement, l'aluminium est peu absorbé par le tube digestif, mais le nano-aluminium est absorbé en quantités beaucoup plus importantes. Il a été démontré que cet aluminium absorbé se distribue dans un certain nombre d'organes et de tissus, y compris le cerveau et la moelle épinière. L'inhalation de ce nano-aluminium en suspension dans l'environnement produira également une énorme réaction inflammatoire dans les poumons, ce qui constituera un danger important pour les enfants et les adultes souffrant d'asthme et de maladies pulmonaires. Je prie pour que les pilotes qui pulvérisent cette substance dangereuse comprennent pleinement qu'ils détruisent également la vie et la santé de leurs familles. Cela vaut également pour nos responsables politiques. Une fois que le sol, les plantes et les sources d'eau seront fortement contaminés, il n'y aura aucun moyen de rendre réversible le mal commis. Des mesures doivent être prises dès maintenant pour éviter un désastre sanitaire imminent, aux proportions colossales si le projet n'est pas arrêté immédiatement. Sinon, nous assisterons à une augmentation explosive des maladies neurodégénératives chez les adultes et les personnes âgées à des taux sans précédent, ainsi que des troubles du développement neurologique chez nos enfants. Nous constatons déjà une augmentation dramatique de ces troubles neurologiques et cela se produit chez des personnes plus jeunes que jamais. » (Extrait de « Chemtrails, Nanoaluminum and Neurodegenerative and Neurodevelopmental Effects », du neurochirurgien Russell L. Blaylock)

Comme nous le rappelait avec justesse le talentueux et hardi Xavier Poussard récemment, une « religion de mort », qui n'est pas la nôtre et nous étouffe depuis 45, de compromission en compromission nous conduit assidûment et sans pourparlers — dans sa logique d'extermination, et toujours par cette terminologie d'emprunt de brocanteurs et usurpateurs à désigner qui est le reflet exact de l'inanité de ses contenus concrets — aux condamnations, mises à mort sociales et physiques non plus seulement des « génocido-sceptiques », mais logiquement et hors science-fiction, en dernier calcul d'un mode d'être au monde et aux autres piloté par ces déterminismes d'autophagie que nous acceptons largement, des « euro-sceptiques », « climato-sceptiques » ou « vaccino-sceptiques ».

Passage de l'accablant rapport Nenki, les Chemtrails, les tracés de la mort (traduit assez grossièrement de l'anglais, ce qui, soit dit en passant, est parfaitement secondaire ici), auquel nous ajouterions seulement qu'il répond de notre intuition (sommaire) sur la raison, du moins pour son premier paramètre, pour laquelle les épandages sont plus importants en Europe (et donc peut-être aux États-Unis) qu'en Afrique ou en Asie, et qu'elle doit en réalité valoir au moins autant pour l'Europe que pour les États-Unis : « Toute l’histoire des chemtrails est reliée au plan visant à réduire la population mondiale autour de 400 à 300 millions, en commençant par les États-Unis. leur voisin, le Canada et tous les autres pays qui pourraient se révolter contre l’Ordre Mondial. Pourquoi ? Parce que le peuple américain est un des seuls pays qui auraient la possibilité d’arrêter le carnage. Encore, faut-il que ses ressortissants soient mis au courant ! C’est pourquoi les Américains doivent être les premiers à partir... Vous devez comprendre que l’élite mondiale convoite les États-Unis pour sa diversité géographique. »

Faire quelque chose, c'est d'abord faire face à l'imparable constat de la rupture idéologique à acter d'avec les discuteurs qui entretiennent la trame des grands récits du mensonge politique en en justifiant, d'abord par le fait qu'ils n'en soufflent pas mot, le stupéfiant pouvoir de contrainte, celui des seuls totalitarismes et haines qui soient, contre les idées infantilisantes et psychologisantes atrocement imbéciles, d'« extrême droite », qu'à coups de boutoirs de propagande de moins en moins dissimulée intériorisent (mécanique du mépris de soi) les foules, d'abord passives parce qu'elles « acceptent les termes du débat public », au lieu d'en rejeter justement la charge au pouvoir, législatif, exécutif, judiciaire réel, chez nous, et pas seulement au gouvernement israélien militaire et exterminateur (sur une base racialiste où d'ailleurs le « racisme », spectral partout ailleurs, c'est-à-dire partout où il n'est pas mais doit devenir une faute par truchement d'antiracisme, détient son unique valeur réellement péjorative).

Nous nous rappelons tous du professeur et parfois de l'instituteur qui nous parlait indiscontinûment de « Shoah », et souvent comme cela nous a profondément marqués, par ces affreuses images de mort que les enfants terrorisés n'ont pas encore les moyens d'exorcicer. Cette propagande-là, terrible, comme nous l'indique aussi la tout aussi insupportable censure qui pèse sur sa critique, n'est pas autre chose qu'une profonde dégoûtation. Et l'homme qui ne la combat pas n'est plus, rigoureusement, tout à fait debout. Et sans même nous laisser nous intéresser au génocide bien authentique des Allemands à la fin de la guerre et dans l'immédiate après-guerre, ou ne fût-ce qu'au typhus, nous sommes blâmés par l'intérêt que nous portons à notre propre histoire. Un pauvre paysan mayennais, en 1940 et à l'âge de dix-neuf ans, fut fait prisonnier d'un camp nazi pendant quatre ans. Après deux tentatives d'évasion échouées, il fut déporté à Rawaruska (Ukraine actuelle), le camp de la mort lente, d'où il est finalement parvenu à s'évader en 1944. Il parvient ensuite à traverser l'Europe à pied dans un corps famélique avant de se marier en 1945. Son fils, né en 1946, n'en a jamais parlé à ses enfants, ni de la terrible histoire de leur grand-père, ni de celle de tant de Français déportés. Ceux-là découvrirent l'histoire fin de leur trentaine, par un oncle, puis en lisant les mémoires de leur grand-père. Cette courte histoire pour témoigner de ce qu'est l'honneur, la dignité, et de ce qui nous sépare tant d'une sous-culture de la pleurniche et du shalala qui n'est pas la nôtre que d'un culte d'une mémoire bruyante, fausse, marchandable, trahie.

Il s’agit là d’un conditionnement dont, en réalité, quasi personne n’a pu (encore) prendre la mesure de l’ampleur...

Le pathétique réalisateur tchèque, par ce mépris de classe qui ne prend plus de gants, nous dit de son film : « il s'agit d'une histoire sur les braves gens victimes des théories du complot et de leurs propres peurs ». Lisons à cette incroyable affiche un phénomène d'époque majeur, et l’occasion d’un commentaire à faire sur la société du spectacle. À l’heure de toutes les contractions modernistes, les porteurs de flambeau du combat contre les saints « préjugés » se révèlent être par tragique ironie [5] les moins capables de former toute position éclairée sur le monde. Le cinéma est coutumier de cette forme d'expression expiatoire relativement inconsciente, mais en tout cas commandée par les tenants capitalistiques des démarches d'indistinction de toute signification. Seule expression possible de ce qui ne peut plus longtemps rester caché et qu'on ne peut critiquement réfuter, celle-ci revient à seulement exposer l'objet tabou qui par sa seule mise en exposition devrait rester à la valeur de spectacle (ou, pour les cas inverses les plus fréquents de transmutation de l'inexistant à l'existant : devrait par la spectacle recevoir le tampon de la vérité absolue). Les « modernes » spectateurs qui y marchent, chez lesquels la prestidigitation éhontément fonctionne, n'ont bien sûr jamais compris que la pensée « magique » du « sauvage » était infiniment plus naturelle que la leur.

L'édifiant vidéoclip de Lana Del Rey (fantôme hautement périssable, au même titre que « Madonna » ou « Lady Gaga ») intitulé « Chemtrails over the Country Club » nous montre l’exposition mortelle aux épandages chimiques aériens, déroulée en show sur fond — en plein, sans brouillage — de symboles sataniques et de tittytainment pour mieux faire apprécier en silence nos fins de vie tièdes de cafards comme happy ending (et le plus souvent même sans pipe). La méthode de spectacularisation, avant tout procédé de relativisation (du danger ici, de toute idée ou rapport sensible avec le réel ici et là), est ici à son point culminant. L'auditeur aussi sourd que borgne, qui resterait certainement aussi hermétique au message des Cent Vingt Journées s'il les eût lues, se laisse bercer par ces paroles enchanteresses :

« Je prends la fuite avec toi, mon tendre amour / Il n'y a rien de mal à contempler Dieu / Sous les traînées chimiques au-dessus du club sportif / Porter nos bijoux dans la piscine / Moi et ma soeur, on se la joue détendues / Sous les traînées chimiques au-dessus du club sportif / Retirez votre turquoise et tous vos bijoux / Allez au marché, aux piscines des enfants / Chéri, c'est quoi ton signe ? / Ma lune est dans le lion, mon cancer est le soleil / Tu ne veux pas jouer, t'es ennuyeux / Bon, je me fiche de ce qu'ils pensent / Je fais des courses de dragster avec ma petite voiture de sport rouge / Je ne suis pas déséquilibrée ou malheureuse, seulement sauvage / Je suis en fuite avec toi, mon tendre amour / Il n'y a rien de mal à contempler Dieu / Sous les traînées chimiques au-dessus du club sportif / Porter nos bijoux dans la piscine / Ma sœur et moi, on se la joue tranquilles / Sous les traînées chimiques au-dessus du club sportif / On se retrouve pour un café dans les écoles primaires / Nous rions pour rien tandis que l'été se rafraîchit / C'est beau comme cette profonde normalité s'installe sur moi / Je ne m'ennuie pas, je ne suis pas malheureuse, je suis toujours aussi étrange et sauvage / Tu es dans le vent, je suis dans l'eau / Le fils de personne, la fille de personne / Regarder les traînées chimiques au-dessus du club sportif / La banlieue, le marché de Brentwood / Que faire maintenant ? Peut-être qu'on va aimer ça / Des traînées chimiques en piquets blancs au-dessus du club sportif / Mon amour, mon amour / Je me lave les cheveux, je fais la lessive / Télévision de fin de soirée, je ne veux que toi / Comme quand nous étions enfants sous les traînées chimiques et les club sportifs / Il n'est jamais trop tard, chéri, alors n'abandonne pas / Il n'est jamais trop tard, chéri, alors n'abandonne pas / Sous les traînées chimiques au-dessus du club sportif, ouais (tu es née en décembre et moi en juin) / Tu es née en décembre et moi en juin (sous les traînées chimiques au-dessus du club sportif, oh oui) / Mon cancer est le soleil et mon lion la lune. »

