Du mouvement nécessaire : Action !

Bruxelles, Belgique, le 24 juillet 2022.

Répondez à notre appel pour intégrer nos échanges, la répartition des tâches à nos missions, compléter cette liste d'actions épinglée en haut de cette page sous cette introduction, et que nous commentons plus bas. Ce listage rend en synthèse de quelques lignes le résultat net de notre questionnement net quant au que faire ?, pour trouver tous les moyens de résister, de nous protéger, et d'arrêter les empoisonneurs, directement et indirectement, en nous activant à précipiter la chute du système qui les engendre et autorise. À ces tâches, nous vous invitons instamment à ne pas seulement assister.

Combattre revient nécessairement d’abord à un relèvement des propres termes du combat, et aux échanges que ce relèvement engage. Nous vous invitons à compléter cette liste, en plus de vous inviter à vous y inscrire.

Soyons vifs sur les termes mêmes de la lutte à mener. S'il y a bien une chose que nous ne pouvons pardonner à nos proches, même dans ce pari (qui est en partie le nôtre) que le militantisme est une perte, c'est de s'absenter de ce débat, de ne pas vouloir s'ouvrir à la discussion même de ce que nous pouvons faire quant aux temps apocalyptiques que nous traversons qui, au seuil même de notre humanité, nous convoque en entier...

Commentaires sur l'action...

Rossinière, canton de Vaud, Suisse, le 3 mars 2023. Pilotes bourrés ? Non : chemtrails.

Nous avons récemment (début février 2023) posé ces mots en avant du message de cette page. Et nous vous invitons vivement, et en réalité instamment à vous y rendre avant de compléter cette lecture initiale et nodale par celle-ci.

Initions le mouvement de l'action tant recherchée et voulue et qui doit nous décoller de la passivité induite par l'inquiétude et la peur. Si ces lignes, pour applications concrètes et collectives, sont intimement réservées à ceux d'entre vous qui ont répondu explicitement à l'appel à l'aide et à l'action dont le texte principal d'OVDNS rend toute l'explication, leur message s'ouvre évidemment cependant au monde entier. Que les quelques irrésolus timides se manifestent positivement ; et que les autres sachent qu'ils sont automatiquement désinscrits de la suite, c'est-à-dire des échanges que ce message nous instigue à faire naître, sans avoir besoin de le demander (qu'ils nous en épargnent). Pour l'heure, notre action concertée ne doit pas rendre visibles aux uns et aux autres ni ses fruits ni l'adresse courrielle des autres participants. Nombre d'arrangements peuvent déjà se régler à distance, et l'heure viendra naturellement de sortir de l'anonymat ayant ici vertu tant de simplification que de discrétion, adjuvants à l'efficacité d'action.

Comme nous vous l'écrivions donc, avant d'être éventuellement contredit ou complété comme en tout autre point d'ailleurs, l'action à mener apparaît résolument sur différents plans...

Distinguons des actions qui n'ont nul besoin encore de se justifier, de réflexion ou planification, mais qui au contraire doivent être remplies par tous, sans attendre. De celle-ci, évidemment d'abord : l'action informative. Sans pommade, lancez le message à un maximum de monde, ou plus raisonnablement, à des personnes choisies, et choisies selon au moins deux critères : enclines à réagir (dont la lobotomisation n'a pas atteint un point de non-retour), dont la fonction sociale leur offre un champ d'action, à exploiter. Le second critère en réalité embrasse beaucoup de monde : nous ne visons pas seulement les pilotes (militaires ou civils), sans oublier toute la sphère politique par toute sa caste de planqués, comme les ministres et élus locaux, procureurs, officiers ministériels ou (hauts) magistrats, mais pensons encore aux journalistes, universitaires et industriels, sans tous les nommer...

Contentez-vous de faire suivre le message, par son corps central [www.inmediares.be/ovdns]. Mieux, passez par cet exposé-ci pour une présentation synthétique déjà mise en mots pour vous, prévue à cet effet, préférez l'appel de Dane Wigington de Geoengineeringwatch.org que nous avons traduit de l'anglais pour vous ou prenez par exemple encore ce bon point de départ. Préférez encore présenter n'importe lequel de ces liens avec vos propres fabrications... Et trouvez encore un exemple de présentation possible parmi d'autres tout en bas [1].