L'acteur Leonardo Di Caprio est « ambassadeur de l'ONU » pour « le climat », c'est-à-dire qu'il a ordre de nous culpabiliser et nous « alerter » pour tout nous dire de ce climat sauf l'essentiel, dont, par exemple : les armes climatiques et la géo-ingénierie sont la véritable cause des problèmes de climat ; Marcel Leroux, climatologue français reconnu, professeur émérite de climatologie à l'Université Jean Moulin, directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement, nommé Chevalier dans l'Ordre des Palmes Académiques en 2002, a pour spécificité de n'être jamais invité sur aucune chaîne de radio ou de télévision pour présenter le défaut rédhibitoire d'avoir prouvé, en plus que les variations climatiques ne sont pas explicables par quelque effet de serre, que ledit « réchauffement global » est une hypothèse issue de modèles imprécis, confus, indistincts, fondés sur des relations simplistes qui annoncent une élévation de la température, proclamée mais non démontrée, puisque les contradictions sont innombrables entre les prédictions et les faits climatiques directement observés dans le spectacle de l'« ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes » par lequel se constitue l'« imposture scientifique »... Nous n'avons pas attendu, notamment, François Gervais (L'urgence médiatique est un leurre) pour comprendre que l'écologisme est une fumisterie intégrale. Le film de commande Don't look up (2021), particulièrement retors, est le plus spectaculaire exemple du procédé décrit plus haut (et de notre véritable « déni cosmique ») pour Somewhere over the chemtrails ou Yellowstone, qui nous avertit, de la plus cynique des façons de ce qui nous attend : la mort. Les traînées d'épandages chimiques aériens sont figurées dans quasiment chaque plan du ciel qui n'est jamais gratuit. Elles doivent évidemment seulement être intégrées comme éléments de décor, puisque c'est une « comète » qui devrait nous intéresser, comme symbole non pas des ciels chimiques que nous ne voulons pas voir, mais de notre inadmissible pollution de prolétaires carnivores. Les gnomes pendables qui décident ces programmes jouissent de nous montrer ce qu'ils nous réservent et font, et certainement encore du fait que la plupart d'entre nous sommes trop bêtes pour en comprendre le signe. Il est intéressant de remarquer qu'en 2013 le documentaire Look up ! prenait anticipativement le contre-pied du film de Netflix, aplatissant toute ironie :

« The film addresses the world's most dangerous environmental program ever — GeoEngineering and SRM : the science of using airplanes to spray the sky with toxic metals and particles, with the intention of blocking the sun and forcing climate change while creating unknown consequences. GeoEngineering and SRM cause climate change by definition. As governments continue to emphasize CLIMATE CHANGE, the experimentation of GeoEngineering, SRM, and Stratospheric Aerosol Spray programs continue over our heads and into the air we all breathe and water we drink. »

Aucune action en préfiguration d'actes réellement porteurs ne peut faire l'économie de ce sujet primordial, de ce que la censure politique recouvre, celui des grands récits de notre bâillonnement, dont un en particulier, prison mentale, « clé de voûte du système mondial » (Jérôme Bourbon), mais encore « arme atomique du pauvre », toujours selon Poussard au même endroit, que nous devons saisir. Aucune. D'aucuns ne réalisent pas l'énormité du poids, titanesque, que les grands tabous politiques font (indiciblement) peser sur nos existences qu'ils asservissent. Éminents sujets, non pas en soi (où ils sont morbides et ridicules), mais précisément en tant que verrous idéologiques, muselières mentales pour masques physiques. C'est parce qu'ils instituent politiquement notre abattement, et qu'ils continuent d'infuser en masse tous les principes de notre domestication, les idées de notre incompétence à régir nos propres vies et de contredire radicalement les parasites et gangs qui s'y prêtent, c'est parce que, en dernière instance, par l'espace qu'ils occupent ils censurent notre relèvement des sujets qui comptent vraiment, dont les plus sacrés au-devant desquels nous devons porter bien entendu notre incroyable consentement à notre mise à mort, mais encore l'horreur absolue de la pédocriminalité qui s'aggrave, se banalise, étend ses tentacules, que nous devons les détruire : les refuser et en rire. Or, aucun résistant pour ne pas abominer et s'efforcer de mettre en déconfort les illusionnistes et menteurs qui par tous ces sous-sujets, nous maintenant à nos chaînes, ont encore cette vilénie de priver notre jeunesse (à laquelle un film tel que, par exemple, La liste de Schindler a fait un mal considérable bien que très déconsidéré) des possibilités de s'approprier sa propre histoire... Cette histoire d'hier à nos jours est celle d'historiens et héroïques combattants, chassés de leur propre pays, traqués à l'étranger et arrêtés par une dégoûtante police politique, que nous permettons (races de boue de tortionnaires, béni-oui-oui, yes-men, dédaigneurs, passeurs, paillassons, loques humaines), dont le courage inspirant doit commencer par nous interroger dans l'étendue de notre passivité, permissivité, dans la petitesse et de notre action décidée ne trouvant bien souvent d'écho que dans les marges de l'insignifiance. Et de la même façon que ne s'oppose à ces derniers aucun contradicteur sauf l'opprobre, personne ne peut sérieusement contredire cet imparable constat : cette ligne-là, à mesurer en fracture, se tient en frontière nette entre le cannibalisme politique à l'heure de Davos et les troupeaux de veaux illettrés consentant à leur latitudinaire destin de bêtes.

« Comment se fabriquent, je vous demande, les idoles dont se peuplent tous les rêves des générations d'aujourd'hui ? Comment le plus infime crétin, le canard le plus rebutant, la plus désespérante donzelle, peuvent-ils se muer en dieux ?... déesses ? recueillir plus d'âmes en un jour que Jésus-Christ en deux mille ans ?... Publicité ! Que demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux devant l'or et devant la merde !... Elle a le goût du faux, du bidon, de la farcie connerie, comme aucune foule n'eût jamais dans toutes les pires antiquités... Du coup, on la gave, elle en crève... Et plus nulle, plus insignifiante est l'idole choisie au départ, plus elle a de chances de triompher dans le coeur des foules... mieux la publicité s'accroche à sa nullité, pénètre, entraîne toute l'idolâtrie... ce sont les surfaces les plus lisses qui prennent le mieux la peinture. » (Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre, 1937)

Château de Villandry, en Indre-et-Loire, au petit matin du 3 mars 2023...

Il est parfaitement édifiant que l'écrasante majorité des commentateurs de cette dernière photographie postée sur la Toile, comme ceux de toutes les autres présentant ce décor céleste, s'extasie sur la beauté du château, du cliché par sa saison ou ses perspectives, sans que personne ne s'émeuve, là encore, de l'éléphant au milieu du salon : ce apocalyptique ciel, ces tracés de mort. Entendons bien, et martelons-le à ces passifs qui par là nous plombent, que ce qui est plus effroyable encore que cette exécution en cours, par aérosols et injections, est la quasi-parfaite collaboration des victimes à leur bourreau, par ce fait même que nous nous trouvons pris en tenaille en leur centre...

Aurons-nous aussi à le répéter incessamment, avant le moment de prendre les armes : sur le terrain idéologique, personne ne vaut en résistance réelle qui n'aborde, sinon n'épouse, les sujets pour lesquels certains des nôtres sont mis en prison ou tués, souvent après avoir été déclassés socialement, et reniés parmi leurs pairs (pour mauvaises pensées ou paroles...). Et bien que la démonstration nette de cette idée relève de l'enfantillage, celle-ci est déjà trop en demander pour ceux qui — hélas, devenus sous l'effet de déracinement des générations molles trop docilement couillons pour contester quoi que ce soit, jusqu'aux imprécations à leur disparition — ne peuvent plus les appeler « les nôtres » parce qu'ils ne peuvent à peu près plus rien reconnaître (y compris nos plus illustres aïeux dont ils ne connaissent même plus les noms). Le secret, c'est de tout dire.

Nous n'avions pas besoin de passer par la case journalisme, comme toute tête encore un peu pensante, pour savoir que les urgences seraient surchargées cet hiver 2022 (comme pour deviner que des braques pourraient encore nous servir l'énoncé : « J'ai le covid ! »). Le « covid » (hologrammique) a bon dos... Nous tombons à peu près tous malades, et tout un chacun qui se fie encore un peu à ses sens aura bien découvert que (notamment) les toux persistantes qui ne lâchent pas (depuis des mois et désormais parfois des années) un nombre croissant d'entre nous n'ont plus aucun rapport avec la « grippe » selon tout langage naturel ou toute logique sanitaire. Ancien chercheur médical universitaire, Leonard Horowitz (d'ailleurs thuriféraire des thérapies naturelles et alternatives), non surprenamment qualifié de farfelu et dangereux par ses pairs en raison de ses positions, fait état de la collusion entre gouvernements et grandes entreprises pharmaceutiques qui rendent malades de larges pans de la population, en pulvérisant certains produits chimiques dans l'air par le biais des émissions d'aérosols par des avions à réaction. Il affirme qu'une mystérieuse maladie ressemblant à la grippe (suivez notre regard) est en augmentation depuis la fin des années 1990, qui ne semble suivre aucune période logique d'apparition et de transition virale ou bactérienne. Une infection bactérienne ou virale provoquerait de la fièvre, mais ce n'est pas le cas. Les signes cliniques de ce mal qui dure des semaines, voire des mois, sont la toux, la congestion et le drainage des sinus, la fatigue et un état de malaise général. Il affirme encore que ces pulvérisations sont responsables d'une intoxication chimique du public, qui provoque ensuite une suppression immunitaire générale, de faible à forte, en fonction de l'exposition, et qu'il s'agit d'une opération mondiale secrète d'empoisonnement par dispersion de gaz sulfurés dans l'atmosphère terrestre.