C'est ce que nous devons tous faire et ce que chacun d'entre nous devrait déjà avoir dû faire depuis un moment. C'est la base. Et cette action-là est loin d'être vaine, qui l'est d'autant moins qu'avec la prière c'est peut-être l'unique ou en tout cas la plus importante des choses que nous pouvons faire... Vous y êtes attendus : que le message se répande donc comme une traînée de poudre...

Émettons cette principale nuance vis-à-vis de l'appel à l'action auquel nous nous rangeons sans toutefois nous y arrêter. Ce que celui-ci gagne en concision et donc en efficacité de transmission, il le perd en ambition et précision. Quelles que soient les formes que nous devons y trouver, imaginer ensemble, ne perdons pas de vue la juste, saine et sainte colère qui doit nous animer vis-à-vis de ce que nous subissons, de ce que nos enfants menacés doivent subir. Cette colère est la dimension encore manquante de messages et d'appels à l'action, celle d'une insoumission et d'une virilité actives. Rappelons-nous : « Un authentique pacifisme ne peut pas être refus des armes, seulement de leur usage. être pacifiste sans pouvoir faire feu n’est que la théorisation d’une impuissance. »

« La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire. » Le recours aux instances officielles a cet avantage minimal de publicisation du problème. Ce n'est pas au monde politique que nous demandons cependant notre reste. Le principal se joue hors champ de l'État, auquel nous avons avant tout à désobéir, que nous devons prendre comme cible. Notre survie dépend de notre insoumission, et notre insoumission est par définition rétive aux logiques de manifestations, pétitions encadrées, aux mouvements dociles et policés de lutte qui n'en est pas. Le sapement des empoisonneurs ne s'organise pas par leurs institutions et élites, mais précisément en faisant tout autre chose qu'elles. Ne perdons jamais de vue que demander de l'aide à l'État revient, à la lettre, à demander de l'aide à ceux qui organisent notre perte. Or, aussi, si nous ne devons pas céder à la panique, nous devons distribuer les baffes qu’il faut, écrites et surtout réelles et physiques...

Combattre est une activité. Or, nous entendons fréquemment certains qui nous disent disperser « l'amour » autour d'eux, donné en figure un peu facile de résistance, de combat. Cette posture-là est souvent un peu courte. Combattre ne revient pas à rester égal et globalement cordial — plat — dans ses relations. La plupart des Gentils ne combattent pas, mais subissent et attendent. L'amour est un soulèvement, une activité pleine, consciente, requérant l'effort et le don, requérant le mouvement. Combattre par amour est combattre pour lui, pour celui que l’on a envers ses enfants, sa famille. Nous cherchons la sérénité, l'exemplarité, la confiance, la relative tranquillité d'une force qui permet d'avancer, mais réapprenons aussi à donner le Glaive, et pas uniquement tendre la joue. Nous donner en amour à nos enfants est un conquête, qui engage des actes, une force, un bouillonnement, une agitation troublant la quiétude... Face à ce qui s'oppose à lui, aux mécaniques sataniques du monde que nous retrouvons aujourd'hui dans les moindres plis du quotidien, dans la lourde tendance de notre passivité anormalement admise, l'amour est un foyer, une incandescence, un feu engageant, un appel, une colère, un cri du cœur, et non pas seulement un retrait...

Trouvez à la section idoine ce que nous avons transmis aux ministres de la Défense et de l'Environnement belges. Ces ressources rassemblent plusieurs modèles pour inspiration, duplications, dont, encore et notamment, notre appel fait à des dizaines ou centaines de travailleurs du corps militaire de l'armée belge. Nous leur disons en tout cas, précisément dans cet effort minimum d'information active que nous devons tous rejoindre, comme à une directrice de recherche au CNRS entre autres hiérarques, en substance, que chaque jour qui s'écoule les rapproche, implacablement, d'un juste châtiment.