Trouvez l'intrus ! De gauche à droite en partant du haut : série télévisée Derek ; documentaire The Hatchet Wielding Hitchkiker ; photo Wikipédia de la ville irlandaise de Dublin... Naturalisation de l'artificiel, falsficiation du naturel partout à l'œuvre.

Pour ne considérer que ce point de départ, cependant décisif, d'un mal qui n'y a évidemment pas débuté, c'est bien le plan depuis la phase une (« covid-19 ») de la grande réinitialisation qui nous a massivement empoisonnés, par ses injections entre divers polluants physiques et spirituels (masques, tests PCR, hydrogels pour les mains, confinements, mises en cage, cruauté admissible, injonctions perverses etc.), et par ses moyens parallèles non médiatisés dont, pour cette raison précise en plus des preuves directes, nous avons à nous méfier davantage. Sans revenir ici à fond sur les raisons pour lesquelles le plan prend en Europe alors que cette arnaque fonctionne beaucoup moins bien en Afrique, par exemple, nous avons en tout cas besoin d'une chose : de combattants. Nous ne prétendons pas pouvoir affirmer avec certitude où se situe le combat. Et c'est d'ailleurs dans cette réunion que nous encourageons vivement ici que les réponses, nécessairement issues de l'intelligence du dialogue (grande leçon de Debord), sont à trouver. Nous pouvons néanmoins avancer qu'il se mène sur plusieurs plans, dont le spirituel, ou qu'il est avant tout un combat de lumière — à répandre — contre les ténèbres. Nous prétendons aussi que tous les hommes en âge de combattre doivent combattre, sinon pour la famille qu'ils n'ont pas ou plus, pour celle des autres, sinon pour les enfants qu'ils n'ont pas, pour les enfants des autres, ceux des hommes qui en sont encore. Une cousine, qui en temps de paix étendus dans lesquels elle a toujours considéré vivre et qui pouvait et peut au demeurant dans ces limites étroites être charmante et généreuse, nous avait fait cette réponse après que nous l'eûmes invitée à voir ces choses, en lui disant notamment qu'il serait important que son compagnon, pilote, puisse agir comme il le pouvait et encore comme il le doit : « bonne chance dans votre combat ». Enflammons-nous : précisément, il ne s'agit de tout sauf de moi, sauf de quiconque en particulier... Il s'agit de l'avenir de l'humanité, de tout avenir possible. Il s'agit de nos enfants, auxquels nous devons toutes perspectives d'espoir, et nos vies, dans une lutte à mort qui par définition nous concerne tous et de laquelle nous sortirons les pieds en premier si nous ne nous joignons pas nos forces. Sa réponse, marquante, inouïe, est en réalité très représentative... De toutes les horreurs déprimantes, poisons pour l'âme et premiers incapacitants quant à notre réaction tant humainement attendue, que nous passe la propagande politique, médiatique, cinématographique, la pire, la plus insidieuse, est peut-être à relever ici, qui constitue par exemple tout le programme de l'abominable The Walking Dead qui est sans vrai scénario sauf celui-là (sujet auquel nous avons fait paraître ceci) : en plus de la désensibilisation à toutes les violences, la naturalisation du tous contre tous, de l'idée d'impossibilité de collaboration heureuse face à une adversité commune, celle du struggle for life d'une Europe aujourd'hui presque parfaitement thatchérisée au plan ontologique — d'où, voyez-vous, avoir accepté sa prolétarisation achevée tout en prenant référence à Bruxelles pour principe ou vertu politique, c'est qu'on a accordé tellement peu de valeur à la vie qu'on peut troquer un verre en terrasse contre injection par l'illusion de la vie éternelle).

« Je jetterai sur toi des impuretés, je t'avilirai, et je te donnerai en spectacle. » Nahum 3:6, verset de la Bible cité en ouverture de ce film de 2022. [Dans une ferme reculée en Californie, Otis « O. J. » Haywood et sa sœur travaillent ensemble dans leur écurie pour un réalisateur respecté. Mais, après la mort soudaine et étrange de leur père, tué par un objet étant tombé du ciel, le duo est aidé par Angel, employé dans une société de caméras de surveillance, où ils vont découvrir la présence d’une force mystérieuse et meurtrière présente dans le ciel...]

Une amie vient de nous narrer que sa sœur, triple vaccinée, qui ne veut rien entendre du mal qui nous ronge et de ces épandages, lui a conseillé d'arrêter de regarder le ciel. Une telle anecdote dit tout de la profondeur des racines de notre immobilisme, de notre sous-humanité. La réponse à cette sœur est simple : cela n'est pas possible. Ou plutôt, s'il est possible d'accéder à cette requête déshumanisante, celle-ci n'est pas tolérable, voire tout simplement supportable. Nous sommes acquis à l'idée que ce fait que nous en soyons réduits à ne plus pouvoir regarder, admirer le ciel acte un moment de rupture, qui ne peut être exclusivement qu'une rupture symbolique, idéologique...

Il nous reste tout à faire, ou l’essentiel encore, en questionnement vital de ce pouvoir. Nous n'avons plus que peu de temps pour réagir, et cette réaction ne peut être que collective — parce que toute action solo revient — fatalement — au désarroi de l'onanisme. Nous pouvons dès à présent humblement — par l'humilité que doit nous inspirer le désastre — acter que nous n’y sommes pas encore. Aucun d’entre nous, du moins parmi les vivants, n’est encore suffisamment névrosé que pour se regarder dans la glace et sérieusement penser qu’il se bat par tout son possible. Notre victoire, à la perspective de laquelle l'infinie pleutrerie de l'adversaire retient un motif de réjouissance (bien sûr, encore, centralement : ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux), en bien des sens apparaît comme puissante exclamation de la vie davantage que comme « survivalisme ».

« Nous sommes reconnaissants envers le Washington Post, le New York Times, le Time Magazine et les autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan planétaire si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » (David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberg, à Baden en Allemagne, en juin 1991)

La moindre carte postale naturalise ces ciels empestés.

Alors, le courage, c'est pour quand ?

Arrêtez de vous cacher, faisons face à l'adversité ! Les enfants de six ou huit ans d’aujourd’hui, ayant été obligés de porter un masque des journées, semaines et mois entiers et qui ont tenté de se suicider en s’enfonçant un mouchoir au fond de la gorge seront surpris de constater, à l’âge adulte, que les coupables courent toujours, que nous ne les avons pas punis... Nos enfants, nos enfants d’abord, demandent, réclament, exigent notre activité, notre contribution active, combattante, que chacun d’entre nous avance — que chacun fasse son possible pour rendre sa part de soleil au monde.

Nous avons à recouvrer le sens du sacrifice, et indiquer à nos souvent bien trop paisibles aînés retraités qui n’ont plus la charge d’enfants en bas âge, mais davantage de latitude à la prise de risques, de se mouiller, de s’en prendre plus vivement aux empoisonneurs de puits, de contacter et de bousculer plus de monde et parmi le moins recommandable... Nos décideurs auront souvent simplement exploité à outrance l’absence assez totale de scrupules des générations pourries d’après-guerre, dont la pusillanimité s'étire jusqu’aux plus de vingt ans... Or, ce qui au premier plan nous préoccupe est que de cette insigne menace, non seulement par certains aspects mais de façon centrale, nous sommes les premiers instigateurs, par notre démission collective, confortée par notre mensonge. Sans notre adhésion, avant tout passive, rien de tout cela ne serait possible.

Nous ne pouvons plus nous conduire en lemmings et automates. En rupture avec les fadaises et tyrannies journalistiques, politiques, universitaires qui nous les font perdre, nos vies se doivent commises au bouillonnant tumulte de l'insurrection qui, sans aucun contre-sens, est aujourd'hui seul facteur des joies véritables, en devenir...

Or, sur le sens à accorder à l'action commune et ce qui est attendu de chacun d'entre nous, aussi reprenons-nous à notre propre compte les termes de ce groupement d'action grenoblois dans lesquels nous nous reconnaissons assez parfaitement (merci Alexandra) :

« Pièces et main d’œuvre n’est pas l’enseigne d’un collectif, mais d’individus politiques. Nous refusons la bien-pensance grégaire, qui n’accorde de valeur qu’à une parole réputée "collective", pour mieux la réduire au conformisme, à la paresse et à l’incapacité, dans l’anonymat du groupe. Nous ne souhaitons pas de gens "qui fassent partie", mais — au contraire — nous allier chaque fois que possible et nécessaire avec d’autres "qui fassent" par eux-mêmes. De même que nous refusons de nous identifier autrement qu’aux anonymes, ceux qui n’ont jamais la parole, nous refusons l’expertise, cette ruse du système technicien pour dépolitiser les prises de décisions et déposséder les sociétaires de la société de leur compétence politique. Ce refus vaut [ndlr : évidemment aussi] pour la "contre-expertise", cette ruse du système technicien pour infiltrer et retourner les oppositions à la tyrannie technologique. En bref : nous considérons que la technologie — non pas ses "dérives — est le fait majeur du capitalisme contemporain, de l’économie planétaire unifiée. La technologie est la continuation de la guerre, c’est-à-dire de la politique, par d’autres moyens. Si la police est l’organisation rationnelle de l’ordre public — de la cité — et la guerre un acte de violence pour imposer sa volonté à autrui, cette rationalité et cette violence fusionnent et culminent dans la technologie, par d’autres moyens. [...] Quant à notre pratique, nous savons qu’on ne gagne pas toujours avec le nombre, mais qu’on ne gagne jamais sans lui, et moins encore contre lui. Nul à ce jour n’a trouvé d’autre moyen de transformer les idées en force matérielle, et la critique en actes, que la conviction du plus grand nombre. Nous soutenons que les idées sont décisives. Les idées ont des ailes et des conséquences. Une idée qui vole de cervelle en cervelle devient une force d’action irrésistible et transforme le rapport des forces. C’est d’abord une bataille d’idées que nous, sans-pouvoir, livrons au pouvoir, aussi devons-nous être d’abord des producteurs d’idées. Pour produire des idées, nous nous appuyons d’abord sur l’enquête critique, aliment et condition première, quoique insuffisante, à toute action. Si la critique fait feu de tout bois, ce bois c’est l’enquête qui l’amasse. Si nous avons semé quelques doutes, par exemples sur les nanotechnologies et les technologies convergentes, sur la biométrie, les RFID et les neurotechnologies, sur le téléphone portable et nombre de sujets connexes, sur la destruction du territoire, la cannibalisation de "l’écosystème" par le système technicien, c’est à force d’enquêtes, de harcèlement textuel, d’interventions lors d’occasions officielles. Une critique dont on peut énoncer quelques lignes élémentaires : anticiper. Contester à propos, avant coup plutôt qu’après coup — les nanotechnologies par exemple. Être offensif plutôt que défensif. Faire la différence en se concentrant sur le point aveugle de la critique, plutôt que faire nombre en clabaudant en chœur des évidences. S’emparer des symptômes d’actualité pour remonter à la racine des maux. Instruire à charge, en laissant au système qui en a plus que les moyens le soin de sa défense. Ne jamais dénoncer les malfaisances sans dénoncer les malfaiteurs. Ne jamais répondre à leurs manœuvres de diversion et de récupération. Ne jamais lâcher le front des nécrotechnologies. Ainsi formons-nous l’espoir qu’à Grenoble et ailleurs se multiplient les enquêteurs et les enquêtes, liant le local au global, le concret à l’abstrait, le passé au futur, le particulier au général, afin de battre en brèche la tyrannie technologique, et d’élaborer de technopole à technopole une connaissance et une résistance communes. »

C’est sur la reconnaissance de cette base d’entendement fondamental pour toute cette action commune que nous devons nous unir, nous joindre, nous tenir, par la flamme d'une certaine intransigeance, impitoyabilité, de volonté et de foi, prémisse à toute bonne action donnée, forgée en dehors de nos habitudes inféodées à la mollesse.

Nous devons donc bien reconnaître les malfaiteurs qui ne pourront dorénavant se réfugier derrière quelque odieux paravent d'idéologies vaporeuses par lesquelles, vertu faisant place à l'« intersectionnalité », à notre grand dam et à notre assujettissement propre nous les absolvons de leurs actes criminels, maléfiques. Pas de laisser-passer, pour les empoisonneurs, commanditaires, exécuteurs, justificateurs, pas de blanc-seing pour le Sanhédrin. C'est la grande leçon du Christ que nous ne pouvons, qui abolit ce processus de réification dont nous avons la clé, immanente. C'est la leçon que nous ne pouvons voir, raison pour laquelle le pouvoir politique crache sans cesse sur sa figure, sur la nôtre, par ce véritable blasphème qui doit nous porter à l'ire, contre ceux qui se vantent jusqu’à aujourd’hui de l'avoir crucifié, de nous crucifier... C'est évidemment par là même que nous ne pouvons pas voir, et que nous devons donc clamer que, comme Karl Marx l'a parfaitement démontré, abolir le trafic, c'est-à-dire supprimer l'économie de notre mort dans ses soubassements, revient à rendre le juif (état ni nécessaire, ni naturel, ni permanent, mais acquis donc dispensable) impossible.

Ne nous y laissons évidemment pas prendre : l'antiracisme est, en dernière analyse, l'anathème porté à la critique de ce que les hommes au pouvoir font, celui du jugement porté à la qualité de ce qu'ils sont par ce qu'ils font, celui du juste et nécessaire jugement porté à l'inqualifiable. Et si le judaïsme (que certains qualifient de « politique ») est l'idéologie ou la religion la plus adéquate aux nécessités capitalistes, la mouscaille capitaliste a bien marqué le monde entier de son empreinte. Nul besoin, dès lors, d'être juif — c'est-à-dire de vivre selon les préceptes de cette religion — que pour être soumis à son esprit. Nous sommes tous responsables de notre naufrage — collectif. Jacubowicz, quant à lui, avec nombreux de ses coreligionnaires, en ligne directe ou « de synthèse » (pour reprendre l'expression de Serge de Beketch), tire un malin plaisir du blasphème (au blasphème étatiquement de loin le plus encouragé) par de viles sous-entendus. Il s'y sent puissant, et tout à fait à son aise. Mais l'heure tourne et sa fin, la fin des orcs, est proche...

« Ce sont bien les grands prêtres et tout le Sanhédrin qui déclarèrent : "Il mérite la mort." (Mt 26:65) Ce fut bien le sacerdoce d'Aaron, synthèse et expression de l'économie théocratique de l'Ancien Testament, qui condamna le Messie. Les textes des Pères sur ce sujet sont innombrables. Saint Ignace d'Antioche, dans sa lettre aux Philippiens, ne veut pas qu'on "célèbre la Pâque avec les Juifs" car ce serait "pactiser avec ceux qui ont tué le Seigneur et ses Apôtres". Pour Origène, il y a incontestablement un péché du peuple juif en tant que tel : "Nous devons admirer la providence de Dieu, qui s'est servi du péché de son peuple, pour appeler par Jésus les Gentils au royaume de Dieu." Saint Hilaire de Poitiers parle du peuple juif comme d'un peuple impie, parricide, traître. » Saint Ambroise affirme très nettement cette responsabilité collective du peuple juif : il a été tué par le peuple des Juifs tout entier, celui qu'ils poursuivent encore de leur haine. Même jugement chez saint Augustin : "Aveuglés, ils ont crucifié le Seigneur ; Les Juifs ont vu le Christ, mais ils l'ont crucifié." » (De la question juive : Synthèse, de l'abbé Olivier Rioult)

Nous tenons en respect le travail d'information, important, dont celui de Claire Henrion à laquelle a été transmis ce message dont ce paragraphe est une redite, comme le feu qui les anime. En revanche, nous nous séparons assez radicalement de ceux qui pensent agir décisivement en misant, principalement du moins, sur la pétition, le recours juridique ou parlementaire... La raison nous paraît évidente, mais nous devons la rappeler. C'est l'État (voyou déjà en théorie, par définition, diraient certains, mais en tout cas clairement en pratique) qui organise notre mise à mort. Or, demander aux politiciens d'agir au parlement pour y faire quelque chose revient exactement, à la lettre (le trope ne soit fantaisiste), à demander un soulagement de peine au bourreau qui nous conduit à l'échafaud dans la crainte de le bousculer pour le risque d'être puni... Nous tirons de ces actions-là essentiellement une valeur d'exemple, d'inspiration, moins pour ceux auxquels le message est destiné que pour le public général vers lequel il est diffusé.

Nous [le groupe d'action, de soutien, de combat pratique que je parviens ou du moins m'efforce à réunir] aspirons à nous associer à d'autres forces, beaucoup plus fiables et pérennes que les intentions instantanées requises par les « fils d'actualité », pour un lieu plus vivable à l'étranger.

Notre énergie vitale est énorme, incommensurable, parce que nous aimons la vie et qu'elle est bien trop précise pour nous laissions l'OTAN nous la confisquer. Encore faut-il trouver où partir, ou, notamment mais certainement, comment ici et maintenant tant que nous y sommes nous prémunir, protéger nos enfants contre les effets de ces polluants, et frapper à défaut de pouvoir le faire. C'est à la série de questions pratiques que ces thèmes-là posent que nous devrions exclusivement nous organiser, accorder le principal de notre énergie.

Ces quelques questions représentent une tâche à la fois vitale et colossale : nous n'avons pas le temps ou les calories pour nous dissiper ailleurs. Et si nous ne pouvons ou ne devons totalement nous écarter de la mission d'information, requise pour l'assemblée qe nous devons susciter (même ou de préférence en petit nombre, et que nous ne pouvons totalement nous séparer des autres, n'en déplaise aux survivalistes de blockhaus), celle-ci devrait d'abord concerner cette agrégation-là. Le travail d'information est important, donc, oui, certes, mais bien dans une certaine mesure... Il ne peut pas revenir à l'information de ceux qui encore « non convaincus » par ce qui nous est tombé récemment sur la tronche (bien plus que les chemtrails : toute l'opération COVID et son cortège d'horreurs), à défaut d'avoir pu comprendre à quelle sauce nous étions mangés depuis au moins 45 (tournant majeur), ne méritent en fait pas du tout que nous nous y usions davantage... S'ils ne nous méritent pas, c'est d'abord parce que l'heure est grave. (Que n'a pas encore abandonné l'abdicateur que n'anime encore aucune colère après s'être laissé piquer comme un poulet, et que c'est Pfizer lui-même qui l'en informe ?)

Fondamentalement, nous croyons moins à l'appel à l'action public (que Dane Wigington mais encore) qu'à l'exemple donné, aux gestes forts, exemplaires, aux actions décisives, par petits comités décidés, d'enrayement au sens le plus physique du fonctionnement de la mécanique du pouvoir — aux gestes qui, à défaut d'être kamikazes, engagent au moins le sacrifice, retrouvent son sens dont la perte explique notre situation de léthargie collective (et intolérable) que nous devons chercher à tout prix à débloquer...

Dans tous les cas, à quoi peuvent bien servir encore d'énièmes « tests de labo », de redécouvertes d'évidences telles que le mensonge du discours politique sur le dioxyde de carbone, qui ne convaincront aucun fuyard, phasme soumis (dont paresseux ultimes qui trouveront ce texte long), qui en réalité, au bout du compte, n'expriment que leur désir ardent de disparaître anonymement, tandis que par ailleurs nous n'avons nul besoin, nous, de nous convaincre de la nocivité de ces épandanges, pas plus que nous avons besoin d'en connaître le détail du détail moléculaire (que nous ne connaîtrons jamais, pas plus que celui des réactions biochimiques des cellules vivantes) de leurs pathogènes ?