Communiquez comme vous voulez. Et si vous êtes assez naïf pour croire que c'est par l'action parlementaire que se hisse le changement, agissez par cette voie, parce que cette naïveté (qui a donc au moins la vertu de publiciser le problème) a infiniment plus de valeur que l'inaction et qu'elle ne peut être le motif brandi par ceux qui ne contestent rien pour continuer à ne rien contester... L'imperfection d'une action ne peut être le refuge de la démission. Communiquez donc. Sobrement par cet appel que chaque lecteur de ces lignes devrait passer à des centaines et milliers de personnes, ou plus incisivement, en entrant plus vivement dans la matière par l'évocation de ce que convoque nos responsabilités. Mais en tout cas, n'attendez plus que d'autres agissent à votre place. Communiquez, au seuil minimal de l'action à laquelle nous devons tous nous commettre ! Et refusez les appels à la prudence : l'heure n'est plus aux demi-mesure et demi-mots et nous devons clamer et saisir au centre de notre combat pour la vie la décriminalisation de toute parole. Nous ne pouvons châtier sans mots vifs, de notre langue, repris au sens, mais seulement édulcorés, « gay friendly ». Nous sommes devenus des lâches et toute avancée efficace et sereine s'établit nécessairement sur ce constat.

« Quiconque installe le wifi dans une école devrait être enfermé à vie... Ils ne sont pas dignes de fouler le sol de cette planète. » (Docteur Barrie Trower)

Soyons parfaitement clairs : par l'évocation du châtiment que précisément convoquent nos responsabilités, et qui signifie entre autres la disgrâce ou la potence, comme nous l'avons déjà expliqué à des huissiers, nous ne proférons aucune menace, afin (au moins !) de ne pas prendre de risque inutile (tant que l'essentiel du message porté puisse passer) par ce motif derrière lequel se terrent ces pleutres —  heureusement en voie (artificielle, mais surtout naturelle) d'extinction. Nous anticipons donc ce mesquin reproche des êtres sans courage. Ce n'est pas parce que nous pouvons — et devons — dire que ces épandeurs, leurs commanditaires et leurs relais politiques et techniques pour le mal qu'ils commettent méritent de mourir, ou la corde à piano que, techniquement, nous énonçons une menace. Ce châtiment n'est pas une promesse de réalisation que nous leur faisons, et n'est pas non plus un devenir que nous affirmons devoir passer par nous en particulier : nous ne menaçons personne personnellement, ni de près ni de loin. Nous nous contentons seulement de dire ce qui est, ce qui risque probablement d'arriver, avec concours ou non de quelque courroux divin, par retour du bâton social des masses que l'on appauvrit, humilie et asperge comme des cafards. Toujours sans nous adonner au registre de la « menace » auquel aime faire tomber un pouvoir illégitime qui s'exerce d'abord contre de gens qui ne comprennent plus les mots dont on les paie, nous pouvons ajouter, à mi-mot ou explicitement, que nous n'avons pas à pleurer l'événement, qui doit s'avérer nécessaire si les caciques ne changent pas et ne font pas tout leur possible pour stopper net leur participation active au crime, quitte à y laisser la vie dans la seule voie de salut qui vaille : leur tentative acharnée à enrayer la Machine. Notre projet n'est pas de nuire, mais le contraire, et ce projet de nuisance est bien le leur : c'est l'ONU et tous ses relais, dominions européens, qui, bien plus que nous menacer, nous assassinent... Renversons donc par cette occasion, aussi sincère qu'immanquable, l'inversion accusatoire, au cœur du système symbolique de leur domination. Et contre des décennies et siècles d'apprivoisement à la docilité (qui a notamment terrible débouché, aussi terrible que grotesque et par là signe de notre époque tragique, la vasectomie des mâles), entrevoyons, de préférence avec les agents actifs de notre misère, l'incontournable voie de la prévention primaire, de suppression du danger à sa source, ou à défaut au plus près d'elle. Or, nous devons tous intimement savoir quels actes nous devons accomplir envers nos tortionnaires qui ne s'arrêtent pas sans que nous n'ayons, nous comme informateurs, à prendre d'inutiles risques à les énoncer.

Les militaires, notamment, mais les militaires principalement, doivent savoir ce qu’ils doivent faire pour arrêter cette folie, prendre exemple sur des Jürgen Conings, mais en agissant collectivement, en petits groupes, et non pas seuls, pour générer une force sinon décisive, au moins significative, en prenant tous les risques. La contre-attaque doit se faire sentir et nous devons contraindre, si nécessaire de la plus fatale des façons ceux qui nous mettent à mort, d'abord dans la saine reconnaissance de ce constat vital.

Ce message que vous devez faire passer sans attendre, et en masse, peut encore renvoyer à ce signe, de ces matières vives que nos messages concis ne peuvent pas perdre de vue puisqu'elles en donnent toute la substance, qu'il faudrait peut-être rappeler à Wigington : un peu de courage, bon dieu ! Secouer un ministre ou refuser catégoriquement de payer une amende routière indue (comme les taxes, au seul et de motif, déjà, que nous sommes mis à mort, « sans notre consentement », dirait l'autre) n'en demande quasiment pas, de courage, par rapport à celui requis par ceux qui vouant leur vie à la cause de la vérité historique sont mis au ban de la société, séparés de leur famille, ou emprisonnés quand ils ne sont pas tués en silence. Et pourtant, ce courage minimal-là est déjà trop en demander à beaucoup d'entre nous qui, par là et nulle part ailleurs, ne sont plus tout à fait des hommes, au double sens du terme, de virilité et d'espèce.

Un autre principe est directeur, que doit sous-entendre cet appel à la nécessité de former une masse critique de réveil : nous n'avons pas de temps à perdre auprès des irréductibles inconvaincables. Pour des raisons précises et toutes évidentes que nous ne répétons ici qu'en quelques mots : ceux qui nient l'existence des épandages aériens (comme la dangerosité des vaccins ou celle de la sodomie inculquée aux enfants dès le plus petites classes, entre cent) ne méritent ni notre énergie ni, en réalité, leur survie. C'est tout simple, et nous renvoie au message du Christ, sur la figure duquel vous-savez-qui pisse en continu parce qu'il porte précisément le message de lumière fait pour nous transporter, pour vaincre décisivement et terrestrement les démons que la laïcité pour nous tromper nous a appris à ne reconnaître qu'en fictions... La plus grande victoire du Diable est bien d'avoir convaincu de son inexistence. Cependant, à la fois pour atteindre les esprits conscients que nous pouvons atteindre par une publicité de masse et dans le doute de la pertience de cette masse critique d'éveil dont parle Wigington, nous avons, au seuil minimal de notre action, à transmettre le message à des milliers de personnes autour de nous. Cette action minimale est d'autant plus incontournable qu'elle ne nous coûte quasiment rien...

De la base, rappels : relevons notamment encore ici la nécessité de se maintenir hors de portée de ce qui contraint, minore, réduit notre énergie vitale (et le poison, notamment cathodique, est partout), ainsi que celle de cultiver l'idée que prendre pleinement conscience du danger c'est déjà en quelque sorte combattre, là où l'ignorer ne revient pas à l'éviter... Pour des raisons pratiques, nous ne commenterons pas longuement ici ce que nous disons déjà en page principale du plan spirituel, au sens large. Ne perdons pas de vue que combattre c'est aussi transmettre tous les messages de grandeur, des plus beaux récits et plus belles œuvres, et par là contraindre le mal en nous employant vitalement à ce qui le plus diamétralement s'y oppose... Et rappelons le pouvoir de transformation, fût-il seulement de ses ressources individuelles propres, de la prière. Efforçons-nous, pour rester combattants valides encore connectés au bonheur et ses promesses, à nous maintenir coûte que coûte à de bonnes vibrations et hautes énergies. À ce titre, ne perdons pas de vue que notre recherche sur les dangers qui nous entourent sont aussi, et en parlant des épandages eux-mêmes, une recherche de leur relativisation, de la résistance ou résilience de nos corps, et que cette recherche est peut-être prioritaire en ce qu'elle nous permet, sans nous mentir, de ne pas perdre pied. Voyez par exemple encore le message, reçu ce matin, de l'un d'entre vous, qui donne de la force [2].

Cette idée nette doit également participer au renfort de ces énergies, constituer un cap à notre foi  : les forces mondialistes accélèrent les choses parce qu'elles paniquent et se savent acculées. Raison de plus pour cultiver la désobéissance, en tout lieu. Le boycot de tout ce que nous savons malsain, déshonorant, est peut-être notre plus grand pouvoir...

Revenons un peu sur terre. Sur la ligne de Geoengineeringwatch.org, nous vous proposons encore cette affiche, pour partage à grande échelle, par voie électronique et encore pour distribution d'impressions.