Et comme nous ne pouvons nous écarter totalement d'une mission d'information toujours à donner à des êtres que nous pensons encore mobilisables ou non totalement zombifiés, ou que nous ne pouvons nous empêcher de nous adresser aux responsables (et, pour la Belgique, au MIL par exemple, dans le vœu un peu pieux de s'adresser à des hommes et non seulement leur reliquat, des machines), arrêtons de nous excuser, de nous justifer au point de demander des autorisations pour aller pisser : bousculons. Cela revient à affirmer ceci : ne cherchons pas les autorisations ou la pitié, mais prévenons et responsabilisons.

Beaucoup trop d'entre nous ne sont pas assez charitables envers eux-mêmes et leur famille, et songent encore à sauver l'infréquentable, à frayer avec les morts. Nou venons d'affirmer que notre tâche est vitale et colossale. Elle est surtout vitale : relativisons le second adjectif. Ce que nous devons accomplir n'est énorme qu'à l'aune précisément de ce frein-là, de cette incompréhension nodale, en plus de tous les ralentissements du divertissement en général, qui est partout, multicanal, ne passant pas seulement par Netflix ou le travail. Contrer ces actions et appels de désespérés, c'est agir localement, à échelle humaine, comme boules d'énergie, en dehors des cadres policés dans lesquels nous sommes attendus.

Pour ne pas entrer en contradiction (en partie inévitable et lot commun des personnes qui avancent...) avec ce que nous énonçons ici qui nous espérons imprégnera les meilleurs ou plus résolus d'entre vous, en dehors de cette page qui par son unicité et sa permanence pèse contre cette double idée de dissipation et précarité de l'information divertissante, et qui par ces qualités-là ne peut se rompre au message télégraphique à longueur de tweet, vous ne nous entendrez presque plus ici, sur le web, sur différents groupes de réseaux sociaux ou de messageries, réservant et canalisant notre énergie vers les répondants.

Charité bien ordonnée commence par soi-même : c'est le profond amour que nous portons à nos innocents enfants qui nous convainc qu'ils ne méritent pas nombre d'adultes autour eux, qui ne les voient pas comme « essentiels », et que nous ne pouvons envisager plus longtemps de tenir comme ambition de vouloir sauver le monde entier, parce que celui qui ne cherche pas son salut ne le mérite pas davantage que celui qui par sa docilité et sa passivité (bien conscientes, relevons, pour faire déchoir toute simpliste et paralysante idée d'« aliénation »), fardeau et bois mort, nous entraîne dans sa chute... Nous tendons une main, et une ferme, mais ne pouvons emmener tout le monde dans l'aventure. Aussi, Pierre Hillard a raison d'affirmer qu'il « n'a plus le temps d'éduquer les naïfs », et n'a sûrement pas tort d'ajouter que « quand tout va craquer, ils mourront les premiers sans avoir compris ce qui leur arrive ». Contactez-nous si vous désirez intégrer une communauté de combat, une communauté de destin partageant un même horizon de vie, et qui s’inscrit dans une dynamique de dialogue et d'avancées véritables, sous-tendue par la recherche pratique de solutions.

Le ciel est sombre et les temps sont durs, mais ne perdons surtout pas de vue que le pouvoir panique. Ses ridicules et pathétiques gestionnaires gesticulent dans tous les sens, mentent de façon de plus en plus éhontée, peuvent de moins en moins dissimuler leurs agissements. C'est parce que le chaos dont ils sont porteurs contient en lui-même les conditions de son auto-destruction. Là aussi, nous devons trouver une note d'espoir. Si nous tenons bon, si nous résistons, d'un certain point de vue, nous avons déjà gagné. D'un certain point de vue seulement. Nous devons porter le mouvement de l'insurrection, défier ce chaos qui dans sa chute pourrait très bien tous nous engloutir. Nous ne pouvons dès lors nous contenter d'attendre, ou de nous fier aux signes de lendemains heureux (cf. astrologie karmique pour ceux qui y croient), et moins encore nous fier et nous lier — terminus de l'opposition contrôlée — aux fanatiques parfaitement démissionnaires, notamment représenté en France par le groupe Guerre de Classe porté par le gourou, distracteur de la dernière espèce, Francis Cousin, hérauts du commentaire d'une « colère sociale qui monte », qui nous brassent le tour de l'«  auto-mouvement », qui « nécessairement adviendra », mais auxquels il ne faut surtout pas participer, comme il ne faut pas se mêler aux basses agitations de mouvements sociaux tels que celui des ploucs de Gilets Jaunes, mais seulement commenter à l'abri de son salon en attendant la mort...

C’est pour nos enfants dont nous ne pouvons confier l'avenir aux médiocres et aux lâches que nous devons nous battre et que nous devons vaincre, c'est pour eux que nos forces doivent s'épanouir en méthode, s'accomplir en franches actions, débarrassées des accaparements et engagements inessentiels et des distrayeurs de tous bords, à commencer par ceux qui se repaissent de notre malheur, que nous devons fuir. Nous ne laisserons pas ces sous-hommes new-yorkais, londoniens et bruxellois abîmer nos enfants, dont la vie a infiniment plus de valeur que la leur. Combattons, physiquement, spirituellement !

Ils brûlent nos églises, mais n’atteindront pas leur esprit.

Pour tout potentiel « RG » qui nous lit notamment, pour ces parasites non sollicités qui se glissent partout et envers lesquels nous resterons inmanipulables, parce que nous avons notamment acquis les moyens de contrer l'inversion accusatoire, mais surtout pour (tout) le monde, il est sans doute encore opportun de répéter qu’il ne s'agit pas d'appel à la violence, voie dans laquelle aime nous entraîner l'ennemi, comme celle de l'intangible « haine » des crimes imaginaires pour soutien aux crimes eux bien perceptibles et commis, des gazages imaginaires qui voilent les gazages bien réels... Il s'agit seulement, humainement, raisonnablement, moralement, de répondre, en défense toute légitime, à une violence terrible qui est commise contre nous. C'est bien dans ce cadre que non seulement nous pouvons, mais que nous devons, avant de passer à l'action, au moins oser poser les mots qui conviennent, dont ceux qui donnent un nom aux malfaiteurs : oui, donc, nous avons à démettre ces homoncules d'État, et son appareil, objectivement en guerre contre nous. La violence nous le la commettons pas, elle est commise contre nous ; et nous devons nous défendre, sinon pour nous, pour nos enfants. Il s'agit là, en réalité, d'un devoir moral supérieur, c'est un ordre qui nous est donné par toute idée d'amour (ils ne brûlent pas nos églises pour rien, mais bien pour nous éloigner de ces considérations). Or, il faut aussi nous rendre à ce constat d'évidence, auquel nous nous adjoignons évidemment : nous répondons si peu aux coups portés, si timidement, bouffés par la crainte, gangrénés par la lâcheté, à l'heure où nous sommes aspergés comme de'« inutiles » blattes, nous contentant souvent (sans évoquer de ceux qui ne font parfaitement rien) de relayer en boucle des idées que nous savons déjà depuis des années et dont nous avons encore à tirer les implications pratiques. Il n'y a finalement pas grand-chose d'autre à savoir... Le reste coule presque naturellement de source. La peur est bien notre premier obstacle, ennemi, que nous devons tordre par notre inscription dans le feu d'un combat dynamiquement, chaleureusement humain. Notre vie a une immense valeur et nous n'en n'avons qu'une ; notre paradis est terrestre, et c'est pour ces raisons que nous ne pouvons nous commettre en passivité. D'ailleurs, notre combat confère à notre vie actuelle bien plus d'étoffe, de sens, dque celle que nous avons collectivement menée en consommateurs ces dernières décennies, sans horizon, sans panache, sans beauté.

Indépendamment de nos différences dont les dissensions qu'elles suscitent (et souvent de façon très artificielle...) font pâle figure vis-à-vis du danger qui nous menace tous à court terme, et qui devrait alors, par toute voie de conséquence logique, salubrement nous rassembler dans une certaine urgence, nous pensons que l'essentiel est de retenir que face à pareille tromperie, et une tromperie dont le plan objectif vise à nous éliminer, l'important est, d'abord, de relever la tête, de refuser de surcroît, partout où nous pouvons en prendre conscience tout en cherchant activement à aiguiser cette conscience, de pactiser plus longtemps avec la laideur et l'immonde. Ici réside alors sans doute la première source d'énergie transformatrice, de combat, dont le principe axial, avec la discipline de fer, le sacerdoce qu'il exige de nous, est certainement encore celui de la communauté dont nous avons perdu le fond commun : de notre combat, faisons naître l’épique nouvelle. Le poing sur la table, parlez-en, répandez ce message comme une traînée de poudre, engagez-vous, protégez-vous, sauvez-nous.

Notre problème principal : échange édifiant avec un collègue préventeur ou le syndrome de passivité acquise...

Voyons aussi, en reprise synthétique d'exposé, que le plan d'actions assez simple que doit retenir notre attention exige de nous que nous fassions tout notre possible pour contrer les effets de la dispersion de l'attention, marqueur s'il en est de l'inintelligence, et symptôme majeur de notre abrutissement de consommateurs, avant d'être la raison première de notre mort largement auto-consentie de spectateurs...

Et retenons en particulier encore que nous avons à nous employer à : ne pas nous laisser happer par les énergies basses, à ne pas nous laisser contraindre par le désespoir, auquel avec l'inattention et l'indiscernement par tous les coins nous invitent le pouvoir politique et ses lamentables et punissables sbires ; nous réunir en dehors des courants de manifestations et des logiques politiques claniques, en faisant notre possible pour nous extraire des volontés de nous assigner à résidence et confinements (séparer pour mieux régner : rien de nouveau sous le soleil de Satan) ; parler autour de nous, sans manquer les autorités, sans contrainte, sans auto-censure et en bousculant ; reconnaître que nous sommes bien les premiers responsables de ce qui nous arrive, qui ne pourrait advenir si seulement une menue fraction d'entre nous se comportaient en adultes responsables...