Encore devons-nous guetter les signes de la santé et de maladie. Il est tout aussi effarant de constater que d'aucuns ne se demandent même pas pour quelle raison ils toussent indiscontinûment depuis des mois ou, désormais déjà, des années, que de faire le constat qu'une vaste portion de la population n'a même pas remarqué que le ciel était badigeonné de marques chimiques persistantes... Nous devons objectiver les raisons de ces toux persistantes, et les considérer comme premier signal d'alerte d'une menace. Beaucoup d'entre nous souffrent déjà des épandages depuis le début de leur intensification tournant 2020. Démangeaisons, acouphènes, tremblements (épuisement rapide du magnésium disponible par une demande métabolique accrue), différentes affections, dont les immanquables : réduction nette et en grande partie irrécupérable de la réserve pulmonaire (dyspnée, essoufflement plus rapide et parfois au moindre effort)... Soyons-y particulièrement attentifs chez les enfants, qui sont plus fatalement touchés par ces poisons objectivement déversés sur nous pour endommager et tuer (bien plus que pour ces conneries divertissantes de facilitation de propagation des ondes ou de blocage des rayons solaires...).

Ne sous-estimons pas la prophylaxie. Les intéressés peuvent me demander ma liste de compléments alimentaires, super aliments ou recettes bénéfiques pour se préserver, notamment, de l'intoxication par métaux lourds. Et que tout un chacun m'aide à la compléter. Ce qui y est assimilable et admissible pour les jeunes enfants doit nous intéresser tout particulièrement. Songeons par exemple aux protocoles chélateurs (cf. DMPS, DMSA), à leur pertinence dans un cadre d'empoisonnement continu et à leur risque éventuel. Médecins, vous êtes évidemment également concernés et appelés...

Très concrètement aussi, peut-être devons-nous préparer la fuite vers un un refuge, milieu plus hospitalier. S'il existe des cieux plus cléments et sous lesquels la police davosienne n'est pas plus terrible encore, nous voyons mal comment l'exil ne représenterait pas une solution de premier ordre, ou l'unique voie de prévention véritable... Quoiqu'il implique des sacrifices, face à la mort, le départ devient techniquement parfaitement possible. Il faut dès lors nous y préparer, dans une préparation qui nous fait mieux voir qu'en bien d'autres lieux du combat à quel point nous dépendons les uns des autres. Comment en effet pourrait-on regarder le ciel — et cette question, nous vous la posons — sans compromission envers nous-mêmes, c'est-à-dire sans se mentir sur la nature des déversements de mort que nous voyons tous les jours, tout en pouvant sereinement envisager de rester là ?

Sur ce point-là, la question de cette préparation ou celle d'une autre réponse à trouver à la préservation que la fuite, nous en sommes encore nulle part où à peu près. Mais nous savons que si nous sommes quelques-uns avec quelques moyens (à réunir notamment chez des parents responsables) les choses peuvent aller très vite également pour un habitat commun envisageable dans un environnement favorable ici ou là. La montagne ou les régions côtières sont une piste...

Sur tous ces points, commencez à me dire ce que vous savez, commençons à nous assigner des tâches.

Dans un premier temps et avant, espérons, de divulguer aux résultats de nos échanges les adresses de chacun des participants, nous nous contenterons de réunir et d'organiser vos réponses par thèmes en les récoltant au fur et à mesure.

Toujours sans mentionner nos noms, nous vous encourageons à copier-coller tel quel ce message (et pour toute illustrations, nous pouvons vous envoyer sur demande toutes les images d'OVDNS qui ne figurent pas dans ce fichier rassemblant nos photographies du ciel), comme tous les autres de la plateforme que rassemble la section de ressources, soit comme base de ce que vous voulez transmettre, soit comme complément, à tous vos amis, sur les réseaux sociaux, en toutes-boîtes, aux institutions, et sur tous les tons...

Ce site est auto-réflexif qui nous fait voir l'évolution de nos avancées, tandis qu'il nous permet de mieux en considérer le cheminement. Il évolue par conséquent sans cesse, avec ses ressources, à l'image du texte principal, principal au moins en ce qu'il constitue, sinon le point de départ de notre réflexion et engagement collectifs, le tronc commun de toutes les pages de la plateforme, que nous vous invitons également à relire si vous l'avez découvert dans ses premières versions...

Faut-il le rappeler, notre réaction vive n'est pas uniquement attendue contre la terrible nuisance des chemtrails, qui nous condamne tous à périr à court ou moyen terme et la justifie à elle seule, mais contre la totalité d'une machinerie de réduction en esclavage et de mise à mort (dont le plus gros des bénéfices est bien officiellement prévu et annoncé pour 2030) dont ces épandages homicides ne sont qu'une composante.