Ne doutons pas du fait que pour moi, pour vous, pour quiconque, il n'est plus l'heure de tenter de convaincre les inconvaincables, qui ne nous méritent pas, qui ne méritent plus le temps que nous consacrons à la survie des êtres aimés, et qui en bien des aspects ne méritent pas de s'en tirer. L'heure n'est plus aux exposés, mais aux démonstrations. « Sans vous commander, je vous demande d'aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches. Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l'embellir, il faut reboiser l'âme humaine », disait Julos Beaucarne (merci Perrine). Et que Milgram se trompe ou non en affirmant 80 % des gens ne disposent pas des ressources psychologiques ou morales pour défier l'autorité, quelle que soit l'illégitimité de ses ordres, nous n'en avons cure : c'est le petit nombre qui nous préoccupe, le proche voisin et non le Tartare lointain.

La terreur qu'un tel danger nous inspire ne doit nous tromper sur cet important paradoxe : celle-ci nous pousse à le photographier, à le renseigner, documenter tant et plus, là où précisément il devrait nous pousser à nous employer entièrement à notre sauvegarde, bien que celle-ci passe dans une certaine mesure par l'information des autres. Il devient aussi urgent que vital de briser ce cycle — infernal — de l'information, auquel, fondamentalement, nous sommes liés par ces mêmes chaînes qui nous ont retenus de prendre le pavé et les fourches lorsque des gens se sont permis de dire à nos enfants qu'ils fallaient qu'ils se masquent et se distancient les uns des autres, mais au contraire encouragées à y laisser notre consentement...

Et c’est moins la voie légale empruntée en 2014 par la population décidée d’une ville du Mont Shasta en Californie, qui a pu obtenir des résultats par une mobilisation de la population locale, du conseil communal et de la mairie, pour mener des études, rassembler des preuves et dénoncer avec fruit ces épandages qui notamment détruisent et programment les cellules du cerveau, que leur détermination — cette détermination qui doit sortir la plupart d’entre nous d’un honteux sommeil — qui doit tenir pour nous comme valeur d'exemple.

« Un cumulus, juste au-dessus d'vot' tête ! »

À notre guide d'action, inscrivons aussi en frontispice et à l'encre indélébile que la passivité est une faute grave : la paresse individuelle comme l'individualisme congénital sont les premiers ferments de notre faillite collective. L'on ne croit pas aux chemtrails : on les voit (avant des les inhaler)... Or, si la paresse individuelle peut à la limite expliquer que beaucoup d'entre vous puissent gober cette énormité, celle-ci ne suffit pas à expliquer qu'on puisse ne rien voir et comprendre aux épandages aériens, en ce qu'ils sont, contrairement à certains objets mythiques qui fondent notre subordination, à voir là directement, sous nos yeux. À la paresse se mêlent inévitablement bêtise, abandon et déchéance. Il est aussi idiot de prétendre à l'inexistence des épandages aériens que de prétendre à l'inocuité des « vaccins covid ». Ce qui est fantastique dans cette histoire est que Pfizer reconnaît lui-même la dangerosité de ses produits, et que les autorités officielles elles-mêmes reconnaissent la géo-ingénierie. Les naïfs (terme modéré) se font donc plus catholiques que le Pape, dans un effort acharné à ne pas vouloir voir la réalité (celle de notre extermination), à persévérer dans le mensonge (d'abord envers soi-même), entreprise elle-même résultat de la disparition du courage.

Le pouvoir politique intégré s'active inflexible à nous affaiblir, nous réduire, déposséder jusqu'à l'état d'inertie totale. Réagissons avant qu'il ne soit trop tard, avant que nous n'ayons plus aucune capacité d'action.

À l’instar de l’antisémitisme et de ses infinies duplications antiracistes qui sur un plan plus idéologique d’empoisonnement des têtes explique comment nous sommes devenus à la fois assez dociles, soumis et bêtes (gentils), victimes consentantes à prendre en gré les ordres de la substitution de nos mœurs avant ceux de l'élimination des trésors de notre biologie différenciée ensuite (en un mot : nous avons peur d’affirmer que nous préférons — et devons préférer — les nôtres, notre famille, notre sang, aux autres, sur commandement d’une petite fraction de gens qui nous méprisent selon une longue tradition), la pollution par le dioxyde de carbone est un mythe, et par ce qu’il a comme fonction de recouvrir, un tant énorme qu’infâme mensonge, celui d’une pollution imaginaire qui doit nous taxer masquant une pollution réelle et qui nous tue à petit feu : celle de la géo-ingénierie, dont la pollution électromagnétique, qui se surajoute gravement à la pollution qui lui préexiste (déversement de différents pathogènes dans les eaux, l’air et la terre : particules fines et métaux lourds de l’industrie lourde, dioxines, pesticides, etc.). Les colporteurs de ces mensonges inouïs sont méprisables, qui forment les premiers écrans qui nous séparent des possibilités mêmes de notre contestation. Nous devons mépriser journalistes, politiciens et universitaires au même titre que nos proches qui ne se battent pas de toutes leurs forces à la recherche de solutions pour notre jeune génération, et toutes celles à venir.

Parce que : nous sommes exterminés par nanotechnologie ; différents spécialistes affirment que nous avons peut-être déjà passé le point de non-retour dans une situation alors au moins hyper critique ; nous connaissons une explosion des cancers depuis le début des épandages réguliers dans les années 90 ; plus de la moitié d'entre nous mourra avec ou de démence ; nos enfants encore en bonne santé aujourd'hui ne pourront plus l'être demain ; cette dégradation est exponentielle ; les abeilles sont quasiment éteintes du fait des rayonnements ultra-violets et de l'aluminium dispersé massivement et partout ; une quantité astronomique d'espèces animales et végétales a disparu du fait de cette pollution, dont variétés d'insectes ; la prophylaxie, la détoxication seront bientôt ou sont déjà un pansement sur une jambe de bois vis-à-vis de ces polluants hautement toxiques qui s'accumulent, notamment dans le cerveau ; les possibilités de déloger efficacement les nanoparticules de nos organismes demeurent tout à fait incertaines ; la déterioration qui rend tout à fait inhabitable notre terre pour toute vie concerne tous les organismes vivants, la totalité de l'écosystème auquel nous sommes intimement reliés ; le sol et ses végétaux dépérissent et avec eux la possibilité de leur régénération, les échanges celullaires qui établissent la vie au niveau le plus fondamental étant empêchés par ces saletés de métaux lourds ; aucun légume ou fruit ne peut être qualifié de « bio » aujourd'hui en 2023 ; au-delà de sa portée biologique, cette agression est quasiment aussi terrible et inacceptable sur le plan symbolique et que nous ne pouvons tolérer que ces Yahoos que nous devons poursuivre recouvrent notre ciel pour nous tirer vers le désespoir ; que pour toutes ces raisons nous devons nous battre pour notre famille, nos enfants, pour tous ceux qui sont déjà tombés, pour notre dignité d'êtres... nous sommes tous attendus à ce combat dans lequel nous avons à nous investir en entier.

Ôtez-vous de notre soleil, rendez-nous notre ciel bleu ! À bas les empoisonneurs, disgrâce sur les non courageux !

Ou rien n'est important... Commencez à envoyer cette page dès à présent, sans plus attendre, à tout votre entourage, aux autorités locales et fédérales, à toutes les instances officielles dont les adresses sont facilement trouvables via le Web. Tout est là et est irrécusable. Plus personne ne peut ni nous tromper par le mensonge ni se dissimuler derrière quelque excuse pour ne pas agir. Passons l'appel et faisons plus qu'informer, arrêtons-les. C'est notre message, celui de l'ACSEIPICA et de Geoengineeringwatch.org qui nous ont précédés et abattent un courageux travail d'information et d'éveil depuis de nombreuses années, c'est le message de millions de militants dans le monde dont la plus sûre façon de ne pas sombrer dans le désespoir est de vous appeler à l'aide.

Comme l’a déjà dit un éminent professeur qui fut héroïquement, sacrificiellement martyr pour nous — héraut du goût que nous avons à cultiver pour l'exactitude, de l'amour à vouer à la justice —, auquel nous devons, pour les hommes en devenir qui y tireront noble inspiration à défaut de nos générations honteuses qui l'ont méprisé, d'honorer la mémoire : magnanime envers les faibles, intraitable pour les escrocs, nous pensons que notre devoir, c’est le vôtre aussi.

« Tous les réveils sont nécessaires au réveil des populations à ce qui nous attend. Et nous avons comme devoir de faire en sorte que chaque jour qui passe compte. » (Geoengineeringwatch.org)

« Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. »
Jean 14:6

Faites circuler !

bonjour@inmediares.be
t.me/degazouilleur

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Ressources : documentation, relèvements, continuités, dialogues pour changements engagés [liste évolutive — 128 entrées au 27/06/2023]

Notes de bas de page

[1] Le site de scientifiques résistants espagnols « La Quinta columna », qui remarque que la symptomatologie « covid » coïncide exactement à l'instauration des ondes « 5 G » et du début des opérations d'épandages aériens renforcés sur le plan chronologique, rapporte quant à lui que de l’oxyde de graphène (vous savez, ce que le chimiste autrichien Andreas Noack assassiné quelques heures après en avoir parlé nous expliquait dans le détail, évoquant de la « nanotechnologie s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, comme des nano-lames de rasoir ») serait ajouté au combustible des avions de ligne, dont les pilotes ne sont pas informés qu’ils assassinent les populations survolées. Après avoir analysé la capacité d'adsorption du dioxyde de carbone de l'oxyde de graphène, ses implications pour la nucléation de la glace dans l'atmosphère et sa dispersion dans les gaz d'échappement des avions, il apparaît assez clair pour cette équipe que les effets de condensation provoqués par les turbines à réaction génèrent par l’ensemencement des nuages une contamination par des résidus de suie et d'oxyde de graphène, ce qui expliquerait la présence d'oxyde de graphène dans les eaux de pluie. La présence de ce dernier dans les aérosols de l'atmosphère ne pourrait en effet être due qu'à une vectorisation aérienne, soit par contamination par les carburants des moteurs à réaction, soit par l'effet direct ou la pratique de pulvérisations intentionnelles à haute altitude... [https://www.laquintacolumna.net]

[2] Le « spectateur » du « covid » est immanquablement et essentiellement le même que celui qui n’a (toujours) pas compris que les « attentats du WTC » ne sont pas le fait autonome de barbus à cutters issus des grottes afghanes, que la « myocardite » n’est pas plus un effet (simplement, naïvement, innocemment) « secondaire » des « vaccins covid », que ceux-ci n’ont aucune « légitimité » à gagner dans quelque « phase d’essai protocolaire » que ce soit, ou entre mille et sans déborder du tout du sujet que la « diversité culturelle » et son « antiracisme » ne sont que les cache-sexe de la disparition de toute différence... L’« anticomplotiste » est renvoyé au dernier rang de l’idiotie. Le lexème de « complotisme » a été inoculé comme celui de « virus » au locuteur fantoche qui le répétera à qui mieux mieux — même — après avoir fait mine de comprendre ce que vous lui aurez pourtant bien expliqué et qui ne devra en rien altérer son psittacisme morbide : la thèse (toujours, malgré tout) officielle du « complot » contre JFK par le « tueur isolé » (petit frère des « prédateurs isolés », sur le sujet le plus grave dont les courageux alerteurs disparaissent beaucoup plus vite que les autres, et sur lequel aucune « marche blanche » de Playmobils n’aura eu la vigueur, ni par nature ni par fonction, de porter lumière) est à mourir de rire. L’anathème « complotisme » — toujours in-défini en nature et fonction — doit seulement nous interdire de penser l’idée même de complot, cependant qu’elle réside (farfelue) dans toutes les narrations officielles d’attentats (cf. le complot de Ben Laden contre les Tours vs celui de l’État profond israélo-américain contre les mêmes). « Moins 95 % de la population », qu’ils ont dit au « FEM ». Ils nous ont même donné la date : « avant 2030 ». Mais voilà qui devrait encore passer pour l’anticomplotiste des « super éoliennes », de la « guerre en Ukraine », du gaz et de la mort à crédit. Il n’a évidemment rien compris de la nature exacte de la tragédie qui nous arrive, mais il ne reconnaît même pas son ombre. Aussi, pour anticiper d’avance les quelques incultes trous de balle et affidés qui nous accusent de « délirer » dès les blocs de départ : il n’y a pas plus simple que de servir « le complot » par ceux mêmes qui nous en font bouffer... Écoutons ici et entre mille John O. Brennan, directeur de la CIA entre 2013 et 2017 discuter des « bénéfices de la géo-ingénierie » dont le programme officiel (et comme de juste toujours brumeusement officiel) est de « bloquer le soleil pour lutter contre le réchauffement climatique (en limitant l'effet de serre) » (ben voyons !) [ce qui a inspiré ce clip vidéo]. Voilà également qui est à donner à la substance de la maître-idée de spectacle. Le spectateur ne peut plus interpréter tout en ne pouvant plus voir qu’on se moque sans vergogne de lui : entre mille, il n’aura tiré aucune forme de conclusion sur ce fait pourtant absolument majeur et absolument démontré que le covid n’est autre qu’une vaste supercherie idéologique d’accompagnement discursif à la destruction des économies et des corps, et, dans celle-là, entre mille, aucune conclusion sur ces placards de métro que nous avons cité, de « prévention pour les AVC chez les enfants »...

[3] Les fétichistes (de sexe, le plus souvent, par inévitable voie anthropologique, féminin : voir Tiqqun pour les derniers de la classe) du kleenex facial, s’étant récemment reconvertis dans une croisade paranoïaque en faveur de l’infanticide parfaitement légal et moralement irréprochable, nous offrent en effet une occasion rêvée d’enfin saisir la parfaite cohérence dissimulée derrière l’apparente bigarrure de leurs névroses variées — lesquelles, en dépit des apparences, ne sont pas que celles de quelques célibataires stressées du tertiaire de centre-ville, mais aussi et surtout celles d’une culture (en un sens large, spenglerien) tout entière. L’hétérosexualité étant — comme toute réalité humaine — aussi une réalité culturelle, il est factuellement exact que — l’androgynie et la labilité sexuelle ayant toujours existé, même dans les sociétés qui, culturellement, leur laissaient le moins de place — la culture de l’hétérosexualité, en tant que dispositif normatif, a toujours fait (et fera toujours) le malheur d’un certain nombre d’individus aussi peu responsables moralement de leur anormalité que les enfants mongoliens de leur tare génétique. Et il est exact que, dans les cas les plus infortunés, ce mal-être débouche sur des suicides. Il en a toujours été ainsi, il en sera toujours ainsi. Les Anciens l’avaient bien compris, et le disaient assez clairement, sous forme de tragédies : la loi est loi à condition de tuer, toute loi est criminelle.

Dans les circonstances qui président au bonheur et au malheur des hommes dans ce qu’il a de plus fondamental, il n’y a pas plus de « justice » ou de « sens » que dans la sélection, au sein des troupeaux d’herbivores, des victimes de la prédation des grands fauves, pratiquement toujours mis en position de faiblesse par leur âge, leur isolement, la maladie, un accident... Prisonniers à des degrés presque égaux de la matrice progressiste, les jumeaux « révolutionnaire » et « conservateur » du Janus bifrons moderne aiment jouer au ping-pong avec ces petits cadavres : ce qui les sépare, c’est la méthode employée pour trouver à ce malheur inévitable, né de l’injustice foncière de l’existence humaine, des causes pseudo-historiques et pseudo-politiques. C’est cette recherche de causes, de coupables, cette incrimination systématique (quoique diverse dans le détail) de la réalité qui constitue le fond de la mentalité occidentale. Dans l’Occident finissant, seuls les rarissimes réactionnaires sont encore capables du haussement d’épaules attristé qui constitue la seule, l’universelle réponse de l’homme raisonnable à cette fausse question, à cette apparence de question que feint de lui poser la réalité. Semblablement, même s’il est vrai que les fécondations résultant d’un viol sont statistiquement négligeables dans le total des fœtus avortés, même si les victimes de suicides ou des conséquences létales d’avortements sauvages dont nous bassinent les féministes représentent (même en les comptabilisant sur toute la durée de l’histoire humaine) une fraction ridicule du total des enfants assassinés dans le ventre de leur mère depuis l’institutionnalisation et l’industrialisation de « l’interruption de grossesse », là aussi, ces victimes (parfaitement « innocentes » dans le cas des viols caractérisés) existent, ont toujours existé, et existeront toujours dans les sociétés viables. On a trop peu souligné l’analogie profonde (pour ne pas dire : l’identité) constatable entre ces problématiques et le « dilemme covidien » tel que l’a, dès les tout premiers jours de la psy-op débutée en 2020, présenté la propagande covidiste elle-même : qu’on accepte ou non la théorie du virus pathogène, il est indéniable que, tout en servant d’éboueur démographique dans les mouroirs, les « viroses saisonnières » ont toujours emporté aussi (quoique dans des proportions statistiquement négligeables) des individus relativement jeunes et (apparemment au moins) en relativement bonne santé. En déclarant ces pertes inacceptables, ce que le discours covidiste a de facto aboli, c’est ce concept de « statistiquement négligeable » — et ce, alors qu’il n’a, par ailleurs, jamais cherché très sérieusement à contester que le coût exorbitant des confinements en fait, en dernier calcul, l’équivalent d’une opération de démolition contrôlée de « l’économie ». C’est que ce discours, en réalité, amène à ses toutes dernières conclusions la logique de l’impératif catégorique kantien, aussi à l’œuvre dans l’idéologie « BLM » (prurit d’un « [anti-]racisme » morbide et moribond), dans les croisades féministes en faveur de l’avortement ou dans les campagnes hystériques du lobby LGBT contre la « culture patriarcale » qui pousse de pauvres enfants « queer » au suicide. Dans tous les cas, l’impact démographique de ces « injustices systémiques » est inférieur à celui des rarissimes accidents d’avion. Dans toute logique publique, évoquer ces pertes pour justifier des décisions aussi désastreuses que le confinement, l’autorisation (voire l’encouragement) de l’avortement ou la diffusion de la propagande « trans » dans les écoles constitue donc l’équivalent d’une interdiction de l’aviation civile « pour éviter les accidents » : pour éviter la mort, criminalisons la vie.

Ces considérations doivent nous aider à comprendre que — parmi les « petites phrases » de l’homoncule E. Macron à l’antienne atlantiste — la véritable devise du covidisme, ce n’est pas ce « nous sommes en guerre » d’un machiavélisme à deux balles, mais le presque aussi célèbre « quoi qu’il en coûte », moment emblématique de l’abdication de la rationalité dans le dispositif idéologique occidental. Or cette abdication n’a rien d’un accident. Elle est le résultat logique, et à long terme inévitable, de l’évolution idéologique tendant à conférer à la vie individuelle (par définition accidentelle) une valeur essentielle. Si la survie des individus (et non des familles) est le dernier mot de l’axiologie socialement acceptée, comme cette survie est à long terme, par définition, impossible, c’est cette axiologie tout entière qui est frappée de nullité : elle devient un joujou discursif, une rhétorique soutenue par l’inertie culturelle et permettant au cynisme oligarchique d’habiller d’harmonies moralisantes à peu près n’importe quelle décision (en commençant, bien évidemment, par les plus monstrueuses).