N'oublions pas ce que nous a appris Claire Séverac, dont nous vous offrons l'ouvrage La guerre secrète contre les peuples : ne leur pardonnons pas, ils savent très bien ce qu'ils font.

Nous ne pardonnerons en tout cas rien à aucun d'entre ceux qui parmi nous tous ne se battent pas pour la protection de la vie de nos petits.

Revenez-nous rapidement. L'horloge tourne. « Tous les réveils sont nécessaires au réveil des populations à ce qui nous attend. Et nous avons comme devoir de faire en sorte que chaque jour qui passe compte. » (Geoengineeringwatch.org)

« Une crainte révérencielle couvre l’idéologie à laquelle sacrifient, à l’instar de prêtres, tous les acteurs de notre système politique et social, par conditionnement passionnel (à gauche), légèreté ou lâcheté (à droite). Certes, on proclame qu’il n’y a plus de délit d’opinion, mais un ordre moral se fonde toujours sur un impératif catégorique qui rejette la malignité (pour la sauvegarde du Bien). Il ne suffit pas de nommer une opinion délit, au nom d’une nouvelle pudibonderie, pour en changer la nature. Peu importe ce que l’on pense des idées et thèses de Vincent Reynouard, qui a déjà fait 9 mois d’embastillement en 2010-2011 après avoir été extradé par la Belgique ; peu importe ce que l’on pense des idées et thèses de d’Hervé Ryssen qui vient tout juste d’être libéré après avoir séjourné de longs mois à la prison de Fleury-Mérogis ; peu importe ce que l’on a pu penser des idées d’Alain Guionnet qui passa un an sous les verrous français en 1992-1993. Objectivement, ce qui doit être considéré, c’est qu’ils ont été emprisonnés dans notre pays pour des délits d’opinion. Nous devons protester, même si l’on réfute l’opinion en cause. Le réveil du courage, c’est pour quand ? D’aucuns, à droite, appellent au courage, saine ambition à condition qu’elle ne se cantonne pas dans l’abstraction et l’indistinct cotonneux. Par ailleurs, il ne faut pas non plus compter sur l’ultra gauche d’aujourd’hui qui, derrière une logorrhée marxiste, partage le même fonds idéologique que le mondialisme capitaliste, savoir le nouvel ordre moral précité. Jean-Claude Michéa a bien montré la connivence culturelle entre ces soi-disant révolutionnaires et le capitalisme triomphant. Aussi les discours anticapitalistes à la Mélenchon, rentier et bouffon du régime, ne trompent que des naïfs. Tout comme les “black blocs ” se plaisent à briser les vitrines des agences bancaires où M. et Mme Michu ont leur d’épargne sur livret, les mélenchonistes semblent globalement indifférents à la Banque, aux Rothschild ou à Bernard Arnault. Il nous faut nous mobiliser contre le délit d’opinion et donc pour l’abrogation des lois Pleven, Fabius-Gayssot et Perben. Cette lutte est justifiée, car sinon nous y passerons tous un jour ou l’autre, sauf à se taire. Le général de gendarmerie Jean-Philippe Reiland, à la tête de l’OCLCH (voir note infra), qui s’occupe du cas de Reynouard, a déclaré : "Malgré les difficultés juridiques... le bureau ne lâchera pas les idéologues qui propagent la haine." La lutte contre le délit d’opinion en Europe. Il en va de même dans tout l’espace européen, puisque le Conseil de l’Europe (46 États), qui garantit la castration politique de l’Europe, notamment avec la Convention de sauvegarde des droits de l’homme, souples et modelables à souhait pour imposer l’ordre moral anti-discriminatoire et antifasciste. Je préfère, au prêchi-prêcha bien-pensant de la Convention, le précepte de Montesquieu : "Les paroles ne forment point un corps de délit ; elles ne restent que dans l’idée [...] Quelquefois le silence exprime plus que tous les discours. Il n’y a rien de plus équivoque que tout cela." On emprisonne à bas-bruit dans toute l’Europe pour délit d’opinion, particulièrement en Allemagne, dans les geôles de laquelle est à nouveau enfermée Ursula Haverbeck (94 ans). Aussi, en France comme dans toute l’Europe, Amnesty international s’est-elle toujours refusée à s’occuper des nouveaux immoralistes... Il est de bon ton d’invoquer Soljenitsyne, mais encore faudrait-il en avoir le cœur. Libérez-les, libérez Reynouard ! » (Éric Delcroix, extrait de cet article)

« L’Italie, en tant que laboratoire politique de l’Occident, où les stratégies des puissances dominantes sont élaborées d’avance sous leur forme extrême est aujourd’hui un pays humainement et politiquement en ruine. Une tyrannie déterminée et sans scrupule s’est alliée à une masse en proie à la terreur pseudo-religieuse prête à sacrifier non seulement ce qu’on appelait autrefois les libertés constitutionnelles, mais aussi toute la chaleur dans les relations humaines. En fait, croire que le passé sanitaire signifie un retour à la normale est très naïf. Comme un troisième vaccin est déjà nécessaire, de nouveaux vaccins seront imposés et de nouvelles situations d’urgence et de nouvelles zones rouges seront déclarées autant que le gouvernement et les pouvoirs qu’il exprime le jugeront utile. Et ceux qui ont imprudemment obéi seront les premiers à en souffrir. Dans ces conditions, au-delà des instruments de résistance immédiate, il est nécessaire que les dissidents pensent à créer quelque chose comme une société dans la société, une communauté d’amis et de voisins au sein de la société d’inimitié et d’éloignement. Les formes de cette nouvelle clandestinité, qui doit devenir aussi indépendantes que possible des institutions, doivent être réfléchies et expérimentées progressivement. Seuls ceux-là pourront assurer la survie humaine dans un monde qui s’est consacré à l’autodestruction plus ou moins consciente. » (Giorgio Agamben, 17 septembre 2021)

[1] « Ces opérations doivent être considérées comme l'entreprise la plus insensée jamais déployée par l'espèce humaine. Celles-ci font dérailler tous les systèmes de support de la vie sur terre. La totalité de l'architecture de vie est systématiquement contaminée et décimée par l'ingénierie climatique en cours. Et ajouté à toutes les autres formes d'activités humaines ou anthropiques qui déjà causent des ravages dans celle-ci, le génie climatique est mathématiquement et statistiquement parlant la menace la plus grande et la plus immédiate à laquelle nous sommes collectivement confrontés à l'exception d'un cataclysme nucléaire. » (Dane Wigington, chercheur principal de www.geoengineeringwatch.org)

« Si vous aimez vos enfants, rejoignez-nous, en combattant ce que nous devons combattre. C'est un combat juste, c'est le bon combat, c'est la bonne cause. » (Docteur Dietrich Klinghardt, éminent spécialiste du traitement des maladies connues, fondateur du Sophia Health Institute)

Battez-vous, rejoignez le mouvement : http://inmediares.be/ovdns
Sinon pour vous, au moins pour nos enfants.

[2] « Je comprends bien votre volonté d'action physique et palpable contre ce mal qui devient de plus en plus oppressant et imprégné dans nos vies. Le baryum (entre autres merdes) qu'ils nous balancent par milliers de tonnes sur la tronche est bien réel et mériterait une riposte toute aussi réelle. Mais sachez cependant que le travail que vous avez effectué avec ce texte, ou avec les JC, constitue une action bien réelle d'éveil de conscience ! C'est l'action fondamentale, si j'ose dire, qui permettra toutes les autres. Avec moi vous prêchez un convaincu, mais ne lâchez pas l'affaire avec les autres goys durs d'oreille, il faut tenter de les rallier à notre cause pour épuiser au maximum le stock des moutons écervelés (c'est sur ce stock et grâce à lui que les tyrannies en tous genres prospèrent) ! À propos du retour du Christ, il y a deux manières de le comprendre, et j’adhère personnellement aux deux à la fois : le retour est réel et miraculeux, et sa gloire règle son compte au satanisme du monde marchand dans lequel nous vivons, soit l'enfer sur Terre ; le retour est métaphorique, et dans ce cas les peuples du monde guidés par le logos (les gaulois en tête espérons-le) libèrent enfin leurs yeux du voile du mensonge posé sur eux depuis tant et tant d'années, prennent les fourches et coupent littéralement les têtes de dragons qui sifflent sur leurs têtes depuis toujours. »