On voit ici comment le safetyism conceptualisé par Matthew Crawford, loin d’être un accident de l’histoire culturelle occidentale, est la conséquence ultime de ce que beaucoup, depuis plus d’un siècle, désignent par l’expression de « nihilisme occidental » : c’est précisément parce que la vie humaine a perdu toute valeur transitive, étant donné que rien ne se transmet à qui que ce soit de façon personnelle, que l’horizon destinal de cette vie à l’échelle individuelle (qui est la mort) est devenu une aporie, un cul-de-sac de la pensée, au-delà duquel la pensée occidentale ne sait plus se porter — non pas au sens qu’elle ne serait plus capable de s’imaginer des « au-delà » plus ou moins métaphysiques, mais, plus prosaïquement, en ce que, désormais, l’apparition de la mort dans un raisonnement y déclenche cette autodestruction de la logique qui se manifeste dans le slogan « quoi qu’il en coûte » : plus de poésie après « Auschwitz », plus de déductions logiques après le décès (censément « causé » par un pathogène viral) d’un nonagénaire à Bergame. Ce qui fait du moment covidien une épiphanie, c’est la pureté chimique dans laquelle la psy-op a mobilisé le mécanisme du safetyism, en l’occurrence débarrassé de toutes les scories morales sectorielles qui pouvaient troubler la compréhension dudit mécanisme dans ses manifestations plus précoces (comme BLM ou les croisades pro-avortement ou LGBT) : la « vulnérabilité virale » étant réputée universelle, les fausses questions entourant la responsabilité morale que porteraient dans leur vulnérabilité spécifique les filles-mères ou les déviants sexuels disparaissent opportunément de l’équation. C’est ce qui a permis à « la droite » d’accepter comme un seul homme la logique covidiste de « la gauche » postmoderne au pouvoir — le problème n’étant, de ce point de vue, pas du tout de comprendre pourquoi des pantins comme Salvini ou Orbán exécutent les ordres tombés de Davos, mais comment il est possible que cette trahison patente de tous leurs pseudo-principes de droite ne leur aliène pas le plus gros de leur électorat propre. C’est la réaction (en général de soumission et de fidélité à l’homme en dépit du principe) de cet électorat qui montre la véritable nature du conservatisme occidental au début du XXIe siècle : la bouche sans cesse pleine de « tradition », de « nation », d’« ordre », etc., il n’est en réalité sensible qu’à la valeur-égalité, qui l’amène à ronchonner devant le principe de « discrimination positive » (à l’œuvre dans BLM, dans l’agenda LGBT ou le féminisme postmoderne). Au crépuscule de l’Occident, le conservatisme, c’est, comme il se doit, l’attachement crispé aux valeurs de 1789, pendant que le progressisme, plus conséquent, dépasse ces valeurs : comme la nature contrevient à l’égalité, c’est donc qu’il faut abolir la nature (« nouvelle normalité ») ; aucun privilège de l’âge ne doit protéger les enfants d’injections expérimentales censément destinées à prolonger l’espérance de vie des vieillards. Décision menaçant l’espèce ? « Qu’importe ! Augmentez-moi cette saloperie ! » C’est une chose de constater que l’humanisme est devenu le projet d’en finir avec l’humanité. Encore faut-il comprendre comment (de façon historiquement nécessaire) un humanisme fondé sur le principe antihumain de l’égalité ne peut que déboucher à terme sur la campagne d’injections actuellement en cours. (« La vaccination est un acte d’amour. » — Pape François)

[4] Il serait difficile de rendre raison des histoires et des oracles que nous avons rapportés, sans avoir recours aux Démons, mais aussi tout cela est-il bien vrai ? Assurons-nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause. Il est vrai que cette méthode est bien lente pour la plupart des gens, qui courent naturellement à la cause, et passent par-dessus la vérité du fait ; mais enfin nous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point.

Ce malheur arriva si plaisamment sur la fin du siècle passé à quelques savants d'Allemagne, que je ne puis m'empêcher d'en parler ici.

En 1593, le bruit courut que les dents étant tombées à un enfant de Silésie, âgé de sept ans, il lui en était venu une d'or, à la place d'une de ses grosses dents. Horatius, professeur en médecine à l'université de Helmstad, écrivit, en 1595, l'histoire de cette dent, et prétendit qu'elle était en partie naturelle, en partie miraculeuse, et qu'elle avait été envoyée de Dieu à cet enfant pour consoler les chrétiens affligés par les Turcs. Figurez vous quelle consolation, et quel rapport de cette dent aux chrétiens, et aux Turcs. En la même année, afin que cette dent d'or ne manquât pas d'historiens, Rullandus en écrit encore l'histoire. Deux ans après, Ingolsteterus, autre savant, écrit contre le sentiment que Rullandus avait de la dent d'or, et Rullandus fait aussitôt une belle et docte réplique. Un autre grand homme, nommé Libavius, ramasse tout ce qui avait été dit sur la dent, et y ajoute son sentiment particulier. Il ne manquait autre chose à tant de beaux ouvrages, sinon qu'il fût vrai que la dent était d'or. Quand un orfèvre l'eût examinée, il se trouva que c'était une feuille d'or appliquée à la dent avec beaucoup d'adresse ; mais on commença par faire des livres, et puis on consulta l’orfèvre. Rien n'est plus naturel que d'en faire autant sur toutes sortes de matières. Je ne suis pas si convaincu de notre ignorance par les choses qui sont, et dont la raison nous est inconnue, que par celles qui ne sont point, et dont nous trouvons la raison. Cela veut dire que non seulement nous n'avons pas les principes qui mènent au vrai, mais que nous en avons d'autres qui s'accommodent très bien avec le faux.

Bernard Le Bouyer de Fontenelle, Histoire des Oracles, 1687.

[5] La figure de l’ironie est une expression nette de l’échec de l’idéologie à épuiser un réel non refoulable (« De même que M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir, les Gilets jaunes à leur insu combattent l'étoile jaune. Car derrière la baisse du pouvoir d'achat, la montée des impôts et des taxes se cachent les requins de la finance anonyme et vagabonde, le gang des Rothschild », Rivarol) qu’elle ne peut finir que par grossièrement trahir. Il faut pouvoir imaginer qu’un haut dignitaire de la politique belge, qui pourtant gai comme un pinson plaît au prince par tout gage d’impuissance, ait été repris pour avoir anodinement évoqué sans engagement un gouvernement trop favorable aux riches : « Ma Belgique ne peut être gouvernée comme elle l’est aujourd’hui : uniquement pour les plus riches et les plus puissants ; c’est une Belgique des diamantaires anversois qu’on a aujourd’hui alors que nous avons besoin d’une Belgique plurielle. » (Elio Di Rupo) Ce chef de parti, tout ministre, socialiste, inverti qu’il fût, n’a pu par cette quelconque remarque éviter le tollé médiatique. Une journaliste le reprit sous forme d’incrimination : « Et comme chacun sait, on trouve bien peu de Berrichons parmi les diamantaires anversois... ». Il est tellement obvie qu’une juiverie contrôle le marché des diamants que la langue de l'usure ne peut plus mentir sur l'usure de la langue, contrainte à piteusement échouer dans la figure plate du bon mot peu saillant, avec le rire comme seule promotion à sa censure, forcée d’interdire la parole tout en ne pouvant plus que fatidiquement paraître — et au-delà d’Europe-Israël — sur ce qu’elle ne voudrait pas qu'on dise... Et c'est bien parce que la dérision est son seul refuge que le Roi tolère à peu près tout, sauf que l'on se moque de lui, que l'insoumis conséquent (que l'humour sauve du désespoir) manie lui aussi l'ironie et ricane de lui.

À l’heure où il est idolâtrement louche de prononcer les mots « ces gens-là » au premier et franc degré, la figure rhétorique de l'ironie passe la critique par dérision d’une réalité indissimulable qu’on ne peut plus tenter de pipeauter que par simulation de son contenu. Alors que son apparente légèreté et neutralité n’engage précisément aucun point de vue assumé, la posture est fameuse à langue de la fiction en ce qu’elle tend à faire miroiter que l’ironiste occupe successivement tous les points de vue, à la fois celui du contempteur et celui de l’admirateur, celui du pour et du contre, de la victime, de le l’avocat, du procureur et du juge. Il n’en est rien, et la réalité annoncée dans sa parfaite clarté — en l'espèce, le lien intrinsèque entre judaïsme et capitalisme, le rôle prépondérant des juifs dans la géopolitique mondiale ou le fait que l’on trouvât en effet peu de Berrichons parmi les diamantaires anversois, cause toujours, tu m’intéresses ! — devrait jouer comme par sidération de sa propre dissimulation, invalidation, par une forme négligeable d’autocritique sous-entendue et jamais produite. La badinerie par le mime devrait faire peser le soupçon de la malfaçon sur toute sérieuse désignation d’une réalité, et non sur la question de celle-ci même, énoncée par le seul imprimatur de la dérision, à tourner à la pantalonnade, ne devant alors laisser admettre son évidence que comme vernis. Sur Hitler, Le Pen ou plus directement encore sur tout « brûlot raciste », ce soupçon de malfaçon se substitue aux contenus qui attestent d’une réalité qu’aucun clerc ou profane ne peut contredire, de Hilberg à Dechavanne. Par cette forme de gestion tacite des contraires qu’implique la pirouette, mode de la dé-hiérarchisation de tout article constitutif du réel et d’acceptation d’une absurde équivalence générale des valeurs, le tour ironique alors souvent mal avisé a tendance à faire passer aux esprits lents pris à témoin l’impression ou l’idée même de la résolution. Muette et feinte, la réplique n’est en aucun cas cependant donnée : l’objet d’enquête a été déplacé dont il ne restera qu’une question de censure que la frivolité du procédé, malgré l’élocution embarrassée, aura dû faire oublier dans son élastique ambiance. Le nimbe ironique permet au turlupin dont les institutions se parent de déjouer à peu de frais les bonnes et sérieuses questions, mises sous le tapis, remplacées comme le sont les êtres qui disposent de la nature pour les poser, tout en le dispensant de marquer d’une once de clarté toute position de rejet ou d’adhésion, tandis que les condamnations pour crimes de mauvaises pensées sont distribuées et tombent de plus en plus lourdement. Tout se tient qui est lié. Le comique, de carrière ou à moitié, rarement léger, dont l’action tend à passer tout tragique au tamis du dérisoire et de l’arlequinade, est un poltron lorsqu’il n’est pas un imbécile né, et cette langue de lâches institue son rapport au monde